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Léon Denis est né à Foug le 1er janvier 1846. Il découvrit le Spiritisme à 16 ans à travers le « Livre des Esprits ». Après la guerre de 1870, il prit la décision d’instruire le peuple. Ses ouvrages sont :
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Lorsqu'en juillet 1914, des bruits alarmants vinrent assombrir les coeurs, lorsque le 3 août fut affiché l'ordre de mobilisation, Léon Denis en ressentit une poignante affliction. Lui qui avait vu la précédente guerre et compris la cause de nos désastres, lui qui savait que l'Allemagne était à nouveau prête et qui devinait les lacunes de notre impréparation, comment eût-il gardé beaucoup d'illusions sur l'issue de l'effroyable aventure ? Mais il était loin de penser que la lutte serait aussi longue et aussi mons¬trueuse.
A ce moment, ses dispositions étaient prises pour se rendre aux eaux de Challes. Il y emmenait Mme Forget durement affectée elle aussi, par le désarroi général. C'est donc de Savoie que leur parvinrent les premières nouvelles de la guerre, l'écho des batailles du début, puis, après Charleroi, celui du splendide redressement de la Marne.
Le péril paraissant momentanément écarté, ils revinrent à Tours. C'est alors qu'ils prirent la réso¬lution de vivre ensemble afin de faire économie de logement et de main d'oeuvre. Leurs moyens d'existence étant des plus modestes, il fallait prévoir, au milieu de tels événements, une augmentation rapide du coût de la vie. L'année suivante, au cours de l'été, Léon Denis quittait donc son appartement de la rue de l'Alma pour aller s'installer, avec sa vieille amie, dans un local plus vaste et plus confortable, au n° 19 de la Place des Arts, où l'un après l'autre ils de¬vaient achever leur vie.
Léon Denis avait vu la plupart de ses familiers partir pour le front.
A soixante-huit ans et infirme, Léon Denis ne peut servir, mais il est quand même à son poste. Il suit, par la pensée, l'effort gigantesque des armées qui plient sous l'avalanche teutonne. Il écrit, mois par mois, des articles ardents et frémissants où bat son coeur de patriote et d'apôtre.
« Ce ne sont plus des milliers, ce sont des millions d'hommes qui se heurtent dans un choc formidable, dans une lutte telle que le monde n'en a jamais vue de semblable. »
Léon Denis est né à Foug le 1er janvier 1846. Il découvrit le Spiritisme à 16 ans à travers le « Livre des Esprits ». Après la guerre de 1870, il prit la décision d’instruire le peuple. Ses ouvrages sont :
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Après avoir écrit son beau traité de la médiumnité, Dans l'Invisible, Léon Denis aborde maintenant le problème de la destinée humaine.
« Le Spiritisme, dit-il, nous apporte le moyen d'éloigner le doute de votre coeur, de votre pensée, il vous sollicite et vous persuade ; il vous entraîne irrésistiblement vers un horizon où s'allument les clartés attendues. Foi du passé, sciences, philosophies, éclairez-nous d'une flamme nouvelle ; secouez les vieux linceuls et les cendres qui les recouvrent. Ecoutez les voix révélatrices de la tombe : elles nous apportent un renouveau de la pensée avec les secrets de l'au-delà que l'homme a besoin de connaître pour mieux vivre, mieux agir, mieux mourir. »
Dans ce livre, dans la première partie, l'auteur montre la lente évolution mais continue de la pensée intuitive déblayant le terrain devant la science. Il décrit ensuite la personnalité de l'être et des différents états du sommeil. En s'appuyant sur des exemples, il explore les projections télépathiques, les dégagements, les extorisations et les manifestations après le décès.
Dans la deuxième partie, il démontre toute la grandeur de la réincarnation qui permet d'expliquer les enfants prodiges, les souvenirs de vies antérieures.
Enfin en dernière partie, il aborde les puissances de l'âme. Avec une fougue communicative, il nous explique la force de la volonté, l'évolution de notre conscience, le libre arbitre, l'amour, la douleur.
Et l'on peut dire pour : « Tous voudront lire ces pages d'une science et d'une philosophie profondes quoique accessibles aux plus simples intelligences. Ajoutons que la netteté des idées, le coloris du style, la beauté de la forme et la logique des déductions en font à la fois un régal pour l'esprit, un réconfort pour la raison, une joie exquise pour le coeur. »
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Il est né en 1878 en Belgique à Villers Poterie. Il devient médecin, puis s'intéresse à la doctrine spirite dont il défend les valeurs dans la revue spirite belge. Il est également poète et romancier sous le pseudonyme de Léon Marie Thylienne. Ses ouvrages sont :
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L'auteur développe, dans cet ouvrage, les bienfaits de la croyance en la doctrine spirite. Elle apporte le courage pour ceux qui avaient perdu un fils ou un père au cours de la première guerre mondiale. Il montre également le soutien que donnent les communications spirites ainsi que l'espérance en d'autres incarnations : "Avec la foi en un au-delà faisant justice d'après notre karma terrestre, donnant la certitude que nos bonnes actions seront récompensées, c'est le stimulant capable de nous porter vers une vie meilleure, c'est la résolution maintenue constante de progresser sans cesse, c'est l'envolée vers l'idéal de perfection que nous devons atteindre."
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Louis Figuier est né à Montpellier en 1819. Issu d'une famille de scientifiques, il fait des études de chimie et de physique. Scientifique brillant, il publie de nombreux articles ainsi que des ouvrages. Après le décès de son fils, il se tourne vers plus de spiritualité et la croyance en la réincarnation. Il se désincarne en 1894 à Paris. Ses ouvrages plus spiritualistes sont :
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Cet ouvrage a un peu vieilli. Jusqu’au chapitre 14, il traite de la nature et de son évolution, des planètes, du système solaire, une documentation qui n’est plus vraiment d’actualité. L’auteur n’aborde vraiment la réincarnation qu’au chapitre 15. Nous voyons dans les chapitres suivants, la longue démarche de l’auteur pour admettre la réincarnation, qui s'explique notamment par les différentes facultés intellectuels des individus.
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Louis Figuier est né à Montpellier en 1819. Issu d'une famille de scientifiques, il fait des études de chimie et de physique. Scientifique brillant, il publie de nombreux articles ainsi que des ouvrages. Après le décès de son fils, il se tourne vers plus de spiritualité et la croyance en la réincarnation. Il se désincarne en 1894 à Paris. Ses ouvrages plus spiritualistes sont :
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Cet ouvrage relate l'histoire et la biographie de grands magnétiseurs comme Joseph Balsamo ou Cagliostro, Mesmer, puis toute une série de magnétiseurs sous l'Empire. L'auteur aborde ensuite diverses manifestations avant de parler des Esprits frappeurs. Principalement motivé par les faits et la phénoménologie, il ne comprend pas la doctrine spirite, ni la médiumnité. Le magnétisme mystique le passionne davantage. Il y a quelques récits invraisemblables dont nous laissons au lecteur le soin de les découvrir comme celui des escargots.