Vous ici trouverez les réponses aux questions des internautes, rédigées par les médiums du CSLAK.
Bonjour,
Pour répondre à votre question, je vais reprendre un article dans la revue spirite n°46, que je vous donne ci-joint. Cet article est fort complet et répondra, je pense, à toutes vos interrogations :
« L’INCINERATION EST UNE ERREUR
Reprenons l'origine de cette pratique. Dans l'Antiquité, chez les Romains, le columbarium était un édifice creusé dans le roc ou souterrain, garni de niches destinées à recevoir les urnes funéraires contenant les cendres des corps incinérés préalablement, car les Romains avaient la coutume de brûler les cadavres. Cet usage leur venait des Grecs qu'ils avaient conquis et chez lesquels il était en pratique habituelle, principalement en Grèce primitive. Cette mesure qui froisse les sentiments secrets de beaucoup de nos contemporains, est encore pratiquée actuellement en Inde, pays pourtant fonciè rement religieux.
Il est vrai et plus humain d'ajouter qu'aujourd'hui, « au Malabar, on ne brûle plus vivante la ou les veuves éplorées d'un rajah quelconque avec la dépouille de ce puissant seigneur terrestre mais passager ! »
Le Christianisme, protestant ou catholique, a longtemps refusé cette destruction volontaire et brutale des cadavres, parce que contraire au dogme de la résurrection de la chair contenu dans le credo ou symbole des apôtres, établi par le premier Concile de Nicée en 325 sous la présidence césarienne de l'empereur romain Constantin. Ce concile fut alors convoqué pour combattre et condamner l'Arianisme grandissant.
Pour l'Eglise romaine, la résurrection de la chair, dissociée depuis longtemps doit avoir lieu lors du jugement dernier, sans doute, à la mort cosmique de la Terre ou de notre système solaire. Mais l'Eglise ne précise pas tout cela. Ce dogme est néanmoins contestable, car il est contraire à toutes les lois physicochimiques naturelles et donc d'où peut-il provenir ? Il a été introduit d'abord chez les Hébreux par le prophète Moïse, élevé et instruit par les prêtres hiérophantes égyptiens.
C'est par l'embaumement du corps charnel que ces prêtres voulaient conserver toutes les matières organiques périssables y compris le sang, bien que ne circulant plus dans l'organisme après l'arrêt du coeur. Ils pensaient que l'âme, vêtement de l'esprit, revenait vivifier le corps après le jugement d'Osiris. La vie, le souffle est au service de l'âme et lorsque le souffle se retire dans l'âme, l'homme meurt croyaient-ils.
On voit donc que l'âme, le Kâ des Egyptiens, n'est autre que le corps astral des occultistes, le périsprit des spirites et des spiritualistes ; que le jugement d 'Osiris et le Jugement dernier des Chrétiens ont bien la même origine ésotérique : la continuation de la vie, au-delà de la mort, après toutefois un jugement final devant une puissance suprême.
C'est pourquoi, après le trépas d'un pharaon ou d'un hiérophante, les Egyptiens pour garder une demeure à Kâ à l'âme ou corps astral, conservaient en salant d'abord pendant trois mois, puis en injectant ensuite des d'aromates dans le corps physique. Sans doute les Egyptiens employaient le bitume pour l'embaumement et leurs besoins médicaux ; ils remplissaient les cavités des cadavres avec de l'asphalte, ce qui explique comment les tribus nomades se sont servies de momies volées comme combustibles pendant un temps.
Toutes ces préparations avaient comme objectif d'empêcher la décomposition des cellules organiques par la momification perfectionnée, et fixaient autour du corps charnel l'élément fluidique qui aurait présidé à la dispersion des cellules physiques qui contiennent en elles-mêmes une source intime de vie, indépendante du système global organisé du corps humain lorsqu'il est lui-même animé par le double astral.
Ils allaient même plus loin, car par une cérémonie compliquée, ils évoquaient les forces astrales, tournant autour de l'étoile polaire. On pourra observer que l'entrée des pyramides est toujours tournée vers cette étoile et ils infusaient ces forces dans le double, dans le Kâ de la momie, réincarné dans cette sorte d'existence astrale.
Ils incarnaient ce double soit dans la momie elle-même, soit dans de petites statuettes de bois ou de terre cuite placées autour de la momie. Ces figurines, enrobées de fluide astral par incantation, du moins le pensaient-ils ainsi, ont donné lieu beaucoup plus tard, au moyen âge, aux pratiques de l'envoûtement, non moins aléatoires et contestables.
Donc, ces grands prêtres avaient ainsi constitué de véritables villes souterraines d'astraux vivants en pensant agir d'abord sur l'astral terrestre, en tentant de fixer pour très longtemps le pôle de la civilisation sur leur pays et retarder ensuite la réincarnation des humains, par leur science occulte contre les forces du Destin. Cela est-il possible ? Qu'y a-t-il de vrai dans cette puissance ou croyance évanouie ? Lutter contre le destin présente une impossibilité, car c'est aussi aller contre la loi divine ou loi de cause à effet pour tous les êtres quels qu'ils soient, du passé, du présent ou du futur. Empêcher des réincarnations est tout aussi absurde que d'empêcher la mort à l'heure où elle doit survenir. Sur un point, nous savons ceci : c'est que les prêtres égyptiens étaient contre l'incinération, en voulant éviter par l'embaumement et leurs pratiques magiques, le plus longtemps possible, sinon éternellement, le dégagement du double : Kâ, afin de conserver le pôle magnétique de la civilisation au bord du Nil, pendant plus de cinquante-cinq siècles, en empêchant les âmes d'aller s'incarner dans d'autres lieux, dans d'autres races moins évoluées pour eux. On voit avec l'avancée des idées et de la science, combien cette intention était absurde et sans aucune possibilité d'action réelle sur le principe bien établi concernant la pérégrination des âmes. C'est ce que l'on pourrait appeler « la réincarnation forcée », c'est-à-dire l'emprisonnement de l'Esprit dans un astral obtenu par fluides émanant du monde terrestre et lui-même emprisonné dans un corps arraché à la décomposition par une technique de momification.
Telle était la croyance émanant de la religion égyptienne. Avec l'avènement de la doctrine spirite, et plus tard de la métapsychique, mot inventé par le professeur Charles Richet, l'existence de l'âme fut démontrée scientifiquement par l'observation de ses possibilités d'extériorisation et ses manifestations pendant la vie et après la mort. La vérité est une chose lente à acquérir, car elle est reliée au niveau d'évolution des individus comme des masses. En fait, elle est perpétuellement en marche et rien ne pourra jamais arrêter son élan. Nous savons à notre époque, que certains cas de médiumnité permettent d'établir un fluide stérilisateur de matière organique considérée comme morte pour en empêcher la décomposition. Mais cela ne signifie pas que l'on puisse empêcher l'esprit de se dégager de son corps physique, selon un temps variable, après le décès.
Les travaux du Dr Durville l'ont amené à expérimenter par passes magnétiques une main momifiée qui lui servait de presse-papier. Le corps humain vivant peut, dans certaines circonstances, émettre des radiations analogues à l'action stérilisante des rayons x ou des émanations gamma du radium, selon cet infatigable chercheur que fut le Dr Durville. Les résultats des travaux du Dr Durville l'amenèrent à déclarer : «Il nous paraît plus conforme aux lois de la nature, de laisser le corps se désagréger lentement et retourner à la terre, dans le temps et suivant les rythmes que les lois éternelles ont fixés. Ce sont des mystères que la volonté de l'homme ne peut aborder, mais laisser s'accomplir en toute confiance, puisque ce sont des choses naturelles.» Ne devons-nous pas retourner en poussière, plus ou moins rapidement ?
Yvon Leloup, plus connu sous le nom de Sédir, était également un chercheur sur le mystère de l'homme qui se désincarna en 1926, il disait : « Tout ayant une cause et un effet, n'étouffez donc pas le plus petit germe de vie restant encore dans les cellules non désintégrées, de crainte de briser une plante divine. Nous ne devons pas spolier les molécules terrestres qui attendent leur évolution, leurs vibrations des cellules organiques en décomposition. »
Charles Lancelin dans son ouvrage La vie posthume écrit : « Quatre-vingt-dix-neuf fois sur cent, aux derniers moments d'un moribond, malgré l'apparition de spasmes convulsifs, le corps astral du patient , à ce moment psychologique et par suite sa sensibilité, est extériorisée, le sujet n'a plus conscience de ce qu'il éprouve ; le phénomène que l'on constate alors ne constitue que la lutte finale d'un organisme déjà délaissé par ses principes supérieurs (causal et mental) et voulant accomplir instinctivement les actes normaux de la vie. A fortiori diront les partisans de l'incinération, il doit en être de même, après la mort complète, lorsque les principes supérieurs de l'être humain se sont complètement dégagés avec le départ du périsprit, leur véhicule astral. Nous ne voyons donc pas bien, ajoutait-il, la terreur que peuvent éprouver les occultistes et les spirites, en pensant à la douleur, à la souffrance que pourrait éprouver leur corps éthérique ou fluide vital, lors de la crémation des cellules organiques, physiques, non encore complètement dissociées, n'ayant pas perdu toute vitalité, puisque le périsprit est dégagé. A l'appui de cette argumentation, il cite l'incinération de l'apôtre du Spiritisme scientifique Gabriel Delanne, pour lequel nous n'avons trouvé aucune lettre ni testament notifiant son désir d'être incinéré. Même sa fille adoptive n'en avait jamais entendu parlé. Ce que nous savons, c'est que l'Esprit de notre cher aîné s'est communiqué (lors d'une communication spirite reçue par notre frère Louis Serré) sur ce sujet en nous narrant les souffrances qu'il avait éprouvées lors de son incinération. Il nous recommandait d'éviter ce genre de pratique par ses paroles : «Je réponds à la question concernant la destruction de mon corps physique par le feu. Je n'étais pas suffisamment au courant des inconvénients d'un tel procédé sur la libération du corps spirituel et j'en ai souffert pendant un temps toujours trop long. Je suis tout à fait opposé à ce véritable sacrifice humain. Ceux qui le pratiquent sont des ignorants et ne réalisent pas le mal qu'ils provoquent. Sois assuré que ce que tu as supposé est encore faible par rapport à ce qui se passe. Je suis ton frère et le frère de tous ceux qui se sacrifient pour le Spiritisme. »
Le corps éthérique est relié aux cellules organiques du corps physique par le cordon ombilical fluidique dénommé aussi « corde d'argent » par sa brillance spéciale confirmée par une multitude de médiums voyants. Ce corps éthérique, selon les circonstances, peut être impressionné par la destruction brutale (par le feu) des cellules organiques se résolvant rapidement en acide carbonique (si la combustion crématoire est rapide et complète) et en oxyde de carbone principalement. Ce qui est négligé, c'est la connaissance de ce que les cellules organiques sont des éléments spirituels à l'état embryonnaire, appelés monades et qui ont également un périsprit approprié. Le dégagement du périsprit de ces organismes est beaucoup plus lent que chez les humains, il leur faut le temps de la décomposition naturelle du corps qu'elles ont habité, pour retourner dans le fluide vital cosmique.
Si beaucoup d'êtres en dehors des spirites, comme des spiritualistes croyant à l'immortalité de l'âme, conservent instinctivement l'effroi de se faire incinérer, ce n'est pas à cause d'une habitude héréditaire ou d'un simple atavisme ancestral, mais d'une manière subconsciente par l'effet d'un sentiment de conservation plus profond. Nous sommes persuadés et la grande majorité des hommes, que l'inhumation est préférable à l'incinération, car dans le cosmos, tout doit évoluer pour retourner à l'Etre suprême d'où tout émane : matière, force, Esprit. C'est la grande loi de l'évolution éternelle. Chaque esprit incarné, chaque individualité humaine puisqu'elle doit régir un jour comme agent de la divinité une partie de la nature, reçoit entre autres travaux, la tâche de faire évoluer une portion déterminée de la matière terrestre, en lui faisant connaître par l'expérience, le monde vibratoire humain de la vie, c'est-à-dire l'énergie vitale. A chaque incarnation, l'homme, par son système de canaux et de nerfs, reçoit une partie de la masse totale de la matière terrestre qui lui est attribuée dès l'origine pour s'incorporer à son individualité et qui doit retourner à la terre, affinée par le travail propre de la vitalité humaine.
Le corps doit donc reposer là où le demandent les répartitions occultes de la matière (Sédir). Si nous brûlons le cadavre, outre que la libération des éléments psychiques est brutale, elle peut faire souffrir le double, relié au corps éthérique non alors dissocié. Une énorme quantité de particules déjà spiritualisées, reçoivent une dispersion brutale et celles du sol, où devait avoir lieu l'inhumation attendent en vain le travail qu'elles escomptaient et se trouvent frustrées d'une évolution légitime, celle qui devait leur communiquer la vitalité humaine des cellules organiques du cadavre non encore décomposé. Il y a entrave à l'activité naturelle, à la loi secrète de la nature, à la grande loi universelle de l'évolution éternelle.
« Lorsque l'Esprit doit s'incarner dans un corps humain en voie de formation, un lien fluidique qui n'est autre qu'une expansion de son périsprit, le rattache au germe vers lequel il est attiré par une force irrésistible (affinité) dès le moment de la conception. A mesure que le germe se développe, le lien se resserre ; sous l'influence du principe vital matériel du germe, le périsprit, qui possède certaines propriétés de la matière, s'unit, molécule à molécule, avec le corps qui se forme : d'où l'on peut dire que l'Esprit, par l'intermédiaire de son périsprit, prend en quelque sorte racine dans ce germe, comme une plante dans la terre. Quand le germe est entièrement développé, l'union est complète, et alors il naît à la vie extérieure.
Par un effet contraire, cette union du périsprit et de la matière charnelle, qui était accomplie sous l'influence du principe vital du germe, quand ce principe cesse d'agir par suite de la désorganisation du corps, l'union, qui n'était maintenue que par une force agissante, cesse quand cette force cesse d'agir ; alors le périsprit se dégage, molécule à molécule, comme s'il s'était uni, et l'Esprit est rendu à la liberté. Ainsi, ce n'est pas le départ de l'Esprit qui cause la mort du corps, mais la mort du corps qui cause le départ de l'Esprit.
Dès l'instant qu'après la mort, l'intégrité de l'Esprit est entière, que ses facultés acquièrent même une plus grande pénétration, tandis que le principe de vie est éteint dans le corps, c'est la preuve évidente que le principe vital et le principe spirituel sont deux choses distinctes. »
Voilà pourquoi nous disons que la sépulture dans la terre, la décomposition lente du corps charnel doit être préférée en esprit clairvoyant, à l'acte destructif, trop brutal et rapide de la crémation qui annihile la divine vibration de la matière organique. Il faut donc rendre à la terre ce qui appartient à la terre. Cela n'empêche pas l'âme évoluée de s'élever vers les sphères célestes où règnent la lumière et la vérité, en franchissant par ses hautes vibrations, la couche fluidique qui entoure et protège la terre comme la cage isolante de Faraday.
L'illustre Chateaubriand écrivait dans son oeuvre Le Génie du Christianisme : « Nous respectons les cendres de nos ancêtres parce qu'une voix nous dit que tout n'est pas éteint en eut Et c'est cette voix qui consacre le culte funèbre chez tous les peuples de la Terre : tous sont également persuadés que le sommeil n'est pas durable même au tombeau et que la mort n'est qu'une transfiguration glorieuse. »
Bonjour Alexandra,
Vous dites que vous êtes dans le doute sur la vie après la mort mais vous attendez un signe de votre frère décédé, votre conscience s'est ouverte au monde spirituel, vous n'êtes donc pas totalement rangée auprès des scientifiques !
Il se peut que votre frère vous fasse des signes auxquels vous ne prêtez pas attention tels que par les rêves ou par le biais d'intuitions. Vous savez nous attendons toujours des preuves bien matérielles sous nos yeux pour croire alors qu'il suffit de prêter attention.
Il se peut aussi que votre frère ait besoin de temps pour se communiquer à vous. Sachez qu'après la mort, l'esprit désincarné a besoin de temps pour se reconnaître dans le monde des esprits, après cela il y a tout un cheminement à faire avant qu'il puisse être libre de se communiquer. Il est important qu'en tant qu'esprit incarné nous respections cet état de fait car lorsque nous avons le désir immédiat de communiquer avec nos proches décédés, nous les empêchons d'évoluer librement et les rattachons à notre monde matériel.
Je crois que pour approfondir vos connaissances sur le sujet, il serait souhaitable que vous lisiez le livre des esprits (que vous pouvez télécharger sur notre site) qui aborde dans son ensemble toutes les questions sur la vie après la mort.
Sachez que si votre frère veut se communiquer à vous, il le fera, cela ne vous empêche pas de vous adresser à un centre spirite pour de plus amples informations et peut être aurez-vous la chance lors d'une réunion spirite ouverte au publique de recevoir un message de votre frère.
Je vous souhaite bonne continuation dans votre parcours spirituel.
Fraternellement,
Sophie
Bonjour,
Je suis chargé de répondre à vos questions, j'essaierai d'être le plus clair possible.
La situation que vous vivez est très "courante", elle se produit souvent auprès de médiums en devenir comme vous. Manifestement vous avez (de votre propre initiative ou de celle d'un esprit qui veut vous aider) déjà pris un contact avec le spiritisme au moyen des écrits d'Allan Kardec. Les phénomènes physiques qui ont suivi sont certainement une façon plus claire de la part de votre guide (votre ange-gardien si vous préférez, un esprit plus avancé que vous dont la mission est de vous guider) de vous signifier qu'il vous faut prendre contact. Quoi de plus motivant qu'avoir à faire à des esprits comme celui qui vous a ennuyé ?!!! Nombre des médiums du centre ont vécu des expériences du même ordre jusqu'à ce qu'ils se décident à faire le déplacement !
Donc pour ce qui est de savoir si vous avez eu à faire à un esprit, oui cela est plus que probable, et qu'il soit peu avancé tout autant. Je doute que depuis que vous avez écrit ce mail vous ayez encore des soucis avec lui, sinon ils cesseront certainement dès que vous viendrez. Cet esprit n'obéissant, je pense, qu'à un ordre, il est inutile de vouloir communiquer plus avec lui, si ce n'est prier en lui disant que vous avez compris. Evitez tout ce dont vous a parlé votre ami, à savoir bougies et compagnie, c'est totalement inutile, seule une pensée, une prière venant du cœur (et non unpar cœur) est efficace. En effet tout cérémonial futile risque seulement de vous attirer des esprits peu avancés qui se feraient un plaisir de se moquer de vous.
La meilleure solution pour éviter des expériences aussi désagréables que celle que vous avez vécue est la pratique des communications spirites et l'apprentissage de la charité (pas celle de l'aumône, mais celle qui consiste à aimer son prochain). En effet par la pratique on arrive à affiner sa médiumnité, pour réussir à leur fermer son esprit et par l'évolution vers le bien on les éloigne car chacun attire à lui les esprits dont les penchants sont les mêmes que soi. Un bon médium ne doit donc pas seulement apprendre à communiquer, mais aussi à faire le bien.
Je vous déconseille de tenter quoi que ce soit d'autres (sauf la prière bien sûr) avant de venir au centre Allan Kardec, ou tout autre plus près de chez vous, pour éviter tout déboire supplémentaire. Si je n'ai pas été assez clair sur un point ou que vous voulez plus de détails, n'hésitez pas à envoyer à nouveau un mail au centre en indiquant mon nom pour que ce soit moi qui continue à vous répondre. Bonne chance pour la suite et à bientôt,
Vincent.
Bonjour Kathleen,
Je ne puis vous donner une explication absolue de votre rêve car je suis loin d'en connaître toutes les circonstances, toutefois peut-être puis-je vous aider à analyser les choses et observant les différentes possibilités et leurs remèdes.
D'une part, il se peut qu'il ne s'agisse que d'un simple rêve. Les questions suivantes peuvent peut-être vous aider à le déterminer:
1. Quelle est votre approche de la mort? La craignez-vous? Y pensez-vous souvent? Y avez-vous pensé ou y avez-vous eu affaire avant que votre rêve ne se produise?
2. L'image de la faucheuse s'est-elle présentée à vous dans une lecture ou une image avant votre rêve?
3. Quel était l'attitude globale de votre chat lorsqu'il vous a griffé? Est-ce qu'il avait l'air d'avoir peur ou présentait-il une agressivité inhabituelle? (Pour avoir eu 2 chats, je sais qu'ils peuvent prendre la mauvaise habitude de vous réveiller le matin de manière plus ou moins violente s'ils estiment que vous avez assez dormi et qu'il est temps de leur donner à manger).
4. Le premier rêve vous a t'il troublé de sorte que le second aurait pu être provoqué par ce trouble ou est-ce le fait qu'il se soit reproduit qui vous a réellement troublé?
Dans le cas où il ne s'agirait pas d'un simple rêve, et donc où il contiendrait un message à votre égard, il y a encore plusieurs possibilités.
Premièrement, il peut s'agir d'un esprit mal intentionné qui ne cherche qu'à vous troubler, soit par jeu soit pour vous pousser dans une mauvaise direction. Dans ce cas, le mieux à faire est de prier, non seulement pour vous mais aussi (et surtout) pour lui, car en rendant le bien pour le mal, dans le pire des cas vous vous protégerez de lui (si vous êtes sincère bien sûr sinon ça ne sert à rien) ou, mieux, votre exemple le poussera dans la voie du bien.
Deuxièmement, il peut s'agir d'un avertissement d'un bon esprit pour vous appeler à être vigilante vis-à-vis d'un risque particulier, un accident ou un problème de santé (par exemple: vous fumez? ou encore: vous arrive t'il de prendre votre voiture après une soirée arrosée?, etc… ), pour vous ou pour une personne de votre entourage (bien que le rêve semble plutôt être tourné vers vous).
En dernier lieu, et je suppose que c'est ce que vous craignez, il peut s'agir de l'annonce de votre mort, pour vous amener à vous y préparer. Si c'est le cas, sachez que vous n'avez pas plus à craindre votre mort que vous ne craignez votre conscience et que si votre vie est une réussite en terme d'évolution, vous pouvez même la voir comme une chose heureuse. En élevant vos pensées vers Dieu, en priant, et en réparant les tord qui pourraient troubler votre conscience, vous faciliterez, s'il doit avoir lieu, votre passage.
Quoi qu'il en soit, ne laissez aucun trouble gêner votre raisonnement et votre sens critique, la prière vous aidera à voir les choses plus clairement et dans tous les cas, sera bénéfique à la résolution du problème. J'espère vous avoir apporté l'aide que vous attendiez, n'hésitez pas à nous recontacter si besoin est.
Fraternellement,
Olivier.
Bonjour mes frère et sœur en humanité,
Vous venez de vivre une grossesse non désirée qui se termine par une interruption volontaire de grossesse "à contre-cœur", comme souvent en pareil cas. Et toi, le papa éveillé au spiritisme, tu nous fais part de ton désarroi et des interrogations qui sont les tiennes.
Nous sommes bien évidemment plein de compassion pour votre expérience douloureuse, mais avant de répondre précisément à tes questions, je souhaite intervenir en amont, car ces deux grossesses par "accident de préservatif" ne doivent pas être "un pur hasard".
S'il n'y a pas d'erreur dans la gestion de votre pratique de contraception, quel peut être le but de ces deux "expériences" de grossesse non désirée ? Ta femme a-t-elle déjà eu recours à l'IVG avant de te rencontrer ? Sa naissance et la tienne étaient-elles désirées ? Sans chercher dans les vies antérieures, il est possible que certains éléments de réponses se trouvent dans ces questions toutes simples.
Autre chose encore. Votre petit garçon était perturbé et donc perturbant. C'est toujours le cas quand les parents sont "mal" moralement car les enfants perçoivent les états d'âmes de leurs parents. Dès que vous aurez résolu vos problèmes, votre enfant ira mieux. Avez-vous songé à vivre ensemble vers Paris où les emplois sont plus faciles à trouver plutôt que d'attendre une mutation dans le midi où les places sont "chères" ?
Telles sont les questions que je me pose à la lecture de ton témoignage.
Qu'enseigne le spiritisme à propos de l'avortement ? L'essentiel des réponses se trouve dans le "Livre des Esprits" d'Allan Kardec, livre 2, chapitre 7, paragraphe "union de l'âme et du corps, avortement". Ce livre est téléchargeable sur notre site. En résumé les Esprits disent que l'avortement "est toujours un crime, du moment que nous transgressons la Loi de Dieu car c'est empêcher l'âme de l'enfant à naître de supporter les épreuves dont le corps devait être l'instrument". Mais dans le cas où la vie de la mère est en danger du fait de la naissance de l'enfant, "il vaut mieux sacrifier l'être qui n'existe pas à l'être qui existe". Les conséquences de l'avortement pour l'Esprit qui était lié au fœtus détruit sont "que cette existence est nulle et devra être recommencée". "L'incarnation manquée ne sera pas toujours suppléée immédiatement car il faut à l'Esprit le temps de choisir de nouveau, à moins que la réincarnation instantanée ne provienne d'une détermination antérieure".
D'une façon générale, le Spiritisme enseigne que nous sommes toujours responsables de nos actes conscients. A contrario, nous ne sommes pas responsables des actes réalisés dans l'ignorance.
Les spirites ne disposent pas de l'éponge magique de la confession. Tout acte contraire aux Lois Divines devra être repassé tout comme le sauteur en hauteur ne peut rehausser la barre temps qu'il n'a pas franchi la hauteur qu'il a lui-même fixée. Si l'Esprit s'entête à répondre faux aux épreuves qui lui sont proposées pour son avancement, alors ces épreuves seront de plus en plus douloureuses jusqu'à ce qu'il les accepte avec humilité. La prière est le "joug", c'est à dire l'instrument que le Christ nous propose pour nous aider à supporter nos épreuves.
Votre épreuve a été soumise à l'aide spirituelle du mercredi organisé par notre Centre Spirite de Bron. Des prières seront dites pour vous et pour l'Esprit qui devait s'incarner par vous. Les Esprits ont demandé "de s'en remettre à Dieu". Une neuvaine a été faite, prières collectives pendant 9 jours.
Mais Lud, si les spirites ne disposent pas de l'éponge magique de la confession, ils disposent d'une certitude absolue : nous arriverons un jour à l'État Christique, c'est à dire à notre Divinité. Chaque incarnation nous rapproche de cet état car nous progressons sans cesse. Les épreuves sont les tests qui nous permettent de changer de niveau de conscience.
Cependant il ne faut pas croire que le progrès spirituel est un chemin de facilité car plus il nous est donné et plus il nous est demandé.
La culpabilité est toujours un frein à notre avancement car elle mange notre énergie. Ton épouse et toi ne devez pas rester sur cet échec, mais vous devez le transmuter, c'est à dire en faire un facteur de progrès. Jésus n'a-t-il pas dit ? : "la pierre que tous les bâtisseurs rejetaient, j'en ai fait la pierre angulaire de tout mon édifice".
Pour cela, il ne faut pas que cette interruption volontaire de grossesse soit un sujet tabou, ni un sujet de discorde entre vous. Faites vous aider si nécessaire par des thérapeutes compétents, mais commencez par régler sans passion, mais avec amour, vos autres problèmes et notamment votre séparation du fait du travail. A deux vous serez plus forts.
N'oubliez pas non-plus l'aide de vos guides spirituels (vos anges-gardiens) qui sont plus avancés que vous, car si vous êtes plus forts à deux, alors à quatre !
Bien fraternellement.
Marc.
Bonjour, Généralement les gens pensent à écrire leur biographie quand ils sont âgés et donc en fin de vie ; il n'y a donc rien d'anormal à ce qu'ils tombent malades ou qu'ils meurent.
Votre rêve n'est certainement que le reflet de ce que vous vivez à savoir la poursuite d'un objectif que vous n'arrivez pas à atteindre, votre métier d'écrivain et la précarité de cette situation, l'impression de marcher sur lequelle chose de floue.
Il y a des périodes dans la vie où les évènements ne s'enchaînent pas toujours comme on le voudrait. La prière peut vous aider, celle que vous adressez à votre guide en y mettant toute votre confiance et votre coeur, demandez-lui des conseils pour avoir un meilleur discernement.
La lecture du "Livre des Esprits " d'Allan Kardec vous enseignera sur ce monde de l'au-delà et vous éloignera des superstitions et des doutes.
Fraternellement,
Gilles.
Bonjour Lily,
Votre arrière-arrière grand-mère avait le don de guérison. De nombreux témoignages prouvent que les NDE ne sont pas des phénomènes bizarres : de plus en plus de gens, entre la vie et la mort, en font l'expérience. En ce qui concerne la disparition des vêtements votre mère, ces faits vous concernant peu et étant trop anciens pour qu'il n'y ait ni imaginaire ni déformation dans vos souvenirs, je ne souhaite pas les commenter. Seuls les évènement que vous vivez en ce moment peuvent faire l'objet d'une réponse de ma part.
Si vous sentez des présences qui vous épient et que des problèmes électriques se produisent sans explication rationnelle, c'est peut-être le signe que vous avez de la médiumnité à effets physiques. Cette médiumnité n'a d'intérêt que parce qu'elle attire votre attention sur la vie dans l'au-delà. Il n'est pas recommandé de se satisfaire de ces manifestations qui sont l'action d'esprits peu évolués.
La connaissance du monde des esprits, la prise de conscience, la volonté, l'élévation de vos pensées et la prière quotidienne sont nécessaires pour stopper ces phénomènes et passer à une autre forme de communication plus subtile et donc provenant d'esprits plus élevés. Vous pouvez également prier pour ces esprits qui vous incommodent afin qu'ils vous laissent tranquille et qu'ils se tournent vers des occupations plus saines.
Pendant notre sommeil, nous sommes dans un état de réceptivité plus important. Il est donc judicieux de prier le soir et de demander à votre guide de vous accompagner ou de se faire remplacer par des bons esprits, de nuit comme de jour. Comme vous l'avez expérimenté, la prière fervente, sincère et régulière vous permettra de faire cesser ces accompagnements indésirables et de trouver un peu de sérénité, afin de prendre du recul par rapport à tous ces évènements insolites.
Si vous constatez que vous avez de la médiumnité, il est impératif de ne pas vous tourner vers la voyance, la magie noire, le vaudou, etc. pour éviter des inconvénients encore plus gênants que ceux que vous connaissez. A ma connaissance il n'y a pas de centre spirite aux Antilles. Pour mieux connaître ce monde invisible, la consultation de notre site Internet et la lecture de oeuvres d'Allan Kardec vous aidera : "le livre des esprits" (qui est la base indispensable de votre démarche), le livre des médiums, l'évangile selon le spiritisme, le ciel et l'enfer et les oeuvres de Léon Denis. Ensuite, Dieu mettra sur votre chemin les évènements et les personnes adéquats à votre engagement.
Je vous souhaite une bonne lecture et du courage pour effectuer un travail intérieur.
Joëlle.