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Il y a beaucoup de croyants à travers le monde, toute religion confondue, mais combien d’entre eux vivent leur foi avec une réelle intensité, avec cette petite flamme interne capable de porter le croyant jusque dans les sphères supérieures ? C’est pourtant cette intensité, cette ferveur, qui fait toute la beauté de la foi en remplissant notre quotidien au point de s’en trouver littéralement « assoiffé ».
Beaucoup estiment avoir la foi mais se complaisent en fait dans la tiédeur, dans une routine confortable qui leur permet de se sentir l’esprit tranquille, la conscience en paix. Il leur manque ce « petit plus », cette flamme, cette chaleur supplémentaire, qui fait toute la différence…
Jésus a dit « Vous êtes le sel de la terre, mais si le sel devient fade avec quoi va-t-on lui rendre sa saveur ? Il ne vaut plus rien : on le jette dehors et il est piétiné par les gens. » (Matthieu 5,13)
Le croyant sans ferveur est comme le sel sans saveur : il ne sert à rien, il ne produit rien, il ne donne rien de lui. Le piège, c’est qu’il ne s’en rend même pas compte, car il pense très sincèrement que sa présence régulière dans son lieu de culte, ainsi que sa prière quotidienne, sans âme, agrémentée de quelques lectures rapides et sans attention, suffisent à justifier de sa pratique de la foi.
Il est assez fréquent de voir des personnes particulièrement enthousiastes juste après une séance spirite, mais dont l’ardeur redescend aussitôt qu’elles sont rentrées chez elles. Même lorsque cet enthousiasme est plus ancré, il s’endort parfois doucement avec le temps, sans même que l’individu concerné ne s’en rende compte, voire, sans même qu’il ait la capacité de le reconnaître.
Le quotidien a ramené nonchalance et manque de courage, la sensation d’un « à quoi bon ». La situation est plus grave qu’il n’y paraît car, si on n’y prend pas garde à temps, elle peut conduire vers une facilité à commenter, à critiquer, à se plaindre, bref, à trouver toutes les « bonnes » raisons pour ne pas faire au moment où il faudrait pourtant agir.
Il n’y a pas de dépassement de soi par manque de nourriture spirituelle, alors qu’elle est là, à portée de mains, pour celui qui veut bien s’en saisir. Comment sortir de la tiédeur et trouver la ferveur manquante ? C’est ce que nous allons essayer de déchiffrer en commençant par définir et comprendre le véritable sens du mot ferveur.
Ce mois-ci, nous vous présentons l'histoire La visionnaire de Diémoz. L’histoire d’Anne-Marie Coste et de ses apparitions aurait pu s’arrêter à ce qui a été écrit dans les 2 articles précédents (1) , mais il est bien plus étrange de penser qu’il y a une suite. En effet, nous avons vu que la Mère Abandonnée n’était pas totalement satisfaite du travail effectué par Annette. Elle avait donc besoin de trouver un nouvel intermédiaire, ce qu’elle sembla faire, dès mars 1884, en demandant à une autre jeune domestique lyonnaise, Marie-Louise Nerbollier, de poursuivre la mission de celle qu’on surnommait alors la voyante de la Croix Rousse. Or une autre médium, peut-être avec le même Esprit et malgré un environnement de naissance très proche, ça donne une toute autre histoire...
Ce mois-ci, nous vous présentons l'histoire Après le miracle qui est la suite de l'histoire que nous vous avons présenté le mois dernier sous le titre La mère abandonnée. Lorsque la jeune Lyonnaise Anne-Marie Coste s’est trouvée miraculeusement guérie par l’apparition de Notre Dame de Fourvière, qui s’était présentée à elle comme « La Mère Abandonnée » alors que la jeune voyante l’appelait affectueusement « Bonne Mère ». Cette guérison, lors de sa deuxième apparition, le 2 janvier 1883, devait permettre d’authentifier l’apparition mariale. Il y aura 17 apparitions supplémentaires durant cette année 1883. De nombreuses autres guérisons interviendront, pendant quelques années au moins, rendant très surprenant le silence qui a entouré cet ancien lieu de pèlerinage.
Ce mois-ci, nous vous présentons l'histoire de La mère abandonnée. en nous inspirant du consciencieux travail de recherche effectué par Gilles Lameire, édité en 1997, aux éditions Résiac, sous le titre « La Croix brisée sur le globe, apparitions de la Sainte Vierge à Lyon » qui nous permet d’avoir connaissance de ce récit surprenant. Cet auteur s’est principalement basé sur deux brochures (1) et divers articles d’époque. Ils font état d’un dossier du diocèse de Lyon, archivé sous le nom « La voyante de la Croix Rousse » contenant, entre autres, le récit des deux premières visons que la jeune Anne-Marie Coste dit avoir eu de la Vierge Marie et la guérison miraculeuse qu’Elle lui aurait accordée comme preuve de sa présence en janvier 1883.
Ce mois-ci, nous vous présentons une exposition intitulée Magique Elle se déroule à Lyon et jusqu'au 5 mars. Vite ! Vite ! Dépêchez-vous de vous y rendre !
Ce mois-ci, nous vous présentons un texte d'Antonio Carlos Gaio sur La pandémie changera-t-elle le monde ? Il s'agit d'une analyse faite par un spirite brésilien et traduit par Margaret Barao Pereira.
Ce mois-ci, nous vous présentons une exposition intitulée Phénomènes, l'inexpliqué face à la science. Elle est organisée par Philippe Baudouin au musée de la médecine à Paris jusqu'au 28 janvier 2023
Ce mois-ci, nous vous présentons un livre Apparitions, les archives de la France hantée de Philippe Baudouin. Sorti en octobre 2021, aux Editions Gallimard, ce volumineux ouvrage de 319 pages retrace toute une épopée de manifestations de 1826 à 1978.
Lire la suite : Apparitions, les archives de la France hantée
Ce mois-ci, nous vous présentons une conférence sur le thème du Suicide et spiritualité Elle a été donnée au congrès Médecine et spiritualité au congrès de Toulouse en 2016 par le docteur Olfa Mandhouj.
Ce mois-ci, nous vous présentons le récit d'Une apparition Elle est tirée de la Revue des Etudes Psychiques de César De Vesme de 1901 ; il rapporte l'étrange rencontre que monsieur Pyrrhus Bessi, vivant en Sicile a faite en décembre 1899.
Ce mois-ci, nous vous présentons une forme de médiumnité peu courante pour notre 21ème siècle mais très répandue au 19ème et au début du 20ème siècle, les apports. Nous vous proposons le récit Des apports bien particuliers tiré de l'ouvrage "L'éveil spirite" d'Arthur Conan Doyle, qui fourmille d’anecdotes sur ses diverses voyages en Europe, en Australie et en Amérique.
Ce mois-ci, nous vous présentons une autobiographie d’une roche. Nous avons l’habitude de relayer de belles et passionnantes communications avec des Esprits, mais la médiumnité ne se limite pas à ce type d’exercices et peut s’ouvrir à d’autres perceptions bien plus originales.
Ce mois-ci, nous vous présentons Victorien Sardou, un médium qui voit « trop petit ». Victorien Sardou faisait partie, avec son père, Antoine-Léandre Sardou, du petit groupe d’amis qui a remis une cinquantaine de cahiers de communication à Hippolyte Léon Denizard Rivail pour qu’il organise les nombreuses notes précieusement recueillies et les mette en forme.
Lire la suite : Victorien Sardou, un médium qui voit « trop petit »
Ce mois-ci, nous vous présentons La saga de l’Ectoplasme de Michel Granger. Cet ouvrage volumineux se veut être une encyclopédie sur toutes les manifestations physiques que de nombreux médiums ont obtenus.
Ce mois-ci, nous vous présentons le centre spiriteLar Frei Luiz Le docteur Paulo César Fructuoso nous en parle. Il est oncologue et chirurgien mais aussi spirite. Ce brésilien est l'auteur d'ouvrages traitant de la médecine et du spiritisme.
Ce mois-ci, nous vous présentons un autre ouvrage de Luis Hu Rivas, l’Evangile facile, qui s’inscrit dans la même approche et présentation que nous en avions déjà fait en juillet 2021 sur deux autres de ses ouvrages : Le Spiritisme facile et la Réincarnation facile
Ce mois-ci, nous vous présentons un récit dramatique, celui deL’affaire du grand requin. Bien qu’il fut un puissant médium à matérialisation, produisant des ectoplasmes aussi réels et palpables que des êtres humains, Georges Spriggs n’a eu sa médiumnité réellement mise en lumière qu’à partir d’un événement qui suscita un vif intérêt quand il s’est produit, en décembre 1884, au point qu’Arthur Conan Doyle le décrit, dans son ouvrage La Trilogie Spirite, comme « un cas qui aurait dû transformer la ville aussi sûrement que si un ange avait marché dans Collins Street . »
Ce mois-ci, nous vous présentons un médium à matérialisation Georges Spriggs. Les phénomènes de matérialisation se réalisent par la combinaison de fluides périspritaux d'un Esprit et ceux d’un médium. Ensemble, ils forment une atmosphère commune et favorable, une affinité fluidique où le médium grâce à sa disponibilité permet la formation d'ectoplasme.
Ce mois-ci, nous vous présentons l'histoire d'une vision Le poisson d’Agassiz. La vision est une forme de médiumnité, elle peut se produire dès qu’il y a un engourdissement des sens, c'est-à-dire dans un état de sommeil ou de demi-sommeil. Suivant la compréhension de l’individu, l’âme peut s’évader. Ce détachement prouve que l’âme possède des facultés qui s’exercent sans le concours des sens physiques comme de la clairvoyance.
Ce mois-ci, nous vous parlons de Leçons de transe, un article tiré du journal Le Monde, du 19 novembre et écrit par Annick Cojean, il aborde les états de conscience modifiés.