Ma compagne est actuellement possédée par un esprit qui dit se nommer Maurice. Parfois il prend le dessus sur elle et il agit à sa place. Comment faire pour se débarrasser de lui ? Car je ne vous cache pas qu'il a fait du dégât dans notre vie... Il semble être bien dans le corps de mon amie et il est très attaché à elle.
Elle, par contre éprouve presque de la sympathie pour lui en tout cas de la compassion... Par contre lui l'esprit (Maurice) me déteste car je suis son rival... Nous aimerions nous débarrasser de lui, c'est à dire qu'il faudrait qu'il rejoigne son plan de vie et que le Seigneur puisse lui montrer la route.
Bonjour,
Pour se débarrasser d'un Esprit, il faut du temps et de la patience. Prendre contact avec un centre spirite si cela est possible afin d'aider par des passes au dégagement, même parfois si un état d'obsession est installé, il faut moraliser l'esprit. Cela se passe lors de séances particulièrement dites de désobsession.
Je vous donne ci-dessous une définition de l'obsession, tiré d'un fascicule " Etude théorique de la médiumnité ", voici une partie du texte :
L'OBSESSION : CONCEPTS ET CAUSES.
CONCEPTS :
Nous pouvons retrouver dans "Le Livre des Esprits", 1ère œuvre de la codification kardéciste, la question suivante : "Est-ce que les Esprits peuvent exercer une influence quelconque sur notre façon de penser ou bien sur nos actions ?" La réponse est la suivante : "Beaucoup plus que ce que vous pouvez imaginer, car les Esprits ont une influence telle que, habituellement ce sont eux qui nous dirigent".
Et pour compléter l'explication, les Esprits répondent à la question 466, formulée par le Codificateur : " Si sur toi des mauvaises influences exercent une action quelconque c'est parce que tu les as attirées en souhaitant le mal seulement dans le cas où tu voudras le mal, les Esprits pourront t'aider à le pratiquer... Néanmoins, d'autres Esprits t'encercleront, en s'efforçant de t'influencer vers le bien, ce qui sert à rétablir l'équilibre de la balance et te laisse seigneur de tes actions".
Sachant que nous tous vivons entourés par le monde spirituel, lequel n'est ni distant ni en dehors du monde matériel mais intimement lié et mélangé à celui-ci, réagissant constamment sur ce dernier, nous allons passer à l'étude de l'obsession qui dépend de la liaison, établie ci-dessus, entre incarnés et désincarnés.
DEFINITION :
Tout d'abord, nous allons examiner la définition que les Esprits ont donnée de l'obsession :
L'obsession est l'empire que de mauvais Esprits prennent sur certaines personnes, en vue de les maîtriser et de les soumettre à leur volonté, par le plaisir qu'ils éprouvent à faire le mal. (Oeuvres Posthumes, page 76).
L'obsession est l'action persistante qu'un mauvais Esprit exerce sur un individu. (La Genèse, paragraphe 45) L'obsession peut se manifester de plusieurs façons, très différentes qui s'échelonnent entre l'influence morale ordinaire, sans signes extérieurs perceptibles jusqu'à la perturbation complète de l'individu et de ses facultés mentales. (La Genèse, paragraphe 45)
Lorsqu'un Esprit bon ou mauvais, veut agir sur un individu, il l'enveloppe pour ainsi dire de son périsprit comme d'un manteau ; les fluides se pénétrant, les deux pensées et les deux volontés se confondent et l'Esprit peut alors se servir de ce corps comme du sien propre, le faire agir selon sa volonté, parler, écrire, dessiner, tels sont les médiums.
Si l'Esprit est bon, son action est douce, bienfaisante, il ne fait faire que de bonnes choses ; s'il est mauvais, il en fait faire de mauvaises ; s'il est pervers et méchant, il l'étreint comme dans un filet et le paralyse jusqu'à sa volonté, son jugement même qu'il étouffe sous son fluide, comme on étouffe le feu sous une couche d'eau ; le fait penser, parler, agir par lui, le pousse malgré lui à des actes extravagants ou ridicules, en un mot il le magnétise, le catalepsie moralement, et l'individu devient un instrument aveugle de ses volontés.(Oeuvres Posthumes, page 76)
Avant même qu'il fût question d'Esprits, de Spiritisme ou de médiums, les Esprits ont existé de tout temps, ils ont joué un rôle car ce rôle est dans la nature et il y a eu un grand nombre de personnes obsédées ou possédées. L'action des Esprits, bons ou mauvais, est donc spontanée ; celle des mauvais produits une foule de perturbations dans le moral et même le physique que, par une ignorance de la cause véritable, on attribuait à des causes erronées.
Les mauvais Esprits sont des ennemis invisibles d'autant plus dangereux qu'on ne soupçonnait pas leur action. Le Spiritisme, en les mettant à découvert vient révéler une nouvelle cause à certains maux de l'humanité ; la cause connue, on ne cherchera plus à combattre le mal par des moyens que l'on sait désormais inutiles, on en cherchera de plus efficaces. Or, qu'est-ce qui a fait découvrir cette cause ? La médiumnité ; c'est par la médiumnité que ces ennemis occultes ont trahi leur présence ; elle a fait pour eux ce que le microscope a fait pour les infiniment petits : elle a révélé tout un monde. Le Spiritisme n'a point attiré les mauvais Esprits ; il les a dévoilés et a donné les moyens de paralyser leur action, et, par conséquent, de les éloigner. Il n'a donc point apporté le mal, puisque le mal existait de tout temps : il apporte, au contraire, le remède au mal en montrant la cause. (Oeuvres Posthumes, page 77)
Puisque, s'il y a des mauvais Esprits qui obsèdent, il y en a de bons qui protègent, on se demande si les mauvais Esprits sont plus puissants que les bons. Ce n'est pas le bon Esprit qui est plus faible, c'est le médium qui n'est pas assez fort pour secouer le manteau qu'on a jeté sur lui, pour se dégager de l'étreinte des bras qui l'enlacent et dans lesquels, il faut bien le dire, quelquefois il se complaît. Dans ce cas, on comprend que le bon Esprit ne puisse pas avoir le dessus. Admettons maintenant le désir de se débarrasser de cette enveloppe fluidique dont la sienne est pénétrée comme un vêtement est pénétré par l'humidité, le désir ne suffira pas. La volonté même ne suffit pas toujours. (Oeuvres Posthumes, page 78)
Il s'agit de lutter contre un adversaire ; or, quand deux hommes luttent corps à corps, c'est celui qui a les muscles les plus forts qui terrasse l'autre. Avec un Esprit, il faut lutter, non corps à corps, mais d'Esprit à Esprit et c'est encore le plus fort qui l'emporte ; ici la force est dans l'autorité que l'on peut prendre sur l'Esprit, et cette autorité est subordonnée à la supériorité morale. La supériorité morale est comme le soleil qui dissipe le brouillard par la puissance de ses rayons. S'efforcer d'être bon, de devenir meilleur si l'on est déjà bon, se purifier de ses imperfections, en un mot s'élever moralement le plus possible, tel est le moyen d'acquérir le pouvoir de commander aux Esprits inférieurs pour les écarter ; autrement ils se moquent de vos injonctions. (Oeuvres Posthumes, page 78)
Avant d'espérer de pouvoir dompter le mauvais Esprit, il faut se dompter soi-même. De tous les moyens d'acquérir la force pour y parvenir, le plus efficace est la volonté secondée par la prière, la prière de cœur s'entend, et non des paroles auxquelles la bouche a plus de part que la pensée. Il faut prier son ange gardien et les bons Esprits de nous assister dans la lutte ; mais il ne suffit pas de leur demander de chasser le mauvais Esprit, il faut se souvenir de cette maxime : Aide-toi, le ciel t'aidera, et leur demander surtout la force qui nous manque pour vaincre nos mauvais penchants qui sont pour nous pires que les mauvais Esprits, car ce sont ces penchants qui les attirent, comme la corruption attire les oiseaux de proie. (Oeuvres Posthumes, page 79) La colère et l'impatience les excitent. Il faut les lasser en se montrant plus patients qu'eux.
Il faut dire aussi qu'on charge souvent les Esprits étrangers de méfaits dont ils sont très innocents ; certains états maladifs et certaines aberrations que l'on attribue à une cause occulte tiennent simplement, parfois de l'Esprit de l'individu lui-même. Les contrariétés, les chagrins amoureux surtout ont fait commettre bien des actes excentriques qu'on aurait tort de mettre sur le compte de l'obsession. On est souvent son propre obsesseur.
Ajoutons enfin que certaines obsessions tenaces, surtout chez les personnes méritantes, font quelquefois partie des épreuves auxquelles elles sont soumises. Il arrive même parfois que l'obsession, quand elle est simple, est une tâche imposée à l'obsédé qui doit travailler à l'amélioration de l'obsesseur, comme un père à celle d'un enfant vicieux. (Oeuvres Posthumes, page 81)
CAUSES DE L'OBSESSION :
De la même façon que les maladies résultent des imperfections physiques qui ouvrent le corps aux influences extérieures pernicieuses, l'obsession découle toujours d'une imperfection morale qui donne accès à un Esprit mauvais. (La Genèse, paragraphe 45) Les causes de l'obsession sont de plusieurs sortes, selon le caractère de l'Esprit :
Désir de vengeance : C'est parfois, une vengeance que le mauvais Esprit exerce contre l'individu à l'égard duquel il a des griefs du temps d'une autre existence. Le passé et les souffrances qui lui ont été infligées par l'obsédé ou bien motivés par celui-ci, font que l'Esprit se maintienne dans un propos de vengeance. (Le Livre des Médiums, question 245)
Désir de faire le mal : Souvent, aussi, il n'y a pas d'autre chose que le désir de faire le mal : l'Esprit qui souffre, veut faire souffrir les autres ; il retrouve par ce moyen, une sorte de plaisir dans le tourment et la vexation de son prochain. L'impatience démontrée par la victime exacerbe ses sens, car c'est là son objectif, tandis que la patience de la victime le fatigue. En se montrant énervé et dépité, celui qui est persécuté fait justement ce que veut son persécuteur. Ces Esprits, agissent, très souvent, par haine et jalousie du bien et c'est de cette façon qu'ils jettent leur dévolu sur les personnes très honnêtes. (Le Livre des Médiums, question 245)
Par faiblesse morale : D'autres Esprits sont guidés par un sentiment de lâcheté qui les pousse à profiter de la faiblesse morale de certains individus, qu'ils savent incapables de résistance. Un Esprit qui dominait un garçon d'intelligence limitée, interrogé sur les motifs de son choix a répondu : "J'ai grand besoin de tourmenter quelqu'un, une personne raisonnable m'aurait repoussée ; je m'attache à un idiot qui ne m'oppose aucune vertu". (Le Livre des Médiums, question 245)
Par orgueil du faux savoir : Il y a des Esprits obsesseurs qui ne sont pas malveillants, qui ont même quelque chose de bien mais qui sont dominés par un faux savoir. Ils ont leurs propres idées, leurs systèmes sur les sciences, l'économie sociale, la morale, la religion, la philosophie et ils veulent faire prévaloir leurs opinions. Pour pouvoir obtenir l'effet désiré, ils recherchent des médiums crédules, capables de les accepter sans aucune forme de discussion et sur lesquels ils exercent une sorte de fascination, avec l'objectif de les empêcher de distinguer le vrai du faux. Ce sont les plus dangereux parce que les sophismes ne leur coûtent rien et ils peuvent rendre crédibles les plus ridicules utopies. Connaissant le prestige des grands noms, ils n'ont pas de scrupule d'utiliser un des ses noms devant lesquels tous s'inclinent et ne reculent même pas devant le sacrilège de se dire Jésus, la Vierge Marie ou encore un saint vénéré. Ils utilisent un langage compliqué dans le but de provoquer l'admiration, langage qui est plus prétentieux que profond, mêlé à des termes techniques et à des mots retentissantes telles les charités et la morale. Soigneusement ils éviteront de donner de mauvais conseils, car ils savent qu'ils seraient refoulés. C'est ainsi que ceux qui ont été trompés, les défendent en disant : "Regardez bien, ils ne disent rien de mauvais". La morale, cependant, pour ces Esprits n'est qu'un simple passeport ; c'est ce qui les préoccupe le moins. Ce qu'ils veulent avant tout c'est imposer leurs idées, même les plus déraisonnables. (Le Livre des Médiums, question 246) "
Voici pour suivre les moyens qu'il faut employer pour se défendre contre un Esprits obsesseur :
L'OBSESSION : MOYENS DE DEFENSE, TRAVAUX DE DESOBSESSION.
De même que les maladies sont le résultat des imperfections physiques qui rendent le corps accessible aux influences pernicieuses extérieures, l'obsession est toujours celui d'une imperfection morale qui donne prise à un mauvais Esprit. A une cause physique, on oppose une force physique ; à une cause morale, il faut opposer une force morale. (La Genèse, chapitre XIV, p. 46)
Les moyens de combattre l'obsession varient selon le caractère qu'elle revêt. Le danger n'existe pas réellement tant que le médium est convaincu d'avoir à faire à un Esprit menteur, comme cela a lieu dans l'obsession simple et ce n'est pour lui qu'une chose désagréable. Mais précisément parce que cela lui est désagréable, c'est une raison de plus pour l'Esprit de s'acharner après lui pour le vexer. Deux choses essentielles sont à faire en ce cas : prouver à l'Esprit qu'on n'est pas dupe et qu'il lui est impossible de nous abuser ; secondement, lasser sa patience en se montrant plus patient que lui ; s'il est bien convaincu qu'il perd son temps, il finira par se retirer, comme le font les importuns qu'on n'écoute pas. (Le Livre des Médiums, chapitre XXIII, question 249)
Bien différent est le cas de la fascination, car alors l'empire que prend l'Esprit sur celui dont il s'empare n'a pas de bornes. La seule chose à faire avec lui, c'est de tâcher de le convaincre qu'il est abusé, et de ramener son obsession au cas de l'obsession simple ; mais ce n'est pas toujours facile et même quelquefois impossible. L'ascendant de l'Esprit peut être tel, qu'il rend le fasciné sourd à toute espèce de raisonnement et peut aller jusqu'à le faire douter, quand l'Esprit commet quelque grosse hérésie scientifique. (Le Livre des Médiums, chapitre XXIII, question 250)
La subjugation corporelle ôte souvent à l'obsédé l'énergie nécessaire pour dominer le mauvais Esprit, c'est pourquoi il faut l'intervention d'une tierce personne, agissant soit par le magnétisme, soit par l'emprise de sa volonté. A défaut du concours de l'obsédé, cette personne doit prendre l'ascendant sur l'Esprit ; mais comme cet ascendant ne peut être que moral, il n'est donné qu'à un être moralement supérieur à l'Esprit de l'exercer, et son pouvoir sera d'autant plus grand que sa supériorité morale sera plus grande, parce qu'il impose à l'Esprit de s'incliner devant lui. (Le Livre des Médiums, chapitre XXIII, question.. 251)
Afin que l'obsédé puisse se prévenir contre l'obsession, il y a la nécessité de fortifier son âme et dans tous les cas d'obsession, la prière est le plus puissant auxiliaire pour agir contre l'Esprit obsesseur. (La Genèse, chapitre XIV, p. 46)
TRAVAIL DE DÉSOBSESSION:
L'action de désobsession se compose de processus variés qui ont pour finalité le réajustement des participants. Ainsi, nous trouvons les directrices de base pour réaliser ce travail de désobsession dans La Genèse au chapitre XIV, p. 46, qui affirme : "Dans le cas d'obsession grave, l'obsédé est comme enveloppé et imprégné d'un fluide pernicieux qui neutralise l'action des fluides salutaires et les repousse. Or, un mauvais fluide ne peut être repoussé par un mauvais fluide. Par une action identique à celle du médium guérisseur dans les cas de maladie, il faut expulser le fluide mauvais à l'aise d'un fluide meilleur. Le travail des passes ou de fluidothérapie a cette action mécanique.
Ceci est l'action mécanique, mais qui ne suffit pas toujours, il faut aussi agir sur l'être intelligent auquel il faut avoir le droit de parler avec autorité, et cette autorité n'est donnée qu'à la supériorité morale ; plus celle-ci est grande, plus l'autorité est grande. C'est la doctrinalisation de l'obsédé, à travers d'exposés, de cours, d'explications évangéliques et le climat fraternel qui va permettre l'obsédé de chercher son renouvellement spirituel à travers d'exemples concrets.
Ce n'est pas tout pour assurer la délivrance, il faut amener l'Esprit pervers à renoncer à ses mauvais desseins ; il faut faire naître en lui le repentir et le désir du bien, à l'aide d'instructions habilement dirigées, dans des évocations particulières faites en vue de son éducation moral et alors on peut avoir la douce satisfaction de délivrer un incarné et de convertir un Esprit imparfait. C'est par ce travail de désobsession que l'on va trouver l'opportunité de tenter de réveiller l'obsesseur charitablement et avec énergie vers la loi de l'amour et du pardon.
REGLES PRATIQUES POUR LE TRAVAIL DE DÉSOBSESSION :
1) Il ne faut pas réaliser une séance désobsession en présence de l'obsédé, car l'oubli du passé de la part de l'incarné est un facteur favorable à la résolution du processus obsessif. Dans le cas contraire, l'obsédé saura où et vers qui diriger sa révolte pour la souffrance qu'il subit ainsi il va se confondre beaucoup plus à son persécuteur.
2) Quand l'obsédé comprend sa situation et participe avec sa volonté et ses prières à sa délivrance, le travail devient moins difficile.
3) Il ne faut jamais révéler à l'obsédé les situations du passé, éclaircies pendant la séance, mais essayer de l'orienter dans la direction où il pourra vaincre ses penchants négatifs.
4) Il ne faut jamais prendre l'obsédé comme une pauvre victime et l'obsesseur comme le cruel bourreau, mais au contraire envisager la situation comme méritant tout l'amour fraternel, et considérer aussi bien l'obsesseur que l'obsédé, comme des frères déséquilibrés et nécessitant des corrections énergique et un appui charitable.
5) Il faut se lancer dans le travail de désobsession, seulement s'il y a un groupe de médiums capables, harmonisés, connaissant la doctrine et de très bonne condition morale.
6) Il faut toujours être en alerte, dans la doctrinalisation, aux subtilités des Esprits obsesseurs, que savent souvent, dans leurs conditions d'Esprits désincarnés, comment et quand ils doivent agir. Cependant souvent obligés à comparaître dans les séances de travail de désobsession, ils feignent d'être dans un état de perturbation spirituelle, "post-mortem", et de ne pas connaître leur état de mort physique, afin de tromper les médiums.
7) Il faut convaincre l'obsédé que s'il réussit à obtenir les faveurs des amis spirituels pour sa libération de l'obsession, de la nécessite première et permanente de continuer à orienter sa vie en progressant dans le sens de l'élévation morale pour réussir réellement à se rendre hors d'atteinte des Esprits imparfaits. 8) Il faut enseigner à l'obsédé et à sa famille que le Spiritisme est la clef pour la solution à leurs problèmes immédiats et le principal guide de lumière pour la vie entière.
Voici dans les grandes lignes ce que je peux vous dire sur ce sujet, vous trouverez tous ces ouvrages dans notre site à télécharger.
Cordialement,
Catherine.