Beaucoup de livres, de documentaires ou de films ont été réalisés sur Marie de Nazareth, mère de Jésus, épouse de Joseph et grande divulgatrice des messages du grand Maître après son retour sur le plan spirituel.
La bible, l’ancien et le nouveau testament, nous apportent des faits historiques sur Marie avant la conception, lors de la révélation de la naissance par l'ange Gabriel, à la naissance du Sauveur jusqu’à la crucifixion de Jésus. Mais peu de faits sont relatés après cet évènement.
Qu’à fait Marie ? où est-elle partie ? avec qui ? Et qu’elle est son importance pour la doctrine spirite ?
Suivons les pas de cette femme que Dieu a choisi comme étant bénie entre toutes les femmes, cette mère qui a fait à la fois une totale confiance dans la parole de Dieu et a su se montrer forte dans l’épreuve, car elle se savait accompagnée du divin.
La vie de Marie après la crucifixion de Jésus
Jeune femme juive, Marie fait partie de tous ceux qui attendent le Messie. Dans l'Évangile de l’apôtre Luc, elle reçoit la visite de l'ange Gabriel qui lui annonce qu'elle va enfanter le fils du Très-Haut.
Née à Nazareth en l'an moins 20, fille unique d'Anne et de Joachim, Marie se fiance à 15 ans à Joseph. Peu après, elle donne naissance à Jésus à Bethléem. Elle accompagne et soutient son fils tout au long de sa vie, jusqu'à la Passion.
La Passion du Christ est certainement le moment le plus bouleversant de la vie de Marie. Tandis qu’elle observe son fils au pied de la croix, souffrant de manière insupportable, ses pensées la ramènent aux souvenirs précieux de l’enfance de Jésus, de la tendresse maternelle qu'elle lui a toujours apportée et de l’amour qu'il a toujours manifesté envers tous, y compris les plus démunis. Elle se remémore les événements marquants de sa vie, comme l'annonciation de la naissance de Jésus et les actions accomplies par son fils.
Pourquoi son fils, qui n’a fait que répandre l’amour et la bonté, mérite tant de souffrances ?
Marie a accepté les desseins divins, aussi cruels soient-ils. Elle s’est soumise à la volonté de Dieu en murmurant " Je suis la servante du seigneur, que tout se passe pour moi selon ta parole ! ."
Dans les derniers instants de Jésus sur la croix, malgré sa douleur extrême, Il s'adresse à Marie et à Jean, son disciple bien-aimé, et le seul à l’avoir accompagné jusqu’au bout. Il leur confie l'un à l'autre par Ses paroles : "Mère, voici ton fils » et « Fils, voici ta mère".
Par ses mots, Il leur confie non seulement leur rôle l'un envers l'autre, mais aussi une leçon spirituelle profonde : l’amour universel. Cet acte, même dans la souffrance la plus extrême, est un acte d'amour pur, un appel à dépasser l’égoïsme pour vivre un amour désintéressé et solidaire.
Peu d’écrits raconte ce qu’est devenu Marie après ces évènements. Les détails que nous avons de la vie de Marie après la mort du Christ, nous les trouvons avec beaucoup de précisions dans le livre "Bonne Nouvelle", psychographié par Chico Xavier et dicté par l'Esprit d’Humberto Campos.
Marie se retire à Béthanie (actuellement en Cisjordanie), où elle vit dans la nostalgie de son fils et de leurs moments passés ensemble. La souffrance de la croix reste vive dans son cœur, mais ses souvenirs remplis de tendresse et d’amour divin nourrissent son âme.
Un jour, Jean, le disciple bien-aimé, vient lui rendre visite à Béthanie. Il lui parle de sa nouvelle vie à Éphèse (ancienne ville située à l’ouest de la Turquie), où il propage l’enseignement du Christ.
Il propose à Marie de venir avec lui, dans une humble maison, loin des tumultes qui secouaient alors la Galilée, pour vivre ensemble, dans la prière, l’amour et pour poursuivre la mission de Jésus. Marie accepte, trouvant dans cette proposition un moyen de continuer à honorer le souvenir et la mission de son fils bien-aimé.
La maison devient rapidement un lieu de rassemblement spirituel où Marie, avec tendresse maternelle, parle de Jésus et partage des paroles de réconfort. On l'appelle "la Maison de la Sainte Mère" après qu’un lépreux guéri lui ait baisé les mains en la désignant ainsi.
Cette maison devint petit à petit une maison de recueillement et d'amour : " la maison de Jean, […] au bout de quelques semaines, devint un lieu de rassemblements charmants, où les souvenirs du Messie étaient vénérés par des esprits humbles et sincères. Marie exprimait ses souvenirs. Elle parlait de lui avec une tendresse maternelle, tandis que l'apôtre commentait les vérités évangéliques, appréciant les enseignements reçus. […] Au bout de quelques mois, de longues files de nécessiteux affluaient vers ce lieu simple et généreux. La nouvelle que Marie reposait désormais parmi eux avait répandu une lueur d'espoir parmi tous ceux qui souffraient. Tandis que Jean prêchait les vérités de Dieu dans la ville, elle recevait, dans son pauvre sanctuaire domestique, ceux qui venaient la voir pour lui montrer leurs blessures et leurs besoins » (tiré du livre Bonne nouvelle).
Marie, humblement, accepte les prières et les demandes de ceux qui viennent chercher son soutien. Elle offre consolation et espoir, notamment aux malades, aux mères en souffrance et aux âmes perdues. Ses paroles apaisent les désespérés, leur rappelant que seule la présence du Royaume de Dieu peut apporter une paix éternelle.
Jean, prêchant à Éphèse, laisse souvent Marie seule, mais elle trouve du réconfort dans ses méditations sur son fils et les souvenirs de son amour. Alors que le temps passe et que la vieillesse l’affecte peu, elle reste immergée dans une profonde paix spirituelle, soutenue par sa foi.
Un jour, elle apprend que de nouvelles persécutions sévissent contre les chrétiens, que des croyants sont emprisonnés et tués pour leur foi. Profondément touchée, Marie prie pour tous ceux qui souffrent, cherchant à consoler le cœur des fidèles dans la douleur.
C’est dans ce moment de prière, alors que la nature tout autour semble en harmonie, qu’un homme pauvre vient lui rendre visite dans sa maison à Ephèse et lui demande sa bénédiction, comme tant d’autres avant lui. Le pèlerin lui parla du ciel et des bénédictions divines qui attendent les fidèles, calmant ses douleurs secrètes.
- "Ma mère", s'écria le nouveau venu, comme tant d'autres qui faisaient appel à sa tendresse, "je viens te tenir compagnie et recevoir ta bénédiction".
Maternellement, elle l'invita à entrer, impressionnée par cette voix qui lui inspirait une profonde sympathie. Marie se sentit émue par cet homme qui apaisait les douleurs secrètes de son âme. Jusqu'alors, aucun ne s'était présenté pour lui donner quelque chose, ils venaient toujours pour demander quelque chose.
"Ses yeux s'humidifièrent de bonheur, sans qu'elle puisse expliquer la raison de sa tendre émotion." C'est alors que l'hôte anonyme lui tendit ses mains généreuses et lui dit avec une profonde affection : "Mère, viens dans mes bras !"
"À cet instant, elle fixa les mains nobles qui s'offraient à elle dans un geste d'une grande tendresse. Pris de profonde émotion, elle vit en elles deux plaies, comme celles que son fils révélait sur la croix, et instinctivement, tournant son regard anxieux vers les pieds de l'ami pèlerin, elle y distingua également les ulcères causés par les clous du supplice. Elle ne put en supporter davantage. Comprenant la visite d'amour que Dieu lui envoyait dans son cœur, elle s'écria avec une joie infinie :
- Mon fils ! Mon fils ! Les ulcères qu'on t'a infligés ! ...
[...] Dans un élan d'amour, elle fit un mouvement pour s'agenouiller. Elle voulait s'étreindre aux pieds de son Jésus et les embrasser avec tendresse. Mais lui, l'élevant, entouré d'un halo de lumière céleste, s'agenouilla à ses pieds et, lui baisant les mains, dit avec une tendresse transportée :
- Oui, ma mère, c'est moi !... Je viens te chercher, car mon Père veut que tu sois dans mon royaume la Reine des Anges.".
Le matin suivant, alors que Marie attend tranquillement sa fin, elle se laisse emporter par une expérience spirituelle sublime. À ce moment, son âme se libère de son corps terrestre et elle s'élève vers le ciel, entourée d'une multitude d'anges. Elle demande à revoir la Galilée. Là, elle contemple les paysages de l'apostolat de Jésus.
En partant vers le ciel, Marie pense aux chrétiens persécutés et, par la volonté de sa pensée, elle se trouve transportée à Rome. Là, elle découvre les souffrances des prisonniers chrétiens, emprisonnés et torturés pour leur foi. Elle se rapproche d'eux, leur parle, les réconforte et leur transmet une prière de force et d’espoir.
Elle leur transmet la puissance de la joie dans la souffrance, selon l’enseignement de son fils. Elle laisse ainsi une empreinte spirituelle indélébile parmi les persécutés, une mémoire de tendresse, de miséricorde et de force intérieure.
Aucune information dans les livres spirites nous donne des éléments concernant le lieu où a été enterrée Marie. Il en est de même pour la date.
La vision du spiritisme sur Marie
Marie est un Esprit pur de la plus haute évolution, exemple d'altruisme et de sacrifice, travaillant aux côtés de Jésus pour le bien de l'humanité. La figure de Marie de Nazareth est rapportée dans la littérature spirite comme un exemple de dévouement pour aider les Esprits tourmentés et souffrants, qu'ils soient désincarnés ou toujours incarnés, veillant sur toute l'humanité avec un grand amour (annuaire spirite, 1986).
Dans le spiritisme, nous apprenons également à reconnaître Marie comme une entité très évoluée qui, il y a plus de 2000 ans, avait déjà acquis des vertus élevées, la rendant apte à accomplir une mission aussi noble en recevant dans ses bras l'émissaire de Dieu, ce "modèle de perfection morale que l'humanité n’a jamais atteint sur Terre".
Au-delà de ce qui est connu dans les anciennes traditions religieuses, en particulier dans le Nouveau Testament, la littérature spirite nous fournit d'autres données biographiques importantes sur Marie, qui nous ont été transmises par voie médiumnique.
Ces données nous révèlent qu'elle continue aujourd'hui encore à veiller avec beaucoup d'affection sur l'humanité terrestre, tant envers les incarnés que les désincarnés. Marie est synonyme d'amour, comme en témoigne sa résignation face à la souffrance de son fils, au nom du salut de l'humanité.
Marie dans le plan spirituel
Dans la littérature spirite, on trouve plusieurs références à Marie. Le livre Mémoires d'un suicidé, psychographié par Yvonne Pereira, décrit les activités de la légion des Serviteurs de Marie, un groupe d'esprits spécialisés dans le secours des suicidés dans les zones inférieures. Cet ouvrage nous livre le récit émouvant de l'arrivée de la caravane de Marie avec ses convois lumineux, tirés par de magnifiques chevaux blancs et précédés d'un peloton qui rappelaient les guerriers égyptiens de l'antiquité, avec l'officier commandant tenant un drapeau bleu ciel sur lequel on pouvait lire "LEGION DES SERVITEURS DE MARIE".
Après avoir été secourus, les Esprits souffrants sont envoyés à l'hôpital Marie de Nazareth. Cette institution est dirigée par la mère de Jésus. Camilo Cândido Botelho, auteur spirituel de l’ouvrage cité ci-dessus, rapporte que la tâche de prendre soin des esprits suicidaires ‘’ ne pouvait être accomplie par un autre esprit que Marie, car elle est la référence en matière d'amour et de dévouement fraternel.’’ Marie a toujours consacré son aide aux personnes qui souffrent, comme l'a rapporté Yvonne Pereira : "l'aide aux suicidés est apportée par la Légion des Serviteurs, dirigée par le grand Esprit Marie de Nazareth, être angélique et sublime qui, sur Terre, a mérité la mission honorable de suivre, avec une sollicitude maternelle, celui qui fut le rédempteur des hommes !".
Il existe de nombreuses histoires impliquant l'action de Marie de Nazareth au profit de ceux qui souffrent. Dans le livre "Action et réaction", André Luiz raconte le cas d'une dame qui priait avec ferveur, implorant la protection de Marie de Nazareth pour ses enfants égarés. L'instructeur Silas, cité dans cet ouvrage, explique à André Luiz : "[...] Des requêtes similaires à celle-ci s'élèvent vers les plans supérieurs où elles sont accueillies par les émissaires de la Vierge de Nazareth, afin d'être examinées et exaucées, selon les critères de la vraie sagesse".
Des milliers de fidèles à travers le monde consacrent leur foi et leur dévotion à Marie. De ce fait, il existe des Esprits dévoués qui travaillent en son nom, recevant les demandes et les prières et aidant ceux qui souffrent. C'est pourquoi cet Esprit suscite tant de sympathie et d'admiration parmi les peuples et parmi bien des religions. Certains croient que demander l'intercession de Marie est le moyen le plus efficace d'atteindre Jésus, car un fils ne refuserait pas la demande d'une mère.
Apparitions mariales
On peut se demander pourquoi la Sainte-Marie apparaît aux femmes et aux hommes sur terre, et ce, dans tous les continents ?
Beaucoup de témoignage ont relaté des visites sur terre de la Sainte-Marie pour guérir, consoler, instruire, conseiller, encourager, avertir contre les maladies et les menaces et pour bien d’autres fins.
Elle est souvent apparue à des enfants, à des bergers, à des personnes simples, menant une vie relativement pauvre.
Même si elle apparaît sous des noms différents, elle fait référence à la même personne, Marie, mère de Jésus. C’est juste une représentation différente de la même sainte qui peut également être appelée Notre-Dame de Fatima, Notre-Dame de Guadalupe, Notre-Dame de Lourdes et bien d'autres encore.
Les noms dédiés à Sainte-Marie dépendent beaucoup de la manière dont elle est apparue et sont généralement donnés d'après le nom du lieu où elle est apparue ou les conditions dans lesquelles l'apparition s'est produite.
Par exemple, elle est Notre-Dame de Lourdes, car c'est dans cette ville qu'elle est apparue. Et elle est Notre-Dame des bons conseils, car elle a toujours un conseil à donner à ses enfants.
Pour ceux qui souhaitent en savoir plus sur les principales apparitions de Marie, nous vous invitons à lire cet article sur le site internet mariedenazareth.com en cliquant sur ce lien => ICI
Le voyage de Divaldo à l’ancienne ville d’Ephèse
En mai 2007, Divaldo Franco a visité la Maison de Marie dans l’ancienne ville d’Ephèse, en Turquie. Cette maison a été découverte au 19ème siècle, d’après une vision de la religieuse allemande Anna Katharina Emmerich, qui l’a parfaitement décrite, en 1800, sans jamais avoir quitté l’Allemagne.
La Maison de Marie se dresse au sommet du mont Koressos, à 7 km des ruines d'Éphèse. Aujourd'hui, c'est une destination touristique prisée, mais malgré les vendeurs de souvenirs, les restaurants et les petits bars, l'atmosphère y est paisible une fois à proximité de la maison.
À côté de la maison, assis sur un mur de pierre, Divaldo a psychographié un message de Joanna de Ângelis, exhortant à l'amour du prochain et à la pratique du bien.
Ce message s’appelle "Supplication à Marie" :
"Nous voici de retour aux chemins lumineux tracés par votre Fils Jésus il y a près de deux mille ans : la foi et la confiance illimitée en Dieu, l'amour du prochain comme de soi-même et le don total à la charité, sans laquelle il n'y a pas de salut.
Depuis longtemps, nous avions prévu de suivre le chemin de la libération, mais, distraits par les illusions, nous avons emprunté des voies différentes et angoissantes.
Aujourd'hui, cependant, après avoir vécu des angoisses indicibles, nous sommes de retour au sein du troupeau de celui qui est le Chemin de la Vérité et de la Vie.
Nous savons que, pendant que le monde agonise sous les coups de la haine et de la folie que l'être humain a créés lui-même, vous veillez, Sainte-Marie, sur ces enfants désorientés qui vous ont été confiés sur la croix.
Les larmes, sur terre, augmentent de façon effrayante dans les yeux affligés qui perdent lentement la capacité de voir clairement, alors que la révolte domine la fière culture que la civilisation a élaborée au fil des millénaires, face aux menaces d'extinction qui s'imposent de manière insensée.
Les horreurs de la violence, du crime et des guerres individuelles, collectives et internationales envahissent les sociétés, démontrant la quasi-nullité des glorieuses conquêtes de la science, de la pensée, de la technologie.
Il est certain qu'il existe des actes d'amour et de sacrifice, des luttes pour la rédemption et des travaux dignes presque partout, mais cela n'est pas suffisant pour construire le royaume de Dieu dans les cœurs.
En raison des souffrances qui sévissent, nous vous prions, Sainte-Marie, de répandre la lumière du discernement et des sentiments paisibles sur les existences désorientées, en leur faisant savoir que tant que l'amour de Jésus restera dans le monde, la présence de l'espoir ne s'éteindra ni dans les esprits ni dans les cœurs.
Intercédez pour tous ceux qui se sont laissés submerger par la haine, endurcir par les désillusions et les frustrations, afin que la société retrouve son chemin de sécurité.
Aie pitié de nous, Mère très aimante et aide-nous à rester fidèles jusqu'à la fin, sans nous plaindre, ni nous décourager, en servant sans relâche, confiants qu'à la fin, nous pourrons voir et entendre ton Fils nous dire : « Venez à moi, serviteurs fidèles, je vous ai attendus en paix".
Le portrait de Marie de Nazareth
Dans la nuit du 1er décembre 1984, Emmanuel, le guide spirituel de Chico Xavier, annonça au médium un projet : le portrait de Marie de Nazareth.
Pas le portrait de la mère de Jésus comme elle pouvait être décrite il y a 2000 ans, mais la physionomie de Marie comme elle se présente lorsqu'elle visite les sphères spirituelles les plus proches et les plus perturbées de la croûte terrestre, comme par exemple avec la Légion des Servantes de Marie, grande institution qui soutient les suicidés.
Emmanuel a donc dicté à Chico les traits du visage de Marie de Nazareth, afin que celui-ci donne à l'artiste portraitiste et photographe de Sao Paulo, Vicente Avela, les indications et qu’il puisse peindre son portrait. Ce travail fut réalisé progressivement à partir de 1985, grâce à l’habileté de Vicente et aux retouches successives.
Car en effet, il a fallu plus de 20 retouches guidées par les psychographies d’Emmanuel à Chico, chaque nouvelle édition recevant les recommandations du très exigeant Emmanuel, jusqu'à ce que, lorsque tous les détails ont été ajustés, l'image a été agrandie et colorée à la peinture à l'huile, donnant naissance à la toile que nous connaissons aujourd'hui.
Que faut-il retenir de Marie ?
Retenons de Marie sa foi, sa dévotion, son humilité et soyons, comme elle a su l’être, des servants dévoués de son fils Jésus Christ.