Il y a environ 2 ans, un de mes proches me contacte sur mon téléphone fixe avec son portable. Mais, après avoir composé mon numéro, c’est le nom “CLAUDIUS “ qui apparaît sur son écran. Or, Claudius est le prénom de mon père, décédé depuis plus de 40 ans.
Le prénom étant peu commun, mon interlocuteur et moi sommes très étonnés et décidons de refaire l’expérience, mais en y apportant une petite variante : c’est moi qui vais passer l’appel. Et, de nouveau, c’est le prénom Claudius qui s’affiche sur l’écran.
J’ai voulu vérifier si le même phénomène se produisait avec d’autres personnes. J’ai alors appelé divers proches de mon répertoire : pour certains, mon numéro s’affichait normalement, pour d’autres, j’étais devenu « Claudius » sans qu’aucune règle ne me permette de comprendre pourquoi j’étais « resté le même » dans certains cas et pourquoi le prénom de mon père s’était subrepticement interféré au mien, ou à mon numéro, dans d’autres cas.
Ce qui rend ce phénomène encore plus étrange, c’est que l’apparition du mot « Claudius » n’était pas systématique, mais s’effectuait dans « seulement » 20 % des appels, entrants ou sortants.
J’avais appelé divers membres de ma famille, de tous âges, des amis, des collègues. Que mes interlocuteurs aient connus mon père vivant ou pas, qu’ils aient des liens affectifs, familiaux ou sociaux plus ou moins forts avec lui ou avec moi n’influaient en rien le résultat.
Cela ne dépendait pas non plus de l’opérateur téléphonique, car ils étaient tous concernés par l’apparition ou non du phénomène. J’ai juste pu remarquer que cela se produisait uniquement de fixe à portable.
Même si cette « bizarrerie » ne gênait en rien la conversation, qui se déroulait normalement, j’avais besoin de tirer cette histoire au clair, alors j’ai appelé mon opérateur pour comprendre. Ils m’ont affirmé que seul mon nom et prénom étaient dans l’annuaire, qu’aucun changement n’avait été fait et qu’aucun Claudius n’avait jamais été rattaché à mon numéro, même dans leur historique.
Avant d’envoyer ce témoignage, j’ai voulu refaire l’expérience en appelant deux de mes voisins qui habitent côte à côte, en face de chez moi. Chez l’un est apparu mon numéro et chez l’autre le mot « CLAUDIUS ». Puis j’ai rappelé mon opérateur qui m’a tenu le même discours en disant que ce n’était pas compréhensible, ni explicable.
Je reste donc avec mes questions depuis 2 ans : s’agit-il d’une manifestation paternelle ? Mon père essaye-t-il de me joindre ou de se rappeler à mon bon souvenir ? Si oui, pourquoi le phénomène s’arrête-t-il à l’inscription du prénom et ne va-t-il pas plus loin ? Pourquoi n’évolue-t-il pas ? Pourquoi le phénomène n’est-il pas systématique ? Dépend-il de l’interlocuteur ou bien du moment ?
Dans le doute, ne comprenant ni les raisons initiales, ni le but recherché, je sais bien que je ne peux pas me tromper en priant pour lui, ce que je fais régulièrement, en espérant avoir un jour la clef de ce mystère.
Retour à la bibliothèque |
Il est né à Lyon. Médium, il pratique l'écriture inspirée et automatique. Il a obtenu ainsi des preuves d'identité. Il désire rester anomyme mais veut témoigner de son expérience avec vous. Son ouvrage est :
|
Il s'agit d'un ouvrage relatant des communications entre deux mondes, le nôtre et celui des morts. Un Esprit témoignage de ce qu'il découvre.
Retour à la bibliothèque |
"Je suis depuis mon adolescence convaincu de la survivance de l'âme. Depuis 2008, je m'occupe d'une association d'aide aux personnes en deuil en organisant des conférences sur la médiumnité. Je côtoie un grand nombre de médium et pratique moi-même le oui-ja et l'écriture automatique et inspirée." Son ouvrage est :
|
Il s'agit d'un ouvrage où l'auteur a compilé un certain nombre de messages reçus de l'au-delà par des Esprits :
« Je vais essayer de résumer ces termes qui vous tracassent mais qui, comme bien des choses de votre vie, n'ont que très peu d'importance. Vous avez le choix des termes et du sens que vous leur donnez, vous êtes libres de jouer avec votre langage et en termes de spiritualité, vous ne pouvez jamais poser la vraie définition car vous matérialisez des formes pensées qui sont d'un niveau non matériel.
L’âme est le sens global que donne la divinité à la vie qui est accordée à l'individu. L'esprit et le contenant de tout ce qui lui est nécessaire pour réaliser cette vie.
Ne croyez pas que vous n'êtes que le résultat du hasard, car tout ce qui est visible à vos yeux d'humain est le résultat de la construction voulue par le mental et offert par le divin. Seule l'intention de progrès préside à la mise en place du plan dans lequel vous êtes en lutte et qui n'est que le terrain d'expérimentation de vos désirs. Votre âme, comme toutes les âmes de l'univers, visible et non visible, ne saurait émaner du vide. Elle ne peut que fleurir au milieu du champ de fleurs divin que vos scientifiques nomment le champ unifié de conscience. Elle est et sera toujours d'essence divine que vous devez connaître en complétude mais vous avez choisi l'incarnation pour expérimenter cette vérité et la bonté naturelle de la création vous a encouragé à expérimenter cette vérité. C'est pourquoi, pour concrétiser vos souhaits, vous avez à votre disposition un outil merveilleux, le mental, appelé aussi intelligence, qui va pouvoir imaginer et créer ce qui vous est nécessaire à la construction de votre vie. C'est ainsi qu'intervient l'ego qui vient affirmer votre individualité et qui va la défendre au fil des épreuves que vous vous êtes imposées.
Il est simple, après ces explications, de comprendre que vos maux ne sont infligés qu'à ceux qui le demandent en conscience et en intelligence. Il va de soi que la guérison de ceux-ci ne passe que par leur compréhension et c'est pourquoi vous cherchez leur disparition dans la vie matérielle, alors qu'ils ont une cause que vous devez comprendre. Lorsque les maux sont acceptés par le mental, en conscience, ils n’ont plus leur raison d'être et nul ne peut alors vous offrir une souffrance et une épreuve non demandée par vous.
Le sujet est vaste et inaccessible en totalité à votre compréhension. Vous ne pouvez pas exiger d'un élève de petite école la construction d'une ville avec toutes ses complexités. Vous avez bâti votre vie et c'est à vous de bâtir votre moi. » Le médium, Guy, nous explique également comment il a reçu ces messages.
Guylaine et son fils Hugo sont 2 médiums de notre centre à Bron, actifs depuis maintenant quelques années, leurs évolutions dans le monde du spiritisme les a menés à faire un incroyable voyage au Brésil: à la rencontre de Divaldo Franco...
Bonjour chère Lectrice, cher Lecteur,
Je vous remercie de m’accorder cet instant de votre vie pour lire ce témoignage. Je suis ravie de vous partager le déroulement et mes ressentis lors de mon séjour au Brésil en compagnie de mon fils unique, âgé de 23 ans, au mois de septembre 2023.
Dans un premier temps, il me paraît judicieux de vous indiquer les éléments déclencheurs qui ont motivé cette décision de nous rendre dans ce pays du continent d’Amérique du Sud.
En effet, lors de notre première année de cours d’enseignement médiumnique au Centre Spirite Allan Kardec de Bron, fin 2021, Catherine et Alain, nos professeurs, nous ont « légué » des bulletins et des revues spirites. J’en ai récupéré la majeure partie et trois d’entre eux relataient les capacités du médium « Joao » de la Casa de Dom Ignacio à Abadiânia. J’ai photocopié ces articles pour les partager à Hugo qui les a trouvés très intéressants.
Dès cet instant, j’ai ressenti ce désir impérieux, ce besoin difficilement descriptible de m’y rendre comme si une puissance invisible m’encourageait très fortement à envisager ce futur voyage. Était-ce mon Guide ou une autre Entité ? En tout cas, ce projet a pris forme dans mon esprit. Confortée par les propos favorables de Véronique qui s’y était rendue en 2014 et par les divers DVD du Centre que j’ai pu voir, qui relatent l’expérience de vie de ces guérisseurs de l’impossible, je commençais à préparer notre « périple spirituel ».
Trois endroits furent retenus : rencontrer Monsieur Divaldo Peireira Franco à Salvador de Bahia où il a créé la Maison du Chemin avec Nilson de Souza Pereira, aller à Abadiânia et à Uberlandia où le Dr Nelson est incorporé par le Dr Hansen à la Casa de Saint-François d’Assises.
Après certaines « conditions » remplies dont je vous parlerai plus loin, la quête des billets d’avion a commencé début septembre et au bout de deux jours, j’ai choisi la compagnie « Air France » au prix imbattable de 550 € A/R par personne Lyon-Rio de Janeiro du lundi 18/09/23 au vendredi 20/10/23.
Nous sommes partis avec nos billets, la réservation de notre hôtel pour trois nuits à Ipanéma, le guide du routard sur le Brésil et notre sac à dos. Par contre, quelle déception de revenir à la maison dormir la nuit du 18/09 au 19/09 car au bout de 15 minutes environ de vol, l’avion est revenu à Saint Exupéry ! Un faucon se serait introduit dans un des moteurs...
Le lendemain de notre arrivée à Rio, nous avons parcouru la fameuse plage de Coppacabana à pied avant de nous rendre dans un centre de change pour convertir l’argent qui nous servirait pendant tout notre séjour. Dans l’avion, nous avions réfléchi à la planification de notre voyage par rapport à la situation géographique des trois destinations.
Elle débuterait par Uberlandia car sur le site Internet, le Dr Nelson intervenait tous les vendredis. Par contre, la préconisation était donnée de venir retirer un ticket le jeudi à partir de midi pour être sûr d’avoir une place pour le lendemain matin. De plus, il était indiqué qu’une fois par an, le 26 septembre, date de naissance de Saint- François, le Dr Nelson était incorporé par ce dernier. Une foule immense était alors rassemblée ce jour pour honorer ce saint, d’où notre choix de débuter notre « aventure » par cette destination en premier lieu !
Le jeudi 21, à peine arrivés à l’hôtel pour déposer nos sacs à dos, vers 13H, un taxi nous mena à la Casa ! Une drôle d’impression... Personne dans la rue en question alors que nous supposions qu’elle serait bondée de monde, impatient d’obtenir le fameux sésame qui permettrait de rencontrer ce médecin guérisseur le lendemain !
La porte était ouverte et nous y trouvions trois bénévoles qui nous indiquèrent que la Casa était désertée depuis la pandémie. Les gens ont été saisis de peur d’attraper le virus de la Covid 19 alors que nous, nous estimions que c’était l’endroit le plus « sûr » pour être épargné, protégé... Le monsieur appela un certain Alan qui devait nous rappeler... Puisque nous avions effectué tout ce trajet pour arriver à cet endroit-là, nous voulions rencontrer le Dr Nelson qui exerçait en tant que médecin homéopathe.
Dépités de cette nouvelle inattendue, nous repartîmes à l’hôtel dans l’attente du coup de fil... Le vendredi passa et toujours rien, occupés par une autre affaire que vous découvrirez à la fin...
Le samedi matin, on retourna à la Casa, déterminés à faire du « sitting » devant la porte tant qu’on n’aurait pas de rdv ! Au bout de 5 minutes d’attente, des personnes sortirent de la Casa et Rose, la bénévole anglophone qui s’occupait des étrangers nous prit en charge ! Elle nous fit la visite de tout le complexe. Elle nous laissa le temps de faire nos demandes et nos prières aux Entités à 3 endroits différents du site.
Puis, elle contacta Gonzalo, le seul bénévole sachant parler le français. Ce dernier nous rappela le lendemain et comprenait notre souhait de vouloir rencontrer le Dr Nelson.
Comme il ne détenait pas son numéro de téléphone personnel, dès le lundi 25/09 jusqu’au lundi suivant, il a correspondu avec sa secrétaire pour essayer d’obtenir deux rendez-vous. L’agenda du médecin était complet jusqu’en décembre ; il était au courant de notre venue ! Gonzalo nous expliqua que nous étions les premiers étrangers à revenir après la pandémie ! Pendant toute la semaine, j’ai prié pour avoir cette possibilité de rencontrer le docteur Nelson et je ne comprenais pas sur le moment l’étrangeté de cette situation...
Finalement, le lundi 02/10, Gonzalo, navré, nous appela pour nous signifier que le docteur était parti en urgence visiter de la famille pour des problèmes d’ordre personnel et que la date de son retour n’était prévisible. Alors, à l’aide de l’hôtesse en service ce jour à l’hôtel où nous résidions, nous programmions notre départ pour le lendemain en uber vers Abadiânia.
Le chauffeur hésitait sur l’instant à nous laisser seuls devant la Pousada Corazao Sagradao car la rue paraissait « suspecte » avec plein de chats et de détritus par-ci par-là sur les côtés. Il nous a demandé ce qu’on venait faire à cet endroit, si on venait visiter. Nous avons acquiescé à sa question et il est resté dubitatif ! Il voulait attendre avec nous la propriétaire de la Pousada, pour notre sécurité alors qu’il avait 5H de voyage de retour pour accéder à son domicile.
Puis soudain, un couple sortit de la maison juste à côté... et il parlait en français !
Quelle aubaine ! Tous les deux sont guides pour les ressortissants français qui viennent à la Casa de Dom Ignacio. Ils nous ont pris sous leurs ailes gracieusement et accompagnés amicalement pendant onze jours.
Comme le médium « Joao » est contraint de se tenir loin de la Casa, des bénévoles ont pris le relais. Le site est ouvert du mercredi au vendredi. Le mercredi matin, lors de notre première méditation dans la salle de nettoyage, sur les conseils de Pascale et de Jean-Marc, j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps et surtout de mon âme alors qu’à l’ordinaire, je m’abstenais de m’abandonner dans une telle attitude qui signifiait pour moi un état de faiblesse...
Puis, Hugo et moi avons choisi le vendredi après-midi pour nous présenter à la file des interventions spirituelles. Nous étions seulement quatre dans la pièce avec deux bénévoles qui veillaient sur nous ! Toutes les Entités de la Casa étaient là pour nous... J’ai demandé la guérison de mon périsprit et parvenir à lâcher-prise !...
Tout de suite après, nous avons acheté les flacons de passiflore. Pendant 80 jours, matin et soir, nous devions prendre une gélule pour renforcer le processus entrepris pendant l’opération invisible...
Nous sommes rentrés directement à notre Pousada en taxi et pendant 24H, nous devions nous reposer ! Pas de téléphone, pas de lecture, il fallait juste être avec soi et observer ce qui se présentait... Hugo a beaucoup dormi et moi... en pleine forme, à attendre impatiemment que le temps passe !!!
La semaine est passée, en alternant les bains de cristaux, les achats à la boutique et nos recueillements à la fontaine...
Le jeudi 12/10, nous avons préparé un verre d’eau avec une serviette en papier posée dessus et nous avons dormi avec des habits blancs. Pendant cette nuit-là, les Entités venaient vérifier le résultat de l’intervention et à notre réveil, nous devions boire l’eau magnétisée par leurs soins. Puis le vendredi après-midi, nous devions nous présenter à la file des révisions. Croyant être dans la bonne file, malgré l’objection d’Hugo, mue par une force irrésistible, je me dirigeais dans la file des interventions, persuadée que j’étais au bon endroit pour remercier les Entités des grâces reçues dont je n’avais perçu pas grand-chose à ce moment-là. C’est en sortant de cette salle que je réalisais mon erreur et
Pascale nous indiqua la marche optimale à respecter dans ce cas précis. Nous devions prendre les premières gélules de passiflore qui se terminaient le 24/12, période pendant laquelle, l’alcool était proscrit. Puis, nous devions reprendre les nouvelles gélules juste après les fêtes pendant 40 jours. J’avoue, pour ma part, que j’ai repris les gélules restantes, le 08/01/2024 seulement.
J’étais atterrée de ma méprise sur l’instant, moi « l’ex-perfectionniste » qui voulait tout contrôler (pour me rassurer) alors que je ne contrôlais rien et j’acceptais difficilement mes erreurs et celles des autres, d’où des jugements intempestifs à leur égard dans mon for intérieur, croyant qu’ils ne restaient que dans mon espace intime... Et j’allais comprendre très rapidement le pourquoi de cet acte manqué.
En effet, les Entités ont « travaillé », je pense, mon lâcher-prise lors de ce deuxième passage car j’imagine que j’étais trop « contractée » lors de la première intervention.
Tout de suite après, je faisais des lapsus lorsque je parlais et au passage de Roberto, médecin bénévole d’origine allemande (ce que j’ignorais), en voiture, j’ai effectué le salut nazi avec mon bras droit et en poussant le cri « Aïe ».
Tous les trois assis à une table extérieure de la cafétéria, Pascale et Hugo m’ont regardée et ont explosé de rire. Je leur ai demandé qu’elle en était la raison car je ne me rappelais pas d’avoir fait ce qu’ils me disaient que je venais de faire. Cela a été un geste spontané, furtif et là, je compris que les Entités de la Casa ont plus « travaillé » sur moi lors de ce dernier passage que lors de la semaine précédente. Aussi, je sentais physiquement les effets et mentalement. Je comprenais pourquoi Hugo était aussi épuisé la première fois.
Néanmoins, le repos a été de courte durée car à 4H du matin, un chauffeur de taxi est venu nous chercher pour nous mener à Palmélo pour 3H de transport en pleine campagne brésilienne.
En début de semaine, je partageais à Pascale ma frustration qu’il n’y ait pas un médium présent physiquement pour m’entretenir verbalement de ma situation. Etait-ce dû à un manque de foi ? Maintenant, je pense que oui.
C’est alors que notre amie nous parla d’un médium incorporé par le Dr Fritz qui intervenait tous les samedis de 7H à 13H à Palmélo. Elle me conta aussi que dans l’enceinte de la Casa de Dom Ignacio, une peinture de ce médecin désincarné était présente. Je l’ai cherchée partout et rien ! Je l’ai trouvée à la fin de la méditation du mercredi matin lorsque j’allais jeter le godet contenant l’eau magnétisée. J’entendis une voix dans ma tête qui me disait : « Oh, oh ! Je suis là... Tournes ta tête sur ta gauche ! » J’exécutais le mouvement de la tête et là, le portrait du Dr Fritz qui me regardait avec ses beaux yeux bleus ! Devinez l’adresse de ce petit centre ? Au numéro 1 de la rue Allan Kardec !
Il s’agit d’un endroit très rudimentaire en pleine pampa comme vous pouvez le constater sur les photos. Six personnes pénètrent dans le fond de la pièce et un immense rideau blanc délimite cet espace entre les bénéficiaires soignés et ceux qui attendent.
La priorité est donnée aux femmes ; les dames âgées et/ou malades passent en premier lieu puis les mamans avec les enfants. Nous formons une file et chacun, à son tour, passe devant le médium incorporé qui « scanne » en quelque sorte notre état général et sait ce dont nous avons besoin. Puis, il nous désigne le lit d’appoint sur lequel nous devons nous allonger. Pendant qu’il s’occupe de chaque participant en fonction des besoins de chacun, une bénévole nous administre des passes magnétiques.
Quand ce fut mon tour, à l’aide d’un stylet en bois, il effectua des tracés sur mon front, mon thorax, mes bras, mes jambes, mes chevilles et mes pieds. Il donna des ordres à la bénévole qui s’occupait de moi. Celle-ci apposa des pansements à différents endroits. La consigne était de les conserver pendant 24H.
Puis, il revint me voir une deuxième fois pour me dire : « You’ll be fine ! You understand ? » « Yes ! » Je répondis, émue ! Il est très difficile de décrire ce qui s’était produit exactement mais je savais que bien des « choses » non rationnelles pour un esprit cartésien s’étaient déroulées...
Je regagnais mon siège dans l’espace d’attente, en attendant Hugo qui était passé dans le contingent des derniers alors que nous étions les premiers arrivés. Lors du discours en brésilien de la bénévole auquel je ne compris pas grand-chose, elle cita à un moment donné tous les noms des Entités présentes. Parmi elles, j’entendis le nom du docteur Hansen ! Soudain, je compris mon incompréhension ressentie à Uberlandia... J’ai l’impression que mon impatience a été mise à l’épreuve afin que j’y remédie par de la pratique opérationnelle...
Effectivement, en France, auparavant, ma vie était « réglée » en quelque sorte sur mon caractère et tous les prétextes étaient bons pour éviter de travailler sur mes défauts !
A Uberlandia, je n’eus pas le choix ! J’ai réfréné mon caractère houleux, vexée et insatisfaite de n’avoir pas pu rencontrer le Dr Nelson... Accepter sans maudire, ni médire ! Le Dr Hansen avait bien entendu mes prières et il était bien là pour assister le Dr Fritz...
Puis, Edson, le chauffeur de taxi préféré de notre couple ami, nous ramena à Abadiânia. Juste le temps de prendre une douche avec une bouteille d’eau magnétisée et boire la seconde, nous disons au revoir à Ida, la propriétaire de la Pousada, d’origine italienne, ancienne cheffe cuisinière, qui nous a régalés pendant tout notre séjour dans son établissement à un prix très modique ! Nous étions ses seuls résidents à ce moment-là...
Pascale et Jean-Marc sont présents aussi pour nous saluer et nous les remercions chaleureusement de leur aide providentielle et pour leur sincère sympathie. D’ailleurs, du 27/04/2024 au 27/05/2024, ils seront les guides d’un groupe de personnes qui seront dans une démarche de recherche spirituelle à Abadiânia.
Il me semble qu’il reste encore des places... Je vous les recommande sans hésitation de leurs qualités morales pour ce type de projet et vous pouvez les joindre au 06 67 78 56 66 (numéro de Pascale) et au 06 08 77 78 03 (numéro de Jean-Marc) pour ce séjour ou pour un autre à une date ultérieure.
Leur histoire est fabuleuse car ils se sont rencontrés lors de leur premier voyage en 2012, étant dans le même groupe, leur état de santé était très précaire... A présent, ils dévorent la vie et ont été mariés par les Entités... Ils vous raconteront tous les autres détails croustillants lorsque vous ferez appel à leur service. Ils sont vraiment adorables ! D’ailleurs, avec Hugo, nous avons l’intention d’y retourner et nous avons décidé d’y partir avec eux, sous leur égide, pour les remercier de s’être occupés de nous comme cela, gratuitement, l’année dernière !
A Brasilia, nous prenons l’avion pour nous rendre à Salvador de Bahia. Nous rejoignons notre hôtel vers 23H, exténués de cette « grande » journée bien remplie ! De dimanche 15/10 jusqu’au mardi 17/10, nous faisons un peu de tourisme...
Quand nous étions à Abadiânia, une bénévole avait appelé la Maison du Chemin pour essayer d’obtenir deux rendez-vous avec Mr Divaldo Pereira Franco mais en raison de son grand âge terrestre, il n’accepte plus d’entretien individuel.
Les mardis et vendredis soir, il anime une conférence si son état physique le lui permet et juste avant, il procède au dédicace des livres. Nous arrivons vers 13H comme deux cheveux qui tombent dans une assiette de soupe et un groupe de visiteurs panaméens et brésiliens s’apprêtait à découvrir cette petite ville dans la ville ! Parmi eux, se trouvait Alberto, un ex-GO au club « Med » chargé de s’occuper des vacanciers français. Il nous traduisit pendant toute la durée de la visite les propos de la bénévole. Puis, vers 17H, à la librairie, il demanda s’il y avait des bouquins en français et le bénévole lui en donna cinq, nonobstant que ces derniers ne se vendaient point. Alberto me les montra et m’en donna un « Le semeur d’étoile » que je n’avais pas !
Ensuite, une file immense se forma pour les dédicaces en attendant l’arrivée de Divaldo, soutenu par deux personnes, de chaque côté de lui. Il est difficile de décrire l’émotion ressentie en le voyant et surtout quand notre tour arriva pour nous approcher de ce « grand » homme ! Avec Hugo, à l’aide de l’application sur le téléphone pour traduire, nous avions préparé un petit feuillet que nous lui avons remis.
Il m’a dédicacé le livre cité au-dessus et mon Evangile selon le spiritisme qui ne me quitte plus depuis ! Serrer la main de Divaldo a été un moment très intense ! Sa conférence a été enivrante même si je n’y ai rien compris ! Nous le saluons une dernière fois avant de quitter cette salle et la Maison du Chemin, l’âme en paix !
Alberto nous signifia que nous avions une chance inouïe d’avoir pu rencontrer Divaldo car, apparemment, dans les derniers temps, la conférence était souvent annulée au dernier moment en raison de défaillance physique !
Le lendemain, nous reprenons l’avion pour rejoindre Rio. Notre journée de jeudi a été consacrée aux achats pour les cadeaux de Noël de nos proches.
Pour notre dernier soir, nous avons dîné à Ipanéma dans le même restaurant comme le premier soir, dans une churrasquaïa, un établissement où sont servies différentes sortes de viandes...
La boucle était bouclée ! Nous pouvions repartir en France en ayant cette sensation que les objectifs de notre voyage étaient atteints.
Nous sommes rentrés avec cette nette sensation que nous avons été toujours « protégés » pendant tout notre séjour dans un pays où la violence, le taux de criminalité avoisine les 70%. Nous avons évité un accident de voiture avec Edson au retour de Palmélo ou lors du vol nous emmenant à Salvador, l’avion a frôlé la foudre qui est passée tout près de l’appareil...
Le peuple brésilien est très charmant et accueillant ! Nous ne sommes pas allés nous promener dans les favélas... Nous n’avions rien d’affriolant, d’exubérant, sans bijoux de valeur !
Avec le recul, j’ai l’impression qu’Uberlandia m’a permis d’augmenter mon seuil de patience, de tolérance, de savoir attendre sagement les choses et non comme un enfant gâté qui veut tout, tout de suite alors que ce n’est pas mon cas dans mon enfance, du moins, dans celle-ci. Cet arrêt nous a permis, à Hugo et à moi de nous retrouver, de nous regarder dans les yeux !
En effet, Hugo « voit », perçoit certaines choses depuis ses 10 ans, réalité que j’ignorais et qu’il n’a osé m’en parler auparavant en raison de mon caractère excessif, colérique, autoritaire, fermée au niveau spirituel... jusqu’à la journée « Portes Ouvertes » du centre spirite de la rentrée scolaire en septembre 2021 à laquelle je l’ai convié.
Nous avons traversé de nombreuses années d’incompréhension dans nos relations et l’étude de la doctrine spirite m’a permis de réaliser que Hugo, son père avec qui je suis divorcée depuis ses deux ans et demi et moi-même sommes des adversaires du passé, revenus pour réaliser notre contrat sous de meilleure augure que précédemment.
Afin de corroborer au mieux mon témoignage, il faut que je vous indique que lorsque j’avais 25 ans, en 1999, j’avais rencontré Mme Michèle Riffard, médium, à la place des Terreaux. A ce moment-là, elle m’avait signifié que j’avais certaines capacités et elle m’avait proposé de me former. Néanmoins, je n’étais pas prête... J’étais tournée vers la matérialité pour être reconnue socialement à cette époque-là et ce encore, pendant vingt ans environ...
Puis, en septembre 2019, j’ai demandé à l’Univers comment faire pour devenir médium pour aider les autres car Mme Riffard était décédée en 2014.
C’est alors que j’ai rencontré des personnes procédant avec leur approche holistique qui ne me correspondait pas et c’est dans leur bibliothèque que j’ai trouvé un livre de Divaldo « Sauvée de la folie » aux éditions Lanore. C’est ce livre qui m’a fait pousser la porte de notre cher Centre Spirite dans la rue Jeanne Collay en juillet 2021 à la réouverture, après le confinement général.
Au niveau professionnel, je suis infirmière libérale depuis 2001 et comme j’ai refusé de me faire vacciner contre la COVID 19, j’ai été interdite d’exercer. J’ai été réhabilitée en juin 2023 par un mail de la Sécurité Sociale à la suite du décret paru en mai.
En 2022, mon ex-associé et moi avons rendu le local que nous louions. Ce fut l’occasion de dissoudre notre cabinet car notre association n’était pas optimale. Donc, les conditions à remplir avant d’envisager ce voyage au Brésil étaient de trouver un local professionnel et de vendre ma voiture pour financer ce périple.
A partir de juin, Hugo et moi avons visité de nombreux endroits car le projet initial était qu’à notre retour, Hugo devait effectuer des missions d’intérim et se former en parallèle pour prodiguer plus tard des séances de Shiatsu Traditionnel Japonais dans l’une des pièces du futur local.
Hugo a obtenu son BAC S avec la mention « Bien » sans avoir fourni de travail personnel. Aussi, quand il intégra l’ECAM, une école d’ingénieurs, il fut vite débordé par la charge de travail qu’il n’arriva pas à planifier convenablement pour tout intégrer. Il décida de ne pas poursuivre ce parcours au bout de quelques mois. Il m’avouera plus tard qu’il s’agissait plus de notre souhait, à son père et à moi que son vœu de se diriger dans une telle perspective professionnelle. Il sentait qu’il avait du magnétisme et il voulait pratiquer dans l’énergétique qui représente un vaste domaine. C’est pourquoi, avant notre voyage, Hugo s’est focalisé sur le Shiatsu lors d’une discussion.
Nous avons trouvé notre local idéal au 5 place Général André 69008 LYON au premier étage d’un immeuble d’habitation. Avant notre départ, la promesse de vente a été signée le 14/09/2023 matin ainsi que les demandes de prêt dans trois banques ont été déposées le 14/09 après-midi, le 15 et 16.
Le mardi 05/09 matin, mon conjoint mettait l’annonce de la voiture. Le soir-même, un acheteur s’est manifesté et il est venu chercher le véhicule le samedi, jour de mon anniversaire, en négociant seulement 500 € alors que j’étais prête à accéder à une ristourne encore plus élevée. Tout s’est enchaîné harmonieusement...
Puis, dans l’avion nous menant à Paris, je remarquais qu’Hugo ne cessait de se gratter la tête très régulièrement. Pendant le transit, j’ajuste mes binocles sur mon nez et que vois-je autour de son oreille ? Des POUX ! Imaginez-nous pendant le trajet Paris-Rio !
J’essayais de ne pas trop le coller et je lui ai cédé ma place près du hublot afin de minimiser une propagation éventuelle. Fort heureusement, mon voisin de droite était chauve !
Donc, arrivés à notre hôtel à Rio, à 23H, heure locale, nous cherchions une pharmacie pour acheter le nécessaire afin de tenter d’éliminer ces parasites. Cela faisait au moins quinze ans qu’Hugo n’en avait pas attrapé. Nous n’avions pris qu’un seul flacon de lotion et un shampooing alors que ses cheveux arrivaient au bas du dos. De ce fait, tous les cheveux n’ont pas été enveloppés par cette matière chimique qui a permis d’enrayer que quelques poux adultes.
A Uberlandia, Hugo sentait que ce n’était pas fini, qu’il restait encore du « monde » sur sa tête. Alors rebelote dans une pharmacie pour acheter 2 lotions cette fois-ci avec un peigne métallique pour enlever les lentes. Le peigne fut inefficace car les dents étaient trop espacées et lisses. Finalement, j’ai passé plusieurs soirs pendant deux à trois heures pour lui retirer les lentes, mèche par mèche, avec mes ongles.
Après tout cela, Hugo accepta enfin de se rendre chez un coiffeur qui lui réduisit sa chevelure de moitié ! Voilà notre manière de rentrer en communication à la manière des singes...
Comme rien n’est le fruit du hasard, je me demandais qu’elle était la signification du faucon rentré dans l’un des moteurs de l’avion et de ces poux sur la tête de mon fils... Pour ces deux situations, je n’ai rien émis de négatif alors qu’auparavant, avant de connaître la doctrine spirite, je sais que j’aurais pesté sans trêve.
Je me serais énervée après Hugo en l’incriminant. Sur l’instant, je pensais que c’était pour faciliter nos relations un peu tendues. Hugo m’a remerciée car il se rendait compte que seul, il n’aurait pu venir à bout de ces bestioles pour étaler la lotion convenablement sur sa chevelure et surtout pour retirer les lentes, une à une, quand on ne peut les voir soi-même.
Une personne que je pensais qu’elle était mon amie, apprenant cette infestation, se mit en tête que Hugo l’avait peut-être et même, très certainement, contaminée car elle l’avait vu une semaine avant notre départ. Pendant trois semaines, elle s’acheta des produits tous les deux jours à la pharmacie et s’épuisa en nettoyant à fond chez elle tous les jours.
Le samedi 21/10, alors que nous étions en transit à Paris, elle m’appela pour me déverser toute sa rancœur, sa médisance, sa fatigue ressentie accumulée. Je me sentais bien après ce séjour et elle venait me polluer en une fraction de minutes avec ses ondes négatives. Dans la semaine qui suivit, elle vint à la maison pour que je vérifie son cuir chevelu.
Rien, même pas une pellicule ! Par contre, elle avait des plaies consécutives aux passages du peigne qu’elle avait manipulé elle-même, toute seule. Je lui passais de l’huile essentielle de tee-trie pour la soulager. Et là, elle m’explique qu’il n’y a guère d’alternative pour les personnes vivant seules pour remédier aux poux, mis à part les produits pharmaceutiques... Ce qui me fait prendre conscience qu’il existe une lacune dans ce domaine...
À la suite de sa venue et à ses propos virulents précédents, je décidais de mettre un peu de distance entre nous, d’autant plus que je sentais les effets des gélules de passiflore, du processus qui continuait son cours. Mon énergie s’était modifiée... ; la syntonie ne fonctionnait plus...
Mon conjoint m’invita au cinéma voir le dernier film avec Leonardo Di Caprio « Killers of the Flower Moon » au mois de novembre qui dure 3H26 ; c’était la deuxième fois de l’année que je me rendais dans une salle obscure.
Quelques jours après, ma tête me grattait très fortement ! Je demandais à mon conjoint de regarder mais ce dernier ne percevait que des pellicules et ne cessait de me répéter que c’était psychologique, dans ma tête alors que je sentais bien que cela se passait sur ma tête.
Dans le week-end, je prenais la résolution que, dès le lundi, j’irai acheter à contre-cœur des produits anti-poux à la pharmacie. J’allume la télévision. Mon attention se focalise sur E=M6 que je regarde très rarement et l’émission parle de centre de traitement anti-poux à Paris avec une méthode naturelle et radicale.
Aussitôt, je regarde si, à Lyon, un tel établissement existe. Ma recherche bascule sur « Doctor Poux » dans le sixième arrondissement et le rdv est pris pour le vendredi. Lorsque je m’y suis rendue, j’ai tourné en rond pendant 20 minutes pour trouver une place qui était payante, de surcroît.
A la sortie de ce local, l’idée de monter un tel centre prit racine. Il s’agit d’une très belle opportunité pour mettre en pratique ce que prône « L’Evangile selon le spiritisme » selon lequel il vaut mieux créer du travail afin que les personnes dans le besoin gagnent honorablement leur subsistance au lieu de recevoir l’aumône qui représente un début de charité. Cette proposition m’avait fort marquée à la première lecture de cet ouvrage et je me demandais quel type de travail élaborer pour parvenir à ce résultat. Et là, tout m’apparaissait clair dans ma tête !
Cela faisait au moins 40 ans, depuis mon adoption, que je n’ai été incommodée par ces parasites (je suis responsable de l’infestation de mon école primaire à mon arrivée en France en novembre 1982) et je comprenais mieux pourquoi tous ces événements concernant ces petites créatures se sont succédés ...
De plus, j’allume le téléviseur un après-midi, chose que je ne faisais qu’exceptionnellement et j’assiste à un reportage où intervient la Secrétaire Générale du Secours Populaire, Mme Henriette Steinberg en même temps que le Président des Restos du Cœur le premier jour de l’ouverture de ces derniers. Elle témoignait du changement de population qui demandait de l’aide et que cette dernière était représentée par les dames Senior, âgées de 55 ans et plus, vivant seules et certaines ne se chauffant pas l’hiver...
Six jours après, une visite de contrôle est prévue et lorsque je revois Kélia qui est salariée chez « Doctor Poux », elle comprend mon intention et me répond qu’actuellement, c’est le moment idéal pour s’installer car la concurrence est moindre depuis la pandémie. Sur l’instant, elle est d’accord d’être débauchée par mes soins pour gagner plus mais elle ne répondit plus à mes appels...
Entre-temps, j’obtiens l’accord de mon prêt bancaire et la vente est signée le 19/12/23. Le jour où j’appelle l’amie en question pour lui partager ma joie d’avoir cette réponse positive et pour la remercier de sa contribution en partie dans ma prise de décision de me lancer dans cette nouvelle activité de soins non conventionnés par la Sécurité Sociale, elle me déverse à nouveau toute sa rancœur consécutive au fait de mon détachement à son encontre ; que je ne pensais qu’à mon fils... Elle remettait en cause ma manière éducative, qu’Hugo a une hygiène douteuse pour attirer des poux à son âge... De pacifique, je suis sortie de mes gonds et j’ai explosé de propos virulents à mon tour, ce que je regrette aujourd’hui. Puis, la conversation s’est terminée qu’il valait mieux que chacune reste chez elle. Pour Noël, je lui ai envoyé un petit SMS pour lui souhaiter une joyeuse fête mais pas de réponse en retour...
Par ailleurs, en ce qui concerne Hugo, il a effectué des demandes d’emploi au mois de décembre qui sont restées sans suite.
Je pense qu’il avait besoin de passer par là pour qu’au début de l’année 2024, à ma question : « Au fait, ne voudrais-tu pas venir travailler avec moi dans le futur centre anti-poux ? », il me répondit par l’affirmative. D’ailleurs, il m’indiqua que si je lui avais posé cette question un mois plus tôt, il aurait refusé mais que ce mois écoulé, fait de réflexion, lui a permis de voir une séance de traitement anti-poux comme une séance de soins où il mettra toute son intention à l’encontre de la personne traitée !
Quel soulagement à l’annonce de cette réponse ! Déjà, j’étais une mère comblée par le fait qu’Hugo adhère au spiritisme et là, le fait qu’il trouve sa voie professionnelle.... Quel bonheur !
Donc, ce projet devient familial, entre mère et fils, plus ma chienne Luna et à visée solidaire avec le partenariat que nous allons passer avec le Secours Populaire afin qu’il nous établisse la liste de nos futures collaboratrices. C’est clair et net dans mon esprit. J’avance ainsi sur ce chemin pour tout préparer...
Au début, par orgueil, je voulais me lancer comme cela, sans formation.
Heureusement, mon conjoint m’a fait réaliser de la nécessité d’être bien accompagné par d’autres qui ont été les précurseurs en la matière. C’est ainsi que lors de mon premier entretien avec Joris, le fondateur de Poux Experts, le leader en la matière, la communication ne se passa pas très bien. Je ne percevais que ses défauts sans voir les miens. Je ne pensais pas qu’il m’enverrait un dossier de candidature...
Les fêtes m’ont portée conseil et le 8 janvier, je lui fais parvenir notre demande d’être formés par ses soins... A la fin de la formation qui s’est déroulée début février, il nous avouera qu’il avait vraiment hésité à nous prendre et qu’il ne regrettait pas son choix...
Joris a une éthique. Il ne forme que des personnes qui deviendront des partenaires et de ce fait, il respecte la situation géographique de l’implantation d’un futur centre afin qu’il ne soit pas trop proche d’un autre déjà existant. Deux jours après que Joris ait accepté notre projet, il m’envoya une capture d’écran de son ordinateur qui montrait le message d’une coiffeuse à Lyon qui voulait se former, ce à quoi il répondit par la négative...
Au départ, nous devions être juste des partenaires car l’emplacement du local ne correspondait pas aux conditions imposées pour pouvoir être licenciés. Puis, au fil du temps, Joris changea d’avis et nous avons signé le contrat de licence le 14/03/2024.
Notre centre « Poux Experts Lyon 8 » a ouvert ses portes le 1er avril, jour de la fête des Hugues, Hugo...
Pour les travaux, nous avons une chance encore inouïe, exceptionnelle ! Trois artisans m’ont établi un devis de 80 000 €, 50 000 € et de 37 000 € en supprimant plein d’options dans le dernier. Finalement, parce que j’ai été la déléguée du secteur sud-est de l’association « Racines Coréennes » pendant trois ans, Lionel, un adopté coréen, comme moi, le premier à venir à mon premier repas organisé par mes soins, effectue tous les réaménagements pour 30 000 € ! Il a commencé le 22/01/24 et va terminer pour fin mars ! Je suis enchantée du résultat et j’espère bien que vous viendrez admirer son travail... Il est un ange envoyé par la Providence Divine...
Je vous donne tous ces détails pour vous témoigner de ma foi réelle à présent, chaque jour plus forte quand je réalise l’aide reçue... Je me sens, enfin, sur ma voie, sur mon chemin de vie, au bon endroit, avec les bonnes personnes... J’ai changé grâce à la connaissance de la doctrine spirite et j’aspire à devenir la meilleure version de moi-même chaque jour. Je ne veux plus tourner le dos aux promesses faites avant mon incarnation...
Je veux être un membre actif au sein de notre Centre Spirite de Bron, ce que j’ai signifié à Gilles, notre orienteur...
Le 15/01/2024, j’ai envoyé un courrier à l’évêque du diocèse de Viviers pour demander de quitter la religion catholique en raison de mes convictions dans la doctrine spirite codifiée par Monsieur Allan Kardec. Le 06/02/2024, le chancelier du diocèse m’a répondu et parle d’apostasie qui signifie « reniement de la foi chrétienne » alors que ma foi n’a jamais été aussi grande que maintenant...
Je n’en reviens toujours pas de tous ces événements qui se sont déroulés depuis l’année dernière et surtout de leur enchaînement harmonieux...
Je vous remercie du fond de mon cœur d’avoir consacré de votre temps pour lire mon témoignage ! Je vous demande de bien vouloir nous aider à faire connaître notre Centre de traitement anti-poux auprès de votre entourage, famille et amis pour nous aider à atteindre notre objectif de collaborer avec les dames SENIOR.
Chez nous, le stationnement est facile et gratuit pour l’instant !
MERCI BEAUCOUP D’AVANCE !!!!!! HUGO et GUYLAINE
Retour à la bibliothèque |
Henri est né en 1901 à Vaud en Suisse. Il fait des études d'ingénieur puis se marie avec Eglantine. Très jeune, il s'intéresse aux questions de l'au-delà. Il se désincarne en 1993. Son ouvrage est :
|
Voici une étude de messages reçus par écriture. Pierre Monnier, un officier français est tué durant la guerre de 14-18, de l'au-delà, il écrit à sa mère. Il lui dicte une grande quantité de lettres qui seront regroupées en sept volumes. L'auteur, Henri Moreillon fait une sélection thématique de ces divers courriers.