Qu'est ce que l'Agora ?

Vous ici trouverez les réponses aux questions des internautes, rédigées par les médiums du CSLAK.

Bonjour,
Je voulais vous écrire pour aborder un sentiment lié au contexte actuel bien plus spirituel que sanitaire mais je ne vous apprends rien. Cette année, je la perçois comme décisive dans cette lutte, j’ai l’impression de ne plus pouvoir repousser le combat.
Cette sensation d’avancer d’un pas et de reculer de deux est déstabilisante dans l’apprentissage et impact le courage dans la lutte, l’ego est toujours difficile à dompter et l’époque dans laquelle nous sommes ne laisse pas une journée de repos à l’esprit.
Je sais que la progression doit se faire en fonction de la limite de mes capacités, seulement je ne supporte plus celui que j'ai été dans l’addiction, ni celui que je suis par moment, et je me dis qu’en me réformant au plus vite cette sensation désagréable s’atténuera par la même occasion. Pensez-vous que le mal être actuel peut venir de mon impatience ?

Bonjour,
Message de nos guides : « Dans votre monde matériel, vous devez laisser de côté les tâches superflues sont celles qui encombrent les pensées, les brouillent, les multiplient, celles qui apportent la division, les discussions stériles, les observations sans fondement, celles qui multiplient les inquiétudes, celles qui conduisent à des dissensions dans le raisonnement, les tâches qui ne vous élèvent pas.
Vous ne changerez rien de ce qui se met en place et qui offre si peu d’intérêt. C’est le raffinement de ceux qui discutent, qui observent, rassemblent et défont, qui multiplient.
Soyez dans l’unité dans ce que vous réalisez, dans ces moments simples où vous faites ce dont vous avez besoin pour vivre ; ces moments qui vous aident à maturer dans vos lectures, dans vos réflexions, dans ce sentiment du beau, de cette élévation où vous pensez à la chance que vous avez de vous accomplir, de vous grandir.
La pandémie qui frappe votre humanité est là pour réfléchir à ce qui est nécessaire, pour comprendre que votre monde n’existe pas en termes de pays, de régions, mais de Frères et de Sœurs unis dans ce besoin de se grandir, de s’aider. »
Fraternellement,
Catherine