Retour à la bibliothèque |
Il est né en 1813 à Uzès dans une famille bourgeoise où la culture est importante. Passionné de lecture, il exerce une carrière de journaliste puis fonde le quotidien le représentant du peuple. Croyant, il n’a de cesse de rechercher un équilibre entre rationalité et religion. Il s'oriente vers la philosophie spirite et croit en la religion laïque. Il se désincarne en 1894. Ses ouvrages sont :
|
Plus qu'un ouvrage, ce sont des lettres de réponses à un article de journal de l'époque, la république française de 1879, qui critiquaient la qualité des manifestations des médiums Slade et Home. Elles apportent une réponse précise sur la véracité des faits. A la fin, vous trouverez une annexe avec le compte-rendu de diverses expériences.
Retour à la bibliothèque |
Il est né en 1852. Il fait des études de médecin et pratique. Ses ouvrages sont :
|
Dans cet ouvrage, Charles Lancelin nous parle dans la première partie de la mort et de la manière dont on se dégage du corps physique. Il fait appel à son expérience en la matière et détaille les différents corps : éthérique, causal : "Le spiritisme divise l’être en trois principes, corps, périsprit et âme ; l’occultisme, tant oriental qu’occidental le partage, suivant les écoles, en cinq, sept et neuf éléments devant l’enchevêtrement desquels l’étudiant se sent quelque peu troublé. Pour ma part, j’ai, dans le principe, donné la préférence à la théorie spirite qui, à tout le moins, présente une simplicité et une clarté qui séduisent aussitôt : corps physique, intermédiaire plastique et esprit. Mais, d’une part, depuis un certain temps déjà, les spirites éclairés ont été amenés à admettre la division du corps matériel en sarcosome ou corps de chair proprement dit et en double éthérique. D’autre part, il m’a semblé, à l’étudier, que l’intermédiaire plastique, périsprit ou aérosome est infiniment plus compliqué qu’on ne pense, par suite, la théorie occultiste de la division en neuf principes m’a paru se rapprocher davantage de la réalité et devoir être acceptée de préférence à toute autre. Mais l’expérience seule pouvait me donner quelque certitude à cet égard."
Pour la naissance, il parle aussi de ses diverses expériences en matière de dédoublement qu'il a réalisées pour expliquer comment cela se passe :"Dans les expériences de régression de la mémoire c’est sur le double éthérique que l’on agit magnétiquement ; ce double devient de plus on plus petit au fur et à mesure qu’on lui fait remonter ses années d’enfance. Or, lorsqu’on le situe dans les derniers temps de la vie utérine, il prend et le sujet prend à son imitation, la position caractéristique : membres inférieurs et supérieurs ramenés sous le menton, incurvation du cou, etc. A mesure qu’on le fait régresser jusqu’aux premiers temps, il se détend et prend une position de plus en plus allongée, comme le germe qui ne subit pas encore la compression utérine. Et cette modification de position a été fournie par des sujets sans instruction et qui certainement l’ignoraient à l’état normale. Comme, en ceci, on n’a affaire qu’à la mémoire propre du double aithérique, il est logique d’en conclure que celui-ci se rappelle, et que, par conséquent, il a suivi toute la période de développement fœtal donc il existait du jour même de la fécondation."
Retour à la bibliothèque |
Il est né en 1852. Il fait des études de médecin et pratique. Ses ouvrages sont :
|
Ayant eu comme maître le colonel A. de Rochas d’Aiglun, ancien administrateur de l’école polytechnique, Charles Lancelin entreprend l'étude de l'occultisme et s'attache particulièrement à l'étude des vies antérieures et l'exploration de la mort : " Mon mode d’opérer est très simple et ressemble en somme, à quelques différences près, à celui qu’utilisait mon maître : faire rétrograder le sujet dans le temps, par suggestions successives, jusqu’à l’âge de deux ans où, l’enfant ne parlant pas encore, je prends le pouls dont le fonctionnement me guide pour le reste de l’expérience ; je fais remonter le sujet à un an, à un mois, à un jour, à une minute, à une seconde ; puis je lui ordonne de passer dans sa vie utérine que je lui fais remonter de même jusqu’au moment de la conception, où je le rejette dans l’au-delà, c'est-à-dire dans l’état où il était avant sa naissance et où il se retrouvera après sa mort."
Retour à la bibliothèque |
Il est né en 1852. Il fait des études de médecin et pratique. Ses ouvrages sont :
|
Dans cet ouvrage, il propose d’explorer les diverses facettes de l’âme : « l'Esprit est obligé de revêtir une enveloppe en rapport avec le milieu qu'il traverse ; l'ensemble de ces enveloppes ou étuis constitue l'âme, laquelle renferme l'esprit et est à son tour contenue dans le corps matériel qui est l'enveloppe nécessaire à l'Esprit pour séjourner sur le plan physique. »
Retour à la bibliothèque |
Il est né en janvier 1852, dans la commune de Dreux, dans le département d'Eure-et-Loire. Il fait des études de médecin et pratique. Ses ouvrages sont :
|
Cet ouvrage, écrit comme un roman, est très curieux avec ses diverses parties, il fait aussi penser à une pièce de théâtre. L'auteur nous parle des manifestations de l'au-delà et par le biais des questions/réponses, il explique les évocations des morts, les apparitions du fantôme des vivants, la psychométrie, la télépathie, la clairvoyance, etc...
Le livre se poursuit avec une deuxième partie nettement plus intéressante sur l'au-delà : "Par les évocations de défunts, il suffit de se rendre compte que l’humanité posthume ne diffère pas de l’humanité terrestre dépouillée de son corps matériel ; les conditions sont sensiblement les mêmes qu’il s’agisse de l’évocation d’un défunt ou de l’appel d’un vivant." Les informations données ne suivent pas forcément le raisonnement spirite, elles sont cependant instructives.