Vous ici trouverez les réponses aux questions des internautes, rédigées par les médiums du CSLAK.
Bonjour,
Dans notre société où le divorce fait partie des pratiques sociales, il y a une grande question qui doit guider toute réflexion sur l’expérience conjugales, c’est de savoir comment nous pouvons avoir une relation stable et heureuse. L’union conjugale est un partenariat dans lequel chacun doit apporter le meilleur de lui-même, que chacun fasse un pas vers l’autre sans attendre que ce soit l’autre partie qui cède à chaque fois.
L’époque est révolue où l’égoïsme masculin voulait que sa femme exerce le rôle de la subordonnée. Nous sommes à une époque d’égalité des droits dans la relation du couple ce qui rend essentiel une attitude de respect et de compréhension réciproques.
Homme ou femme, après quelques années on se retrouve souvent avec une autre personne que celle que l’on avait épousée et cela conduit à une insatisfaction. Il est alors indispensable d’établir un dialogue pour connaître les raisons d’une telle dérive. Quelle évolution a subi l’amour qui vous avait réuni. L’union entre deux êtres n’est jamais le fruit du hasard mais est le résultat de relations bonnes ou mauvaises dans des vies antérieures. Une vie commune dans l’existence présente peut-être une chance de réconciliation, d’évolution ou de réparation. Pour prendre les bonnes décisions à chaque instant il est nécessaire de bien se connaître soi-même et de savoir ce qui dirige nos pas. C’est cette connaissance de soi qui permettra d’adapter notre comportement à toutes situations.
Le mariage dans nos sociétés comme le divorce découlent des lois civiles et les lois humaines changent selon les époques. Elles ont leur utilité car elles ont pour but de régler les rapports sociaux et les intérêts matériels des familles.
Par contre, il y a une loi divine qui est immuable, exclusivement morale, c’est la loi d’amour qui unit les âmes. C’est la loi qui doit guider nos actes et nos pensées pour chaque pas que nous faisons.
Fraternellement,
Gilles
Bonjour,
Dans le livre des Esprit d’Allan Kardec à la réponse à la question numéro 344, « A quel moment l’âme s’unit-elle au corps répond à votre question, il est montré que lorsque l’Esprit doit s’incarner dans un corps humain un lien fluidique le rattache à l’embryon. La réponse à la question numéro 345 montre que ce lien est définitif. L’Esprit se trouve attiré par une force irrésistible dès le moment de sa conception. A mesure qu’il se développe, le lien se resserre. Le périsprit, qui possède certaines propriétés de la matière, s’unit, molécule à molécule, avec le corps qui se forme. On peut dire que l’Esprit, par l’intermédiaire de son périsprit, prend en quelque sorte racine dans ce germe, comme une plante dans la terre. Quand le fœtus est entièrement développé, l’union est complète, alors il naît à la vie extérieure.
Quand aux sons, à l’environnement et aux comportements de la mère et du père, nous pouvons avoir une explication dans le livre Entre la terre et le ciel d’André Luiz psychographié par Chico Xavier. Il décrit les liens profonds entre la mère et l’Esprit de l’enfant à naitre. Il est montré que les pensées de la mère gardent une immense force sur l’Esprit, de la même manière que celle de l’Esprit se révèle d’un grand pouvoir sur la nouvelle mère. C’est une peu comme si l’esprit de l’un et de l’autre ce juxtaposaient et se maintenaient en parfaite communion, jusqu’à la naissance. D'une telle association provient ce que l'on appelle les marques de naissance. Certains états intérieurs de la femme atteignent, d'une certaine manière, le principe fœtal, le marquant pour toute son existence. Le travail de la maternité ressemble à un délicat processus de modelage. Le père quand à lui, par son attention et sa tendresse ou non, facilite ou non la tâche maternelle de la femme.
Au vue de ce qui a été dit plus haut et de ce que dit André Luiz, nous comprenons que la mère, mais aussi indirectement le père par la douceur ou non qu’il apporte à la mère, ont une grande influence sur l’enfant à naitre et ce, dès le début de la conception.
Sachant aussi que ce n’est pas le corps du bébé qui réagit directement aux sollicitudes des parents, mais l’Esprit qui influe sur le corps du bébé par lequel il est lié.
L’avortement, quand à lui, rompt le lien fluidique qui unit le corps de l’enfant à l’Esprit depuis le début de la conception. Ce lien rompu, l’enfant ne peut pas vivre et donc l’Esprit ne pourra pas s’incarner dans ce corps qui aurait dû être un instrument pour supporter ces épreuves comme le montre la réponse à la question numéro 357 du livre des Esprits d’Allan Kardec. L’avortement revient à ôter la vie à l’enfant avant sa naissance.
Fraternellement,
Marc
Bonjour,
Pour répondre à vos questions, il est bien de voir pour commencer, ce qu'il se passe dès le début de la conception. Dans le livre des Esprit d’Allan Kardec, livre 2 – Monde spirite ou des Esprit, chapitre 7 – Retour à la vie corporelle, sous titre – Union de l’âme et du corps, nous trouvons des éléments précis.
La réponse de la question 344, « A quel moment l'âme s'unit-elle au corps ? », montre ce qu’il se passe dès le début de la conception. Il est écrit :
« L'union commence à la conception, mais elle n'est complète qu'au moment de la naissance. Du moment de la conception, l'Esprit désigné pour habiter tel corps y tient par un lien fluidique qui va se resserrant de plus en plus jusqu'à l'instant où l'enfant voit le jour ; le cri qui s'échappe alors de l'enfant annonce qu'il fait nombre parmi les vivants et les serviteurs de Dieu. »
Nous voyons qu’avant la naissance l’Esprit n’est pas incarné, mais unis au corps par un lien fluidique qui se resserre au fur et à mesure de la conception jusqu’à la naissance. La Réponse à la question 345 du livre des Esprit précise que l’union entre l’Esprit et le corps est définitive empêchant tout autre Esprit de remplacer celui qui est unis au corps. Mais comme les liens qui tiennent l’Esprit au corps sont faibles, ils peuvent être facilement rompus par la volonté de l’Esprit qui recule devant l’épreuve qu’il a choisie ; mais alors l’enfant ne vis pas.
Mais si l’Esprit n’est pas encore incarné et que les liens qui le tiennent au corps sont facilement rompus, nous pouvons nous poser une autre question, que l’on retrouve dans le livre des Esprit un peu plus loin. C’est la question 353 - L'union de l'Esprit et du corps n'étant complète et définitivement consommée qu'après la naissance, peut-on considérer le fœtus comme ayant une âme ? En réponse, il est écrit :
« L'Esprit qui doit l'animer existe en quelque sorte en dehors de lui ; il n'a donc pas, à proprement parler, une âme, puisque l'incarnation est seulement en voie de s'opérer ; mais il est lié à celle qu'il doit posséder. »
Même si au moment de la conception il n’y a pas à proprement parler, une âme, ni incarnation, le corps de l’enfant, dès le début de sa formation est lié de façon définitive à un seul Esprit par un lien fluidique. Si ce lien est rompu l’enfant ne peut pas vivre, donc l’Esprit ne pourra pas s’incarner dans se corps. Nous pouvons conclure facilement que ce lien fluidique est rompu lors d’un avortement, quelque soit le moment où l’avortement est fait.
La réponse à la question 357 du livre des Esprits montre que les conséquences de l’avortement pour l’Esprit est une existence nulle qu’il devra recommencer.
Nous nous sommes intéressés à l’Esprit, intéressons nous maintenant à la mère.
Quelles sont les conséquences pour la mère ?
Là encore nous pouvons trouver la réponse dans le Livre des Esprits au même chapitre à la question 358, « l’avortement volontaire est-il un crime, quelle que soit l’époque de la conception ? », la réponse est claire :
« Il y a toujours crime du moment que vous transgressez la loi de Dieu. La mère, ou tout autre, commettra toujours un crime en ôtant la vie à l'enfant avant sa naissance, car c'est empêcher l'âme de supporter les épreuves dont le corps devait être l'instrument. »
Une exception est faite dans le cas où la mère serait en danger par la naissance de l’enfant. La réponse à la question 359 sur ce point, indique qu’il vaut mieux sacrifier l’enfant en formation que la mère.
Le livre de l’Évangile selon le spiritisme d’Allan Kardec nous pousse à suivre l’exemple de Jésus, modèle d’indulgence et de charité. Dans le chapitre 11, il est écrit : Aimer son prochain comme soi-même ; faire pour les autres ce que nous voudrions que les autres fissent pour nous, expression la plus complète de la charité, car elle résume tous les devoirs envers le prochain. Vous ne voulez pas la condamner, mais l’aider, c’est une bonne chose. Vous pouvez l’aider à surmonter son dégout d’elle-même en lui montrant que rien n’est perdu, que tout acte peut nous servir à avancer et évoluer. Vous pouvez lui montrer que, Dieu infiniment bon et miséricordieux, donne toujours les moyens de ce rattraper, de réparer ses erreurs et d’avancer. Priez pour qu’elle puisse trouver du courage et de la résignation pour se relever et que cette erreur l’aide à évoluer. Priez pour cet esprit qui n’a pu se réincarner, pour qu’il ne lui en veule pas et qu’il soit près à pardonner si tel est le cas, et en lui souhaitant une prochaine incarnation heureuse.
Fraternellement,
Jean-Marc
Bonjour Joëlle,
Les regrets que vous avez et qui vous pèsent tant sont déjà le début de l'expiation.
En effet, il n'y a, souvent, pas besoin d'attendre une nouvelle vie pour que les remords vous plongent d'eux-mêmes dans des tourments plus ou moins prononcés.
Mais, en même temps, ces remords sont justement le signe que vous avez progressé car, vous le savez très bien, si vous n'aviez pas évolué, vous n'auriez pas de remords. Vous comprenez aussi mieux, à présent, que l'oubli de nos vies passées (pendant lesquelles on était forcément encore moins évolué qu'aujourd'hui), est donc une bénédiction qui nous aide à avancer le cœur un peu plus léger. Petite précision : vous nous avez parlé de deux avortements. Or, vous parlez, tout le long de votre texte, d'un Esprit que vous avez rejeté, toujours au singulier. Êtes-vous bien sûre qu'il s'agit du même Esprit qui a refait une deuxième tentative sept mois plus tard ? Ne pensez-vous pas qu'il puisse s'agir d'un deuxième Esprit, c'est à dire d'un Esprit différent ?
Toujours est-il que les Esprits qui auraient dû être vos enfants savaient certainement, en s'incarnant en vous, qu'ils courraient le risque d'être rejetés : c'était, pour eux, une épreuve qu'ils avaient à subir.
Ne vous flagellez donc pas outre mesure pour les choix que vous avez fait et les erreurs que vous avez pu commettre dans le passé. Ce qui compte, c'est la personne que vous êtes devenue (grâce aussi à toutes ces "erreurs") et celle que vous allez devenir en poursuivant votre évolution.
Faites confiance en Dieu qui est juste et bon et saura vous donner encore milles occasions de rattraper les erreurs du passé.
C'est à Lui, et à Lui seul, de juger...
Fraternellement,
Hélène
Bonjour,
La terre est un monde inférieur, dans la majorité des cas, nous nous retrouvons avec des personnes avec lesquelles nous avons des obligations et souvent des comptes d’autres vies à régler. La loi de la famille nous oblige par conséquent à aimer nos parents, nos frères et sœurs, nos grands parents, etc…
Loi difficile parfois puisque ces personnes sont quelquefois nos ennemis d’hier et alors on se sent tiraillé entre le devoir filial et la haine d’autrefois.
En ce qui concerne le choix de la compagne ou du compagnon, chacun espère dans son fond intérieur retrouver celui ou celle avec lequel on a le plus d’affinité, en un mot le grand amour. Malheureusement, compte tenu de nos vies souvent dissolues, la majorité des couples qui se forment sont là pour mettre en place les meilleurs accords en faisant beaucoup d’efforts.
Par conséquent, en tant que spirite, nous pensons comme dans tout projet, il faut avoir un objection, ensuite prier pour l’obtenir et puis faire constamment des efforts pour l’autre et s’oublier souvent. C’est la meilleure règle pour chercher à se comprendre : l’abnégation.
Fraternellement,
Catherine
Bonjour,
Parfois, souvent même, on peut choisir comme épreuve d'avoir à résister à une tentation. Ce (ou celui) qui vous attire n'est pas forcément ce (ou celui) qu'il vous faut, c'est à dire que ce n'est pas forcément ce qui est bon pour vous, pour votre évolution. Comment le savoir ? Vous pouvez déjà vous demander si quelqu'un aurait à souffrir de votre union et vous remémorer le fameux "Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse" . C'est une base simple mais très efficace quand on veut s'assurer de faire un bon choix...
Par vos pensées, vous créez et entretenez un lien qui vous apporte peut-être quelques satisfactions mais qui semble aussi vous faire souffrir et peut même vous empêcher de poursuivre votre véritable voie. Vous restez, bien sûr, toujours libre de conserver ce lien en l'état ou de le délier quand vous le voudrez.
Pour remplacer éventuellement le vide que causerait votre décision de ne plus entretenir ce lien, dites-vous que vous serez, par la suite, beaucoup plus disponible pour tous vos autres frères et sœurs qui ne demandent qu'à être aimés. Tournez-vous vers eux et vous verrez qu'ils sauront combler, petit à petit, ce vide affectif qui vous angoisse.
Fraternellement,
Brigitte
Bonjour Jacques,
Vous trouverez certainement réponse à votre question dans l’Évangile selon le Spiritisme d'Allan Kardec, au chapitre 14 "Honorez votre père et votre mère".
Les deux dernières parties intitulées "La parenté corporelle et la parenté spirituelle" puis "L'ingratitude des enfants et les liens de famille" devraient tout particulièrement vous intéresser.
Leur lecture pourra vous aider à comprendre que, même si le lien d'amour qui unit parents et enfants n'est pas toujours spontané, il est de notre devoir de le rechercher et de le faire croître.
Il n'y a pas de hasard dans les naissances, bien au contraire, les familles sont choisies avec le plus grand soin pour permettre à l'entité la meilleure progression. La charité envers autrui commence parfois, pour ne pas dire souvent, dans son propre foyer...
Fraternellement,
Agnès
Bonjour Christian,
La question du mariage est traitée par Allan Kardec dans le Livre des Esprits dans la partie III, chapitre IV, sous le titre : « Mariage et célibat ». Il y est indiqué que le mariage est un progrès dans la marche de l’humanité et que son abolition serait un retour à la vie des bêtes, c'est-à-dire un retour à l’enfance du l’humanité. Le mariage est donc bien un des signes de l’évolution de l’homme.
Vous trouverez des compléments d’information dans le livre l’Évangile selon le Spiritisme, chapitre XXII, d’Allan Kardec, qui détaille le mariage selon les lois divines et les lois civiles.
Sur ces points, vous verrez que les lois d’ordre divin (et donc immuables) concernant le mariage sont la loi de reproduction, nécessaire à la survie de l’espèce humaine et la loi d’amour qui unit deux êtres établissant une solidarité fraternelle qui représente donc une sorte d’école d’apprentissage de la fraternité et de l’amour du prochain, amour qu’ils doivent reporter à leurs enfants pour les faire progresser.
La loi civile, changeante selon les temps, les lieux et le progrès et l’intelligence de l’homme n’en demeure pas moins utile pour régler les rapports sociaux et les intérêts des familles.
Par sa prévoyance, elle empêche l’homme civilisé de vivre comme un sauvage.
Le livre Initiation au Spiritisme, de Therezina Oliveira, développe lui aussi un intéressant chapitre sur le mariage que nous vous invitons à aller découvrir si vous voulez poursuivre cette réflexion.
Fraternellement,
Céline
Bonjour,
A la lecture de votre message, il m’est difficile de comprendre vos motivations pour adopter cet enfant. En effet, vous parlez surtout de vos peurs, face à l’inconnu (comme pour tout enfant, adopté ou non) et face au futur, et plus précisément, face à une éventuelle rencontre avec son père que vous supposez dangereux pour vous et votre famille.
Mais alors, quelles sont les raisons qui vous poussent à vouloir aimer cet enfant et lui offrir votre toit, votre amour de mère, vos baisers, et surtout votre protection et votre confiance en la vie ?
Sans doute êtes-vous touchée par son histoire, par la perte de sa mère. C’est avant tout car vous avez envie d’apporter tout votre amour de mère avec une grande force, et ne pas vouloir que ce tout petit nouveau dans la vie soit délaissé, abandonné.
Je comprends que vous puissiez être inquiète au sujet d’un éventuel recours du père biologique, tous les parents ayant adoptés craignent de perdre leur enfant, de voir leur famille et toute sa construction s’effondrer, ne plus avoir de sens en un claquement de doigt.
Ne le jugez pas, essayez de penser que chacun à une bonne raison de faire ce qui lui semble être le plus juste, ou le plus acceptable à un moment donné de la vie.
Ne craignez pas son « karma », l’épreuve qu’il vit actuellement dans la séparation avec sa mère est déjà tellement difficile…la vie ne peut que lui accorder de la douceur par la suite, et qui sait, un rayon de soleil y pénètrera bientôt si des parents aimants viennent pour l’aider à grandir et s’accepter.
Fraternellement,
Céline
Bonjour,
Qu'il doit être difficile de vous apercevoir de l'ampleur la maladie dont souffre votre amie. Ne rien ressentir, seuls les robots en sont capables! Même les esprits ont des sentiments. Les Hommes souvent, ressentent, mais n'acceptent pas. En d'autres termes, ils observent le sentiment et le refuse, pour ne pas s'identifier à lui. On ne veut pas accepter la tristesse car on ne se défini par comme une personne triste, on accepte le jeu séducteur car on veut être une personne qui plaira à coup sur à l'interlocuteur du moment...Tout cela n'est qu'un rôle de plus dans lequel la personne prend ses pensées pour ce qu'elle est. Mais nous ne sommes pas ce que nous pensons. Les pensées vont et viennent, s'enchainent, s'entrechoquent et les émotions qu'elles véhiculent avec. Ne prenez pas vos pensées trop au sérieux, chacune se donne tellement d'importance !
La pathologie que vous décrivez est autant destructrice pour le malade que pour son entourage car vous avez été séduit par cette femme et sans doute inconsciemment, vous avez voulu répondre à ses exigences en transformant votre essence divine, votre "moi" intérieur.
Notre terre est une terre d'évolution, nous rencontrons des personnes qui ne sont pas toujours animées de bons sentiments envers leurs frères et soeurs il est vrai....Mais sans doute, si cette personne a été mise sur votre route, vous aurez appris : il n'y a rien de plus précieux que de savoir qui vous êtes et de vous respecter. Regagnez confiance en vous, avec douceur et clémence. Je comprends que l'apprentissage se fasse avec douleur et déception, que ce soit lourd pour vous. Appuyez vous sur votre guide, votre ange gardien. Jamais il ne vous laissera seul, il saura vous apporter la chaleur et le réconfort nécessaires, même entre les larmes.
Bien amicalement
Céline
Bonjour,
Si on veut communiquer avec un défunt, c'est bien parce que l'on pense que l'Esprit survit après la mort du corps. Alors pourquoi faudrait-il se rapprocher d'une dépouille vide (ou de cendres éparpillées dans votre cas) pour pouvoir communiquer avec l'Esprit qui est détaché du corps ?
Votre instinct était le bon : vous pouvez continuer à vous adresser à votre femme comme vous l'avez toujours fait, sans écouter les conseils souvent onéreux mais pas toujours efficaces.
Trouver une personne avec qui partager son quotidien est difficile pour de nombreuses personnes, même pour celles qui ne sont pas veuves... Votre épouse n'est donc pas forcément en cause dans vos échecs amoureux.
Vous devriez cherchez à consacrer davantage de temps à vous améliorer ainsi qu'à soulager les peines et souffrances de ceux qui croiseront votre route.
C'est la meilleure façon d'oublier votre solitude.
Soyez patient,
Fraternellement,
Hélène
Bonjour,
Tous, nous avons fait des choix que nous regrettons. Pourtant, lorsqu'ils ont été pris, à ce moment là, nous agissions avec nos connaissances du moment. Je comprends que votre avortement il y a 20 ans vous peine beaucoup.La miséricorde de Dieu est grande, et Il voit nos actes et considère nos choix avec nos connaissances du moment. Il y a 20 ans, vous ne connaissiez pas la loi de réincarnation et vous ne songiez pas que cette vie pouvait être aussi un heureux évènement ...
Tous les esprits n'en veulent pas à leurs parents de ne pas les avoir accueillis, certains pardonnent et prient pour avoir une nouvelle chance de revenir dans la même famille spirituelle. Au lieu de nourrir des regrets, je vous conseille de prier pour cet esprit en lui souhaitant une prochaine incarnation heureuse, et en lui envoyant de bonnes pensées fraternelles pour sa vie dans le monde spirituel également
Bien fraternellement,
Bien amicalement
Céline
Bonjour Sofia,
Je comprends que pour vous l'attente soit longue. Puisque toutes les conditions physiques sont réunies pour que vous puissiez avoir un nouvel enfant, vous devez être confiante. En tant que spirite, nous savons qu'une incarnation se prépare bien avant que l'ovule de la mère soit fécondée. Dans le monde spirituel, les candidats à la réincarnation se préparent pour une nouvelle vie sur terre, avec l'aide active de leur guide, et projettent les épreuves et les progrès qu'ils auront à accomplir.
En accord avec votre mari, trouvez des moments de calme et de paix pour prier vos guides et leur confier votre souhait d'accueillir une nouvelle âme dans votre famille, et gardez confiance, de nombreux Esprits attendent pour avoir une chance de se réincarner.
Bien fraternellement,
Céline
Bonjour,
Ce qui vous parait si important aujourd'hui, ne le sera pas forcément demain. Tout dépend du degré d'évolution de chacun.
L'acte sexuel, dans le cadre d'un couple solide et uni, peut permettre de ressentir, le temps d'un instant, un sentiment de fusion avec l'autre. Peut-être n'aurez-vous plus besoin de le vivre de cette manière... Peut-être n'en aurez-vous plus envie... Peut-être n'en aurez-vous pas la possibilité car vous serez sur des plans différents...
Il n'est pas possible de généraliser. Certains couples s'attendent, s''espèrent et se retrouvent après avoir continué de veiller l'un sur l'autre, même après la mort du corps de l'un d'eux, d'autres ne le souhaitent pas.
Même dans le cas du remariage, il faut voir s'il fait suite à un divorce (qui, comme le suicide, ne peut être inscrit dans le karma qu'en terme de tentation et donc de lutte nécessaire) ou s'il fait suite à un veuvage. L'évolution spirituelle nous amène à privilégier les émotions du cœur qui seules durent au delà de notre enveloppe terrestre.
Vous pourrez approfondir ces questions en reprenant le Livre des Esprits ou l'Évangile selon le Spiritisme d'Allan Kardec, mais aussi dans de nombreux romans spirites comme ceux de Chico Xavier par exemple.
Bien amicalement
Odile
Bonjour Sonia,
Dieu accorde sa miséricorde à tous, heureusement. Les enfants qui n'ont pu naître ou qui sont nés mais n'ont pas été "désirés" peuvent pardonner à leurs parents.
Si vous le voulez, nous pouvons demander des nouvelles de cet enfant lors d'une réunion spirite. Il faudrait que vous nous donniez la date (ou au moins l'année) de l'avortement. Vous pouvez prier pour lui bien sûr.
Fraternellement,
Céline
Bonjour Hervé,
Il est vrai que votre message n'est pas tout à fait clair.
Nous avons des liens affectifs avec d'autres personnes, bien au-delà de notre champs familial. Il est même très fréquent que nous partagions de plus grandes affinités avec des amis qu'avec nos frères et sœurs de sang. La famille et ses liens intrinsèques nous force à aimer, à partager...c'est une des bénédictions de la réincarnation, tout en étant une difficulté ! Si l'on croit en l'immortalité de l'âme et en la réincarnation, on conçoit rapidement que le meilleur des remèdes pour résoudre les différents et les conflits d'autres vies est de nous retrouver dans la même sphère familiale que ceux qui nous ont offensés. Ainsi, peut apparaître une réparation fraternelle.
Fraternellement,
Céline
Bonjour,
Il existe de nombreuses raisons à une attirance physique pour quelqu'un. Outre les explications de projections sentimentales imprégnées en nous depuis l'enfance, nos expériences au travers des vies successives expliquent également les profils de personnes qui nous plaisent, à bien ou à mal. Parfois, c'est l'entourage spirituel d'une personne qui nous plaît. On parlera alors de son aura, de sa prestance, ou encore tout simplement de la sensation agréable que procure la simple présence de l'autre.
Aujourd'hui, vous vous souvenez de cet homme croisé à votre période adolescente, et de cette attirance particulière mais c'est certainement un exemple qui vous rappelle ce que vous n'avez peut-être pas connu pour le père de vos enfants. Que se serait-il passé si vous aviez osé parler de votre attirance pour ce garçon ? Dieu seul le sait. Mais toutes les attirances n'aboutissent pas forcément à des histoires d'amour sans failles. Votre plus bel ouvrage est à voir à travers vos enfants. Dieu, ainsi qu'eux-mêmes vous font confiance pour les aider à devenir des adultes dans cette existence. Je suis sure que vous débordez d'amour pour eux 3, restez confiante et forte. Bien que cela puisse vous être difficile de ne plus partager la vie de leur père, l'amour réel se trouve dans la vie sous de nombreuses formes, et vos enfants en sont la preuve chaque jour.
Chassez au loin toutes ses idées noires,
Bien fraternellement,
Céline
Bonjour,
Cette question qui nous a déjà valu, à notre petite échelle, un abondant courrier est, comme vous le dites si bien, "un phénomène de société peu important en regard d'autres problèmes bien plus pressants..." Adopter un enfant ou avoir recourir à la procréation médicalement assistée ou à la gestation réalisée par un tiers n'a pas beaucoup d'importance pour l'esprit qui s'incarne ; ce qui importe c'est l'amour que l'on va donner à cet esprit pour lui mettre de réaliser son évolution. Que cet même esprit s'incarne dans une famille homosexuelle ou non ne change en rien dans son travail d'évolution si ces parents sont bienveillants à ce travail dont ils ont la responsabilité. Voilà, j'espère avoir répondu à vos questions. Fraternellement, José
Bonjour,
Nous ne voudrions pas, en répondant d'une manière trop générale et catégorique, servir de prétexte pour contribuer à opposer les hommes dans ce débat qui attise déjà bien des passions. Alors que tant d'autres évènements bien plus graves et injustes se passent de par le monde, on peut d'ailleurs se demander pourquoi, les partisans du "pour" comme ceux du "contre" mettent tant d'ardeur à faire entendre leur opinion.
Remettons les choses à leur juste place en nous souvenant que chacun de nos actes, et même chacune de nos pensées, conditionne tous les éléments de notre vie, présente ou future. Nous sommes donc responsables de ce que nous vivons mais dans une mesure qui dépend de notre évolution.
En effet, plus l'homme est évolué spirituellement, plus il est capable de réfléchir, c'est à dire de discerner le bien du mal et d'agir en conséquence.
L'homme devient donc de plus en plus responsable de ses choix et tolérant envers ceux qui n'en sont pas au même point que lui sur le chemin de l'évolution.
Apprenons à nous respecter, quelles que soient nos différences.
Fraternellement,
Sophie
Bonjour Andréa,
Nous vous remercions vivement pour vos encouragements, ainsi que votre envie charitable d’aider nos frères et sœurs en souffrance.
Le bonheur est parfois comme une étoile filante, des années de difficultés pour quelques moments de bonheur. Sans la foi, que notre vie temporaire d’incarnée semblerait injuste ! Ce bonheur, encore nous faut-il nous souvenir de la traversée qu'il nous a demandé.
Vous parlez des ruptures d'amitié et des divorces de couples de manière inatendue. Avant notre incarnation, et même durant notre incarnation, nous avons des souhaits de réussite familialle, des souhait de fidélité et de bonnes vertues.
Sur terre, nous subissons l'influence de notre matière. L'égoïsme, le sexe, la vanité, l'envie de liberté, même à faible dose, peuvent nous plonger dans des pensées d'évasions pour un autre milieu, vers un/une autre compagne également. Sans compter également l'influence de nos expériences succéssives; nos rencontres peuvent faire appel à des souvenirs.
Certains esprits sont capables d'influencer nos pensées pour passer à l'acte, et rendent difficile la lutte en pensées de la personne incarnée.
Dans la plupart des cas, même si la séparation nous semble brutale, une préparation s'est faite, petit à petit dans l'esprit de la personne sensible.
La force d'une amitié comme d'un amour se puise dans l'humilité et dans la confiance mutuelle. Parfois, réveler ses doutes et ses envies chassent les pensées intrusives et matérialise les pensées suggerées par ces esprits. Certains esprits n'ont pas conscience du mal qu'ils peuvent causer, voir leurs pensées se matérialiser en paroles les rebuttent. Pour ceux qui oeuvreraient dans un but de séparation, l'humilité du compagnon ou de l'ami dans le tourment permet l'implication de bons esprits venant rendre utile la conversation.
Fraternellement,
Josiane