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Georges est né en 1910. Il fait des études de droit à Aix en Provence et sort agrégé de la faculté. Il se marie en 1931 avec Colette. C'est en 1937 qu'ils s'intéressent à la parapsychologie. Ils pratiquent ensemble l'écriture automatique et le oui-jà et obtiennent des messages après deux années de patientes recherches. En 1925, ils s'établissent à Marseille et créent la Société d'Etudes Psychiques. Georges décède en 1959. Ses ouvrages sont :
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Ces deux auteurs, passionnés par les divers états de conscience de l'être, se penchent dans ce livre sur la médiumnité et ses effets : "Grâce au médium, la communication entre les deux milieux — incarné et désincarné — est désormais possible ; il se produit alors les manifestations classiques habituellement obtenues au cours des expériences. Pour prendre seulement l’exemple de l’écriture médiumnique, le cerveau du médium se trouve suggestionné, éclairé par une pensée qui n’est pas la sienne. Le désincarnés transmet sa pensée par des radiations qui impressionnent les centres cérébraux du sujet qui écrit mécaniquement. On a pu dire, avec justesse, que le médium en état de réceptivité, c’est-à-dire de complète atonie mentale, reçoit rapidement des intuitions qui traversent sa pensée et l’illuminent comme des phares dans la nuit." C'est une étude intéressante à lire dont certains passages ne sont pas toujours en accord avec notre perception notamment sur l'incarnation mais à vous de le découvrir...
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Il est né près d'Edimbourg le 20 mars 1833. Dès son plus jeune âge, il émigre en Amérique. C'est un être très sensitif, nerveux et d’une santé précaire. Sa première manifestation se présenta sous la forme d’une apparition. Ses ouvrages sont :
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Ecrit en 1877, il nous retrace dans la première partie, l'histoire des manifestations médiumniques à travers les époques pour arriver à son 19ème siècle et aux manifestations de la table tournante. Il nous met ensuite en garde contre certaines manifestations médiumniques et nous donne des exemples significatifs de duperie.
Au chapitre VIII, il évoque ses convictions et aborde sa méfiance à l'égard du spiritisme et de la réincarnation à laquelle il ne croit pas : "Cette théorie de la réincarnation donne un caractère nouveau et passablement inquiétant à la sentence biblique, qu'il n'y a point de répit pour les méchants. De malheureux esprits perdent un temps infini à démêler l'écheveau de leur personnalité déjà pas mal embrouillé, et qui peut s'embrouiller davantage. Une inquiétude constante les domine, celle d'oublier leur expérience terrestre, car s'ils perdent le souvenir d'un seul incident, on les renvoie ici-bas pour leur donner un peu plus de mémoire. Ils subissent, par conséquent, de nombreuses incarnations."
Toujours selon lui, Allan Kardec n'est qu'un homme qui a été mystifié : "La doctrine de la réincarnation détruit toute consanguinité. Elle abolit les liens de la famille, de la société, elle étouffe en nous les meilleurs sentiments. En effet, que reste-t-il lorsque tout ce que nous aimons a perdu jusqu'à la conscience de son identité ?"
Nous trouverons vers la fin de l'ouvrage des exemples détaillés de certains phénomènes qu'il a produits.
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Il est né près d'Edimbourg le 20 mars 1833. Dès son plus jeune âge, il émigre en Amérique. C'est un être très sensitif, nerveux et d’une santé précaire. Sa première manifestation se présenta sous la forme d’une apparition. Ses ouvrages sont :
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Dans cette biographie, vous découvrirez des détails personnels de la vie tourmentée de ce médium exceptionnel. Depuis son enfance à ses apparitions en séances publiques, son parcours médiumnique est expliqué avec détails : "La table fut ensuite soulevée en l’air, sans l’aide du pied ou de la main ! Une table pesant, environ, cent livres s’éleva à un pied au-dessus du parquet, ses pieds pendant dans le vide. Je sautai sur elle et elle s’éleva de nouveau. Elle se mit ensuite à se balancer, moi sur elle, sans cependant me faire glisser par terre, quoique son oscillation atteignit au moins un angle de quarante-cinq degrés."
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Daniel Metzger est né au 19ème siècle. Ardent défenseur du spiritisme et écrivain talentueux, ce professeur pour sourds et muets, ne cesse pas d'expliquer la doctrine spirite. Il écrit notamment de nombreux articles pour la Revue spirite. Son ouvrage est :
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Dans cet ouvrage, l'auteur expose les divers phénomènes dus à la médiumnité. Il nous les propose dans une série de chapitres sous le nom de conférences. Il y a des exemples de manifestations spontanées comme les apparitions, les rêves, etc... puis ceux obtenus lors de séances. Il ne développe pas une étude du spiritisme, de sa morale et de sa portée humanitaire mais bien des faits pour montrer combien il convient de les étudier attentivement :" De tout temps, des voix se sont élevées qui ont protesté contre le néant, et affirmé l'union et la solidarité des deux mondes terrestre et spirituel. On a voulu voir, dans cette croyance à ce qu'on appelle à tort le surnaturel, un reste de superstition, un retour aux époques de barbarie et d'ignorance où l'on confondait, affirment les savants et les philosophes, de vains songes avec la réalité. On n'a pas compris, on n'a pas voulu comprendre que la croyance à la survivance de l'âme, malgré la désintégration corporelle, n'avait pu naître, durer et se généraliser que par le phénomène constamment renouvelé d'apparitions effectives et de manifestations diverses, toutes venant rappeler aux vivants de la terre que « les morts ne sont pas les absents, mais les invisibles."
Il termine son ouvrage par un bel exposé sur la doctrine spirite, signe d'évolution de la pensée sur terre.
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Elle est née le 10 Novembre 1914 à Pernambuco près de Rio de Janeiro dans une famille catholique. Ses ouvrages sont :
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C’est un livre court, composé d’histoires courtes, qui nous feront méditer longuement. C’est une œuvre douce et légère, comme une brise qu’on espère sentir toujours, comme une chose qui ne finit jamais, profonde. Cependant les pages de ce type ont besoin d’être lues lentement, presque dans le rythme d’une symphonie de Beethoven. Elles pénètrent par nos yeux et se répandent sur le sentiment comme la rosée fraîche du matin. Les lettres qui forment des phrases dans le meilleur style de la sagesse orientale, se transforment en petites gouttes de paix, elles apaisent et tranquillisent.
L’Esprit-auteur, caché sous le pseudonyme de «Un Jardinier» est une de ces créatures dont les expériences ont modelé le ressenti au cours des âges. Et dans le langage poétique de son symbolisme, il reprend le fond des enseignements de la tradition chrétienne qui renferment une sagesse deux fois millénaire.