Vous ici trouverez les réponses aux questions des internautes, rédigées par les médiums du CSLAK.
Bonjour,
La perte d’un membre quel qu’il soit ne provoque pas la perte d’une partie du périsprit, ce qui explique les sensations dites « d’intégrité », qui accompagne la perte d’un membre quelconque. Tout au long de son passage sur terre, le corps d’une personne varie constamment, le renouvellement cellulaire constant en témoigne. Ce corps n’est que temporaire et périssable, il se désagrège et se dissout à la mort. Le périsprit, quand à lui existait avant la naissance et survit à la décomposition du corps suivant l’âme dans ses transmigration. Il ne subit pas l’influence permanente des perpétuelles transformations du corps. Il n’est cependant pas immuable, il s’épure ou s’alourdi suivant nos actes et nos pensées. C’est le périsprit qui assure le maintien de la structure humaine et des traits de la physionomie, de la naissance à la mort. C’est lui qui a donc une influence sur le corps. Les maladies sont la conséquence d’un déséquilibre du périsprit provoqué par des actions en désaccord avec les lois divines dans cette vie ou dans les vies précédentes. Vous pouvez lire, pour plus d’information le livre des Esprits d’Allan Kardec, livre 2, chapitre 1, rubrique « périsprit », réponses aux questions 93 à 95, le livre « La genèse » d’Allan Kardec chapitre 11, paragraphe 17,18 et 20 et chapitre 14, paragraphe 7 à 11 et 18 le livre « Après la mort » de Léon Denis chapitre 21, le Livre « le problème de l’être et de la destinée » de Léon Denis, chapitre 3 et le livre « L’âme de la matière » chapitre 2 de Marlène Nobre
Un Esprit à sa mort n’est plus infirme, mais peut effectivement apparaitre estropié ou non pour se faire reconnaitre. Quand un Esprit apparaît, il met son périsprit dans l’état nécessaire pour le rendre visible. La modification de son périsprit s’opère par sa combinaison avec le fluide propre du médium dont la présence est indispensable. Il parait généralement comme il était sur terre dans le but qu’on le reconnaisse avec des traits physiques qui lui était propre, comme des infirmités.
On peut dire que les modes d’action de l’Esprit varient suivant les ressources offertes par les milieux où il opère. Les phénomènes de matérialisation doivent être classés en trois ordres : D’abord, les cas où le double du médium extériorisé est utilisé et modifié par l’Esprit, au point de reproduire l’aspect que celui-ci avait sur la terre et même les traits de sa physionomie. L’Esprit, par la volonté, se reflète, se photographie dans la forme fluidique du médium ; c’est une transfiguration plus ou moins complète, selon le pouvoir du manifestant. Aussi, dans certaines expériences, l’apparition conservera quelque ressemblance avec le médium. En d’autres cas, l’Esprit, à l’aide des fluides ambiants, crée des formes temporaires qu’il anime et dirige du dehors, sans s’incorporer. Enfin, il y a les cas, plus nombreux, où l’Esprit concrète et matérialise sa propre enveloppe fluidique, au point de reparaître tel qu’il était dans sa précédente existence terrestre. La matérialisation serait alors une sorte de réincarnation passagère.
Le livre des médiums d’Allan Kardec au chapitre 6, paragraphes 101 à 107 donne des explications sur les apparitions. Vous pouvez trouvez aussi dans le livre « Dans l’invisible de Léon Denis au chapitre 20, l’exemple d’un Esprit qui change de forme au cours d’une séance de matérialisation, pour se faire reconnaitre par sa sœur.
Fraternellement,
Sylvie
Bonjour,
Dans le livre des Esprit d’Allan Kardec à la réponse à la question numéro 344, « A quel moment l’âme s’unit-elle au corps répond à votre question, il est montré que lorsque l’Esprit doit s’incarner dans un corps humain un lien fluidique le rattache à l’embryon. La réponse à la question numéro 345 montre que ce lien est définitif. L’Esprit se trouve attiré par une force irrésistible dès le moment de sa conception. A mesure qu’il se développe, le lien se resserre. Le périsprit, qui possède certaines propriétés de la matière, s’unit, molécule à molécule, avec le corps qui se forme. On peut dire que l’Esprit, par l’intermédiaire de son périsprit, prend en quelque sorte racine dans ce germe, comme une plante dans la terre. Quand le fœtus est entièrement développé, l’union est complète, alors il naît à la vie extérieure.
Quand aux sons, à l’environnement et aux comportements de la mère et du père, nous pouvons avoir une explication dans le livre Entre la terre et le ciel d’André Luiz psychographié par Chico Xavier. Il décrit les liens profonds entre la mère et l’Esprit de l’enfant à naitre. Il est montré que les pensées de la mère gardent une immense force sur l’Esprit, de la même manière que celle de l’Esprit se révèle d’un grand pouvoir sur la nouvelle mère. C’est une peu comme si l’esprit de l’un et de l’autre ce juxtaposaient et se maintenaient en parfaite communion, jusqu’à la naissance. D'une telle association provient ce que l'on appelle les marques de naissance. Certains états intérieurs de la femme atteignent, d'une certaine manière, le principe fœtal, le marquant pour toute son existence. Le travail de la maternité ressemble à un délicat processus de modelage. Le père quand à lui, par son attention et sa tendresse ou non, facilite ou non la tâche maternelle de la femme.
Au vue de ce qui a été dit plus haut et de ce que dit André Luiz, nous comprenons que la mère, mais aussi indirectement le père par la douceur ou non qu’il apporte à la mère, ont une grande influence sur l’enfant à naitre et ce, dès le début de la conception.
Sachant aussi que ce n’est pas le corps du bébé qui réagit directement aux sollicitudes des parents, mais l’Esprit qui influe sur le corps du bébé par lequel il est lié.
L’avortement, quand à lui, rompt le lien fluidique qui unit le corps de l’enfant à l’Esprit depuis le début de la conception. Ce lien rompu, l’enfant ne peut pas vivre et donc l’Esprit ne pourra pas s’incarner dans ce corps qui aurait dû être un instrument pour supporter ces épreuves comme le montre la réponse à la question numéro 357 du livre des Esprits d’Allan Kardec. L’avortement revient à ôter la vie à l’enfant avant sa naissance.
Fraternellement,
Marc
Bonjour,
L'écriture automatique est un processus médiumnique où il y a suffisamment de fluides pour rendre le bras du médium indépendant de la volonté du médium pour écrire.
Pour une écriture en langue étrangère, il faut un accord avec l'Esprit et le médium et il faut beaucoup de fluides. Il y a peu de médiums polyglottes à l'heure actuelle.
En règle générale, l'Esprit se communique par la pensée qui se traduit en mots à l'Esprit/médium qui le transmet. On retrouve plus facilement des expressions ou des tournures de phrases. Voyez pour des exemples, la médiumnité polyglotte de Bozzano.
Fraternellement,
Alexis
Bonjour,
Un Esprit qui a vécu dans la richesse et celui les lois divines c’est-à-dire avec droiture, respect de son prochain, etc.. peut bien demander dans la prochaine vie à avoir une nouvelle vie dans l’abondance et cela autant qu’il le souhaite comme d’autres préfèrent la pauvreté. Le but étant l’évolution ; pour chacun, elle passe par des choix. Nous n’avons pas de récit précis, vous trouverez des exemples dans le Ciel et l’enfer dans la deuxième partie, celle des témoignages.
Fraternellement,
Catherine
Bonjour,
Pour développer sa médiumnité et vous en avez, il faut la contrôler. Pour cela, il est nécessaire de s'instruire, commencez par le livre des médiums d'Allan Kardec, puis avec le livre des Esprits toujours du même auteur pour comprendre le monde de l’au-delà. Ensuite, vous avez Dans l'invisible de Léon Denis.
Tâchez de vous rapprocher d'un centre spirite car un médium a toujours besoin d'être épaulé et de rencontrer d'autres personnes avec lequel il puisse échanger et discuter.
Nous vous conseillons aussi de lire l’ouvrage de Mickaël Ponsardin sur Chico Xavier, l’homme et le médium, cela vous donnera un aperçu d’une médiumnité contrôlée et développée, un bel exemple.
Fraternellement,
Lucien
Bonjour,
Les centres spirites peuvent se développer partout dans le monde quand des hommes ou des femmes s'engagent pour en défendre ou pour répandre les idées du spiritisme.
Au brésil, le mouvement s'est développé grâce à des hommes engagés et qui ont consacré leur vie à cela comme le docteur Bezerra qui a dû faire face à une puissance église catholique. Il y en a eu bien d’autres encore qui ont soutenu la cause avec ferveur puis, il y a eu le médium Chico Xavier. Il a apporté des preuves de l'immortalité et des informations importantes sur le monde de l'au-delà avec plus 490 livres psychographiés…
La croyance des brésiliens en Dieu est un levier puissant face aux français cartésiens et fiers de l'être et il est certain que le Brésil est un terrain fertile pour s'incarner et diffuser les idées spirites...
Nous vous conseillons pour trouver un centre spirite en France, ce nouveau lien là https://mongroupe.conseil-spirite.org/
Fraternellement,
Aurélie
Bonjour,
Le moment de la mort et les conditions de cette mort peuvent être choisis par ceux qui sont le plus avancés et comprennent le sens de l’incarnation sur terre mais ce qui n'est pas toujours le cas sur terre.
Si l'on choisit de partir avant, on appelle cela un suicide ou une euthanasie.
Les personnes qui sont tuées dans un attentat répondent à un destin collectif car rien ne se fait au hasard. Il n’y a pas de hasard, la vie sur terre a un sens et celui-ci correspond à l’évolution de l’individu incarné. Pour ceux ou celles qui sont blessées lors des attentats, ils ou elles traversent cette épreuve difficile également pour une évolution. Il est donc nécessaire de prier pour ils ou elles afin qu’ils ou elles puissent faire face à cette situation.
Fraternellement,
Corinne
Bonjour,
Allan Kardec nous conseille de présenter les principes fondamentaux de la doctrine spirite avant d'inviter une personne. Ainsi éclairée, une personne participant à une réunion médiumnique ne sera pas désorientée, même si elle constate des erreurs humaines, des imperfections médiumniques, de l'ignorance de la part des Esprits qui se communiquent. Elle sera dans la compréhension et saura séparer ce qui est bon de ce qui ne l'est pas. Il n'existe pas de réunion médiumnique idéale à présenter aux nouveaux car la manifestation des Esprits n'est pas un processus didactique et leur manière d'être ou de se comporter, ainsi que leurs communications, se font naturellement, spontanément. Pour ceux qui sont en recherche spirituelle, nous proposons l'étude d'une doctrine convaincante et réconfortante, dont les enseignements ont été révélés par les Esprits et codifiés par Allan Kardec. Car même sans les phénomènes, la connaissance de la doctrine spirite répondra au désir intime de la personne en recherche d'une véritable croyance.
Fraternellement,
Nadia
Bonjour,
L'objectif de la prière d'ouverture d’une séance est l'union des pensées et des sentiments de tous les participants pour chercher la communion avec le plan spirituel supérieur et demander l'aide des bons Esprits en faveur de l'échange médiumnique qui va se réaliser.
Elle est assez courte afin de ne pas fatiguer les participants, parce que si cela a lieu, l'ambiance ne s'harmonise pas suffisamment pour la formation du courant.
Fraternellement,
Corinne
Bonjour,
Dans son ouvrage Les derniers instants de la vie, le Dr Elisabeth Kubler Ross affirme que la préparation à la mort doit commencer tôt dans nos vies et que nous devrions enseigner cela à nos enfants et à nos jeunes pour affronter la réalité de la mort avec plus de sérénité. Selon son expérience, les êtres humains préparés depuis tous petits, ne passent pas par toutes les étapes difficiles de la désincarnation s'ils sont atteints d'une maladie mortelle. Par le degré de maturité que certains enfants malades démontrent face à la mort, il est certain que le détachement se fait rapidement et qu’ils trouvent dans l’au-delà l’accueil qu’ils méritent. A l’heure d’aujourd’hui même si les trois quarts de l'humanité croient à la survie de l'âme, la plupart des croyants ne sont pas préparés pour la vie dans l'au-delà. C’est une question d'éducation et les parents, eux-mêmes, sont très peu préparés, et s'avèrent être des enseignants incompétents qui n'abordent le sujet que de manière fugace lorsque un membre de la famille ou un ami décède subitement.
Fraternellement,
Antoine
Bonjour,
Dans la période qui se suit la mort physique, les habitants des deux plans de la vie continuent de s'influencer réciproquement et très fortement et en général à l'insu des incarnés. Bien sûr, cette influence se poursuivra éternellement, mais elle ne sera pas aussi intense que dans les premiers moments de la séparation. Il est naturel que cela se passe de cette manière parce que nous nous alimentons du magnétisme des êtres aimés. Quand la mort nous impose une séparation temporaire, nous nous sentons lésés au sein de notre être, nous avons besoin de restaurer nos énergies essentielles pour réorganiser le circuit des forces magnétiques dans lesquelles nous nous équilibrons. Ce raisonnement s'applique à ceux qui se trouvent dans les deux plans de la vie.
L’influence des pensées et des actes de ceux qui restent sur terre est tellement importante que souvent les désincarnés n'arrivent pas à s'adapter à la vie nouvelle et, perturbés, ils errent sans but et ne parviennent pas à assumer leurs fonctions dans la vraie patrie. Ceci est dû à un manque de préparation général pour faire face à la crise de la mort. Incarnés et désincarnés souffrent de profonds déséquilibres psychologiques et spirituels lors de cette séparation qu'ils croient définitive, parce que pour la grande majorité si l'on n'a plus les yeux pour voir, seul un silence douloureux répond aux appels des deux côtés.
Tout se passe comme si les premiers pleuraient désespérément dans une pièce de la maison et les derniers dans une autre, unis par les liens indestructibles de la pensée, mais incapables de se comprendre malgré leur proximité, à cause d'un manque absolu de préparation pour ce nouveau type de communication. Tout le monde crie, mais personne ne se comprend.
Prenez patience, priez plutôt votre guide, souhaitez le meilleur pour votre grand-mère et attendez. Le temps réunit toujours ceux qui s’aiment et s’apprécient ; soyez patient.
Fraternellement,
sophie
Bonjour,
Il est parfois possible d'identifier l'Esprit qui se communique surtout quand il s’agit d’un Esprit familier. Mais le plus souvent, l'identité absolue est d'ordre secondaire et sans importance réelle, le contenu du message reste essentiel.
Si par exemple, l’Esprit est dans une confusion mentale suite à son détachement récent du corps physique, il est incapable d’indiquer son nom, celui de ses parents ou la manière dont il s’est désincarné.
Cependant, l’identification peut se faire par l’analyse fluidique. Par les impressions que les fluides nous causent, nous pouvons distinguer les conditions spirituelles du communicant. Ainsi, s'il se manifeste à d'autres occasions, nous l'identifierons par ses fluides, sans même connaître son nom ni avoir besoin d'autres détails.
La clairvoyance est un bon auxiliaire. Elle apporte des détails et des informations qui peuvent être d'une grande valeur pour compléter la connaissance que nous avons à propos de l'identité du communicant.
Il faut être attentif à cette identification car certains Esprits peuvent déguiser leurs apparences par l’utilisation de l'idéoplastie. Le médium peut souffrir d'illusions ou avoir des problèmes dus à l'ambiance fluidique et il ne peut pas voir tous les Esprits.
Fraternellement,
Aude
Bonjour,
Tous ces phénomènes montrent que vous avez de la médiumnité, il n'y a pas de quoi s'inquiéter mais il est nécessaire de vous instruire pour comprendre ce qu'est un médium, la médiumnité et ses manifestations. Lisez Kardec, le livre des Esprits et bien sûr le livre des Médiums. Si vous pouvez rapprocher vous d'un centre spirite pour discuter, échanger et comprendre.
Toutes ces manifestations sont normales quand on a des fluides pour les provoquer.
Fraternellement,
sophie
Bonjour,
En fonction de l’évolution de chacun et de la compréhension que nous avons de la vie sur terre, nous préparons notre détachement et notre avenir dans l’au-delà. Dans le cas de votre cousin, il est difficile de répondre à vos questions car nous ne connaissons pas son avancement et la manière dont il a traversé cette épreuve difficile du handicap. Il a pu le faire avec volonté et énergie ou avec passivité et révolte… Pour celui qui s’applique, il sera accueilli par son guide et retrouvera l’intégralité de son périsprit. Voici un témoignage tiré des psychographies de Chico Xavier : « Luiz Alli Fayrdin se désincarna à Rio de Janeiro, le 2 janvier 1977. Depuis l'âge de six mois, il souffrait d'une limitation motrice qui fut la cause de graves problèmes de déambulation. À l'âge de quinze ans, il fut opéré, puis il dut subir encore deux interventions. Il mourut à l'âge de dix-huit ans suite à des complications postopératoires. Il supporta tout avec le plus grand stoïcisme, faisant preuve à la fois d'une forte personnalité et d'un esprit joyeux et détendu. Dans un message adressé à sa famille le 16 juin 1979, Luizinho, comme on l'appelait, écrivit : - Je ne peux pas encore supporter trop de pensées à la fois ; je dois discipliner mes idées et les traduire en mots et en phrases. Je peux, cependant, dire que mon corps retrouvé l'harmonie dont je rêvais, mes pieds sont parfaits et mes bras bien placés et ma voix est facile, si facile, que je n'imaginais même pas que cela puisse arriver. Je suis heureux de contempler de nouveaux horizons et de voyager sans difficulté, en compagnie des instructeurs qui nous transmettent de nouveaux enseignements. »
Fraternellement,
Louis
Bonjour,
On peut organiser chez soi une étude de l’Evangile ou d’autres ouvrages d’Allan Kardec mais nous déconseillons d’y organiser des réunions spirites, des réunions où des Esprits perdus sont amenés par des guides afin de trouver le soutien qu’ils leur manquent. Ce n’est pas le lieu adéquat et votre vie personnelle ou familiale risque d’être perturbée. Il est préférable d’attendre l’opportunité de trouver une salle qui sert uniquement à ce type de travail.
Si votre groupe est motivé, vos guides, vos Esprits instructeurs et bienveillants mettront en place peu à peu la possibilité de trouver un lieu où les travaux d’aides aux Esprits sera possible. C’est une question de patience, de motivation et de prières.
Dans un lieu consacré exclusivement à ce type de travail, les désincarnés peuvent réaliser des travaux spirituels très importants et délicats. Ils peuvent récupérer, manipuler et diriger des énergies. Ils peuvent faire des chirurgies sur le périsprit, annuler des fixations mentales. Ils peuvent faire des régressions de mémoire….
Pour certains travaux, l'équipe spirituelle installe des appareils spéciaux aussi l'assiduité des participants du groupe et, spécialement, des médiums, est très importante. C’est le fameux laboratoire du monde invisible dont nous parle Kardec dans le livre des Esprits.
Fraternellement,
Hélène
Bonjour,
En général, les frères spirituels conseillent d’organiser une seule réunion médiumnique par semaine, voire deux mais jamais au-delà afin de ne pas provoquer une usure physique et nerveuse chez les médiums. Cependant, d'autres réunions peuvent être réalisées dans la semaine comme l’aide spirituelle, les études ou les cours.
Les études, les réunions médiumniques ne doivent pas durer plus d'une heure et demi dans son ensemble. Les guides spirituels cherchent toujours à limiter le travail des communications car ils savent qu'après 30 ou 40 minutes, la concentration diminue et, par conséquent, la production tombe.
Pour organiser des réunions spirites, nous vous conseillons de voir les conseils que nous donnons dans l’onglet activités, puis déroulement d’une séance médiumnique. Vous trouverez également d’excellents conseils dans le livre des Médiums d’Allan Kardec.
Fraternellement,
Hélène
Bonjour,
Voici un beau témoignage qui remplit d'espoir, bon courage
Fraternellement,
Hélène
Bonjour,
On apprécie les Esprits par leur langage et leurs actions. Ceux-ci se traduisent par les sentiments qu'ils nous inspirent et par les conseils qu'ils nous donnent. En admettant que les bons Esprits ne peuvent dire et faire que le bien, d'un bon Esprit ne peut pas émaner ce qui incline au mal.
« Par les fruits, vous les reconnaitrez » nous a enseigné Jésus.
Il n'y a pas d'autres critères sinon le bon sens, pour évaluer la valeur des Esprits. Tout autre critère absurde donné à cet effet ne proviendra pas d'Esprits supérieurs. Le bon sens ne pourra pas nous tromper, si on analyse le caractère des Esprits avec attention et, principalement, du point de vue moral. Avec un jugement neutre et non en fonction de ses idées ou systèmes ou préférences, on peut arriver à savoir à quel type d’Esprit, on peut avoir affaire.
Pour vous aider, Allan Kardec a établi dans le Livre des Esprits, une échelle qui donne un aperçu de l’étendue des qualités ou des erreurs que chacun peut avoir.
Fraternellement,
Sophie
Bonjour,
On peut dire que les Esprits sont en souffrance ou en déséquilibre dans la vie spirituelle quand ils ne s'aperçoivent pas qu'ils sont désincarnés ou ils ne s'attendaient pas à être désincarnés. Ils ressentent encore le mal qui les a amené à la désincarnation ou des problèmes qui les font souffrir. Par exemple, lors d’une mort violente dans un accident ou un assassinat, il peut y avoir un certain temps qui s’écoule avant qu’ils comprennent leur nouvelle situation.
Ils peuvent aussi être en souffrance quand ils ont mal agi et qu’ils sont face aux conséquences de leurs erreurs. Ils se manifestent avec les faiblesses et les angoisses dont ils sont porteurs. Parfois ils n'ont pas, tout au début, les conditions pour une compréhension normale.
Exemple : les accidentés, les assassinés, les suicidés, les alcooliques, les toxicomanes, les homicides, les avares, les égoïstes, les paresseux, les despotes, les matérialistes attachés à des sensations physiques, les déments, les peureux, les persécutés, etc. Ils ont besoin d’un contact à travers un médium pour écouter et sentir ce qu'ils ne pouvaient pas spirituellement et passer par un renouvellement fluidique et mental.
Fraternellement,
Alexis
Bonjour,
C’est effectivement un peu difficile à admettre.
Biologiquement, l’être humain est programmé pour vivre cent ans. Cela ne signifie pas que lorsque quelqu’un meurt dans un accident à l’âge de quarante ans, il devra souffrir encore soixante ans dans le monde spirituel jusqu’à ce qu’il soit délivré de la charge des fluides vitaux qui lui ont été injectés à sa naissance.
C’est l’attitude du suicidé qui détermine le temps qu’il reste dans ce monde inférieur. S’il se trouve sous l’emprise du désespoir, de la révolte et de l’orgueil, sa situation dans ces régions sera prolongée jusqu’à ce qu’il reconnaisse toute l’étendue de sa misère morale et qu’il se dispose à vouloir, sincèrement, le soutien divin. On voit dans sa nouvelle attitude, une similitude avec la parabole du fils prodigue.
Fraternellement,
Virginie