Né au Brésil en 1927, la trajectoire de Franco Pereira Divaldo est à la fois historique et impressionnante. En 1947, il commença à faire des conférences, défendant la Doctrine Spirite codifiée par Allan Kardec. "Le spiritisme présente le monde spirituel comme une autre dimension de notre réalité, une réalité d'où nous sommes venus et où nous allons après la mort corporelle". Franco Pereira Divaldo défend la Doctrine Spirite. Le spiritisme présente le monde spirituel comme une autre dimension de notre réalité, une réalité d'où nous sommes venus et où nous allons après la mort corporelle. Il enchaîne conférences, séminaires, interviews, émissions de télévision. Divaldo a transcrit de nombreux messages d'entités spirituelles. Il a publié plus de 300 ouvrages : prose, chroniques, essais, romans et vendu 4 500 000 exemplaires traduits en 14 langues.

Dans la Grèce antique, les oracles étaient un aspect fondamental de la religion. Ils étaient rendus par certains dieux, dans des lieux précis et suivant des rites rigoureusement établis. L'oracle de Delphes, qui permettait d’interroger le dieu Apollon, était l’un des plus célèbres de l’Antiquité. Il a été consulté jusqu'au IIème siècle av. J.-C. L'oracle est la réponse donnée par le dieu à une question personnelle concernant généralement l’avenir et nécessite le plus souvent une interprétation. A Delphes, la prophétesse (c’est-à-dire, selon l’étymologie grecque, "celle qui parle à la place [du dieu]") était appelée la Pythie. A l’origine, elle s'exprimait en vers et ses propos confus devaient être interprétés par deux prêtres, assistés par cinq ministres du culte.

Ce reportage relate l’histoire de la réincarnation supposée d’une jeune indienne, nommée Sudha, dont le corps a été retrouvé le 26 octobre 1978 le long du chemin de fer du Gange. L’enquête réalisée à l’époque a conclu que le corps de Sudha, après avoir été étranglé, fut jeté d’un train en marche. Quatre années après la découverte de ce corps, une enfant nommée Meenu, âgée de 3 ans et vivant dans le village de Bethar, commencera à raconter des détails étranges, troublants et d’une grande précision concernant les circonstances de la mort de Soudha, qu’elle présente alors comme étant une de ses vies antérieures.
En supposant que les réincarnations soient bien réelles, Meenu aurait donc vécu, au travers du corps de Sudha, à Kânpur et aurait été mariée à un médecin de renom, nommé Vinay, qui aurait entretenu une relation amoureuse avec une infirmière, nommée Bhagwati. Après avoir entendu leur enfant parler pendant des années de sa vie antérieure et de sa maison de Kânpur, les parents de Meenu auraient décidé de tester la véracité de ses propos en la conduisant à Kânpur. Meenu aurait alors sans aucune difficulté et sans être, semble-t-il, venu au préalable à Kânpur, conduit ses parents et sa grand-mère jusqu’à l’ancienne maison qu’elle occupait. Elle y aurait alors rencontré son ancienne famille qu’elle aurait reconnue et aurait une fois de plus donnée de nombreux détails troublant et d’une grande précision sur sa vie antérieure. Les propos de la fillette ont été utilisés comme témoignage secondaire dans le procès qui envoya Vinay, le mari de Sudha, en prison pour meurtre. La réincarnation met en avant que l’esprit, au travers des différents corps qu’il va occuper durant son existence, va pouvoir s’élever sur les différents plans d’existences aussi bien spirituel que moral et ainsi atteindre la perfection. On comprend alors que dans un pays tel que l’Inde, où la réincarnation est une doctrine ancrée au plus profond des cœurs de millions d’individus, le cas de Meenu soit accepté et surmédiatisé sans que personne ne crie à l’affabulation, la manipulation d’une enfant ou encore une hystérie collective…
Le département de parapsychologie de l’université de Virginie en Amérique s’est intéressé au cas de Meenu. Selon la parapsychologue qui aurait étudié le cas de la réincarnation de Meenu, il lui semblerait très difficile pour une enfant de cet âge là d’être capable au travers d’un apprentissage ou d’une manipulation quelconques de fournir des détails aussi précis sur la vie de Sudha. 

De très nombreux Romands ont déjà vécu une NDE. Dans le coma, ils sont sortis de leur corps, sont entrés dans un grand tunnel de lumière blanche et sont revenus ensuite à la vie avec la sensation d'avoir été transformés.
Quatre Suisses romands racontent leur NDE et comment elle a modifié leur vie. Denise Gilliand les rencontre dans leur cadre de vie, à Fribourg, Bulle, Echallens et Genève, pour évoquer avec eux leur passé. Issus de milieux différents, Sophie, Claude, Mireille et Nicolas en sont pas issus des mêmes milieux, ils n’ont pas les mêmes croyances. Tous quatre parlent avec émotion de cette expérience et affirment qu’elle a transformé leur vie et modifié leurs valeurs. Ils ont toutefois longtemps éprouvé des difficultés à l’évoquer, craignant les réactions sceptiques ou moqueuses Leur principale motivation à en témoigner aujourd’hui est d’aider ceux qui souffrent toujours de ne pas oser en parler. Des personnes ayant frôlé la mort racontent qu’elles sont sorties de leur corps et qu’elles ont effectué un voyage au cours duquel elles ont notamment rencontré des proches décédés ou un « être de lumière », puis en sont revenues transformées.
Ces récits sont connus depuis 1975 par le sigle américain NDE, Near Death Experience, formulé par Raymond Moody dans « La vie après la vie ». Depuis, de nombreuses recherches tendent à confirmer que cette expérience troublante, et de plus en plus fréquente en raison des progrès médicaux qui permettent de réanimer des personnes en état de mort clinique, est vécue de façon similaire à travers le monde. S’agit-il d’un bref passage dans l’au-delà, la conscience ou l’âme quittant le corps physique, ou s’agit-il d’un phénomène hallucinatoire complexe, qu’aucune hypothèse scientifique ne parvient (encore) à expliquer de façon satisfaisante ? Quelles que soient les convictions de chacun, le phénomène mérite beaucoup plus d’attention : il a certainement touché des milliers de Romands, des personnes parmi nous qui n’osent guère en parler même lorsqu’elles sont convaincues de la réalité extraordinaire de ce qu’elles ont vécu, et qui a bouleversé leur conception de la mort.