De très nombreux Romands ont déjà vécu une NDE. Dans le coma, ils sont sortis de leur corps, sont entrés dans un grand tunnel de lumière blanche et sont revenus ensuite à la vie avec la sensation d'avoir été transformés.
Quatre Suisses romands racontent leur NDE et comment elle a modifié leur vie. Denise Gilliand les rencontre dans leur cadre de vie, à Fribourg, Bulle, Echallens et Genève, pour évoquer avec eux leur passé. Issus de milieux différents, Sophie, Claude, Mireille et Nicolas en sont pas issus des mêmes milieux, ils n’ont pas les mêmes croyances. Tous quatre parlent avec émotion de cette expérience et affirment qu’elle a transformé leur vie et modifié leurs valeurs. Ils ont toutefois longtemps éprouvé des difficultés à l’évoquer, craignant les réactions sceptiques ou moqueuses Leur principale motivation à en témoigner aujourd’hui est d’aider ceux qui souffrent toujours de ne pas oser en parler. Des personnes ayant frôlé la mort racontent qu’elles sont sorties de leur corps et qu’elles ont effectué un voyage au cours duquel elles ont notamment rencontré des proches décédés ou un « être de lumière », puis en sont revenues transformées.
Ces récits sont connus depuis 1975 par le sigle américain NDE, Near Death Experience, formulé par Raymond Moody dans « La vie après la vie ». Depuis, de nombreuses recherches tendent à confirmer que cette expérience troublante, et de plus en plus fréquente en raison des progrès médicaux qui permettent de réanimer des personnes en état de mort clinique, est vécue de façon similaire à travers le monde. S’agit-il d’un bref passage dans l’au-delà, la conscience ou l’âme quittant le corps physique, ou s’agit-il d’un phénomène hallucinatoire complexe, qu’aucune hypothèse scientifique ne parvient (encore) à expliquer de façon satisfaisante ? Quelles que soient les convictions de chacun, le phénomène mérite beaucoup plus d’attention : il a certainement touché des milliers de Romands, des personnes parmi nous qui n’osent guère en parler même lorsqu’elles sont convaincues de la réalité extraordinaire de ce qu’elles ont vécu, et qui a bouleversé leur conception de la mort.

La télépathie correspond à un échange d’informations entre deux personnes n’impliquant aucune interaction sensorielle ou énergétique connue. La télépathie n'est pas un phénomène reconnu par la communauté scientifique. Un des protocoles de parapsychologie ayant pour objectif d'étudier la télépathie est le ganzfeld. Partant de l'hypothèse que les perceptions télépathiques sont plus faibles que les perceptions sensorielles "classiques" et peuvent être occultées par ces dernières, le protocole consiste à placer les sujets dans un état tel que les perceptions sensorielles "classiques" soient réduites au minimum. Les résultats des expériences seraient significatifs, mais leur validité n'est pas admise par l'ensemble de la communauté scientifique, mettant en avant un possible effet tiroir (une sélection de résultats significatifs dans la méta-analyse) et l'absence d'une théorie expliquant ce phénomène de manière convaincante.  

L’écriture automatique est une méthode d’écriture bien connue des auteurs surréalistes. Cette méthode aurait été développée par André Breton, dans les années 1910, à partir des travaux du psychologue Pierre Janet sur « l’automatisme psychologique » et Sigmund Freud sur « l’inconscient ». L’écriture automatique consiste à poser des mots sur une feuille, sans tenir compte de la typographie ou encore de la grammaire ou de l’orthographe, sans que la raison contrôle la teneur des propos écrits. On comprend alors aisément que la personne qui écrit doit se trouver dans un état proche de l’état hypnotique. Une passerelle entre notre niveau de conscience et celui d’autre entités désincarnées se manifesterait donc au travers de l’écriture médiumnique et les personnes disposant d’une sensibilité suffisante pour pouvoir ainsi nous transmettre des messages venus d’un autre plan. Dans cette vidéo, nous allons retrouver une personne qui prétend être capable de réaliser une écriture automatique médiumnique. Les défenseurs de la science pourraient clamer haut et fort que cette femme n’a eu qu’à s’instruire sur la technique d’écriture médiumnique. Mais force est de constater que ce type d’écriture est difficilement réalisable sans une véritable formation, et que les styles d’écritures des différents grands auteurs de notre temps ont tous la particularité de ce démarquer du moule des écrivains moins connus. 

Ces deux reportages étudient les phénomènes de hantise en des lieux tristement célèbres tels Amityville, le cabaret de Bobby Mackey dans le Kentucky et le château de Muncaster en Angleterre. De nombreuses manifestations physiques (déplacement d’objets, lévitation, substances qui coulent des murs, attaques invisibles…) transforment ces lieux en de véritables endroits cauchemardesques. Il semblerait que les âmes y étant restées prisonnières souffrent beaucoup… Les points de vue des scientifiques et des journalistes et ceux des parapsychologues s’affrontent. Qui a raison ?