Qu'est ce que l'Agora ?

Vous ici trouverez les réponses aux questions des internautes, rédigées par les médiums du CSLAK.

 

Bonjour,
cela fait 9 mois que j’ai perdu mon fils de 18 ans, soudainement, brutalement, au jour d’aujourd’hui on ne sait pas encore ce qui s’est vraiment passé. Je sais plus à quoi je dois croire, tout est remis en question, je crois à la vie après la mort, j’ai eu des signes de mon fils, une tape sur l’épaule, un visage se dessine dans les nuages, la veilleuse de ma chambre qui double de volume, je me réveille et on est rentrée en moi mais l’absence est terrible.
Je me demande s’il est bien au ciel, s’il m’entend, j’ai essayé l’écriture automatique mais ça n’a rien donné. C’est bizarre, on croit à tant de choses et quand la mort frappe à votre porte, tout est chamboulé, tout est remis en question, il y a une chose dont je suis sûr, quand je l’ai vu mort, j’ai su que je pourrais rentrer en contact avec lui si fort, la mort s’est quoi au juste.
Une maman en détresse.

Bonjour,
Perdre un fils est une épreuve douloureuse, d'autant plus quand le décès arrive de façon soudaine, sans que l'on ait eu le temps de s'y préparer.
Lorsque l'on perd un être cher, il est naturel, et donc fréquent, de s'interroger sur la mort et sur nos raisons d'être ici, sur Terre, dans un monde qui peut nous réserver tant de douleurs...
Parallèlement, de nombreux signes nous laissent entrevoir, espérer, que tout ne s'arrête pas avec la mort et que nos défunts continuent à veiller sur nous et tentent même de se communiquer pour nous rassurer.
C'est ainsi, qu'après avoir été affligées par un décès, de nombreuses personnes se tournent vers le spiritisme où elles trouvent une grande consolation dans des lectures réconfortantes et/ou des communications obtenues dans les centres. En effet, pour les spirites, la mort n'est qu'un changement d'état, une transformation, mais certainement pas une fin.
Lorsque notre vie terrestre doit cesser, on laisse notre "enveloppe charnelle" et l'âme, libérée, s'ouvre à une nouvelle phase de son existence, à une renaissance dans un monde, invisible pour la plupart d'entre nous, mais bien réel, au regard des manifestations, communications, et témoignages reçus de toute part et de tous temps.
C'est pour mettre l'accent sur cette simple perte de corps physique que les spirites parlent plus volontiers de désincarnés et de désincarnation lorsqu'il s'agit de la mort.
J'ignore si vous avez la possibilité de vous rendre dans un centre spirite, mais la lecture reste toujours accessible et réconfortante, même pendant une nuit d'insomnie... Je vous conseillerai de lire particulièrement des auteurs comme Allan Kardec ou Léon Denis qui sauront répondre aux nombreuses questions que vous vous posez et vous soulager moralement pour surmonter cette grande douleur. Nous sommes de tout cœur avec vous, n'hésitez pas à nous écrire si nécessaire.
Fraternellement,
Hélène