Le Père François Brune prétend, depuis des années, pratiquer une forme de communication moderne avec les morts. On a l'habitude d'entendre habituellement les médiums nous raconter cela, mais la technologie nous permet ici de pratiquer cette activité pour le moins controversée. Ce serait une première mondiale! "La découverte la plus importante du XXe siècle". Sur des bandes sonores et des bandes vidéos, les trépassés parleraient aux vivants pour leur décrire l'au delà.  

Une voix d'outre-tombe enregistrée sur une cassette, un spectre blanc, une lueur étrange, des objets qui se meuvent seuls, un froid glacial qui envahit votre corps dans une pièce obscure chargée d'un lourd passé... la simple évocation de ces manifestations effrayantes donne la chair de poule. Trancher entre le surnaturel et la science, voilà la tâche quotidienne des traqueurs de fantômes et des scientifiques. Aux Etats-Unis, la résidence Lemp, à Saint Louis, a la particularité d'être considérée comme la maison la plus hantée du pays ! Plusieurs témoins affirment qu'il s'agit du lieu de villégiature d'esprits disparus tragiquement.

La croyance en la réincarnation peut être assimilée à une doctrine selon laquelle un certain principe immatériel (« esprit », « âme », « conscience individuelle ») s'accomplit au travers de vies successives dans différents corps (humains ou animaux selon les croyances). Dans cette doctrine, à la mort du corps physique, l'« esprit » quitte ce dernier pour habiter, après une nouvelle naissance, un autre corps, ce qui permettrait à l'individualité de poursuivre ses expériences de vie et son évolution spirituelle ou morale.  

Claudette Combes et son mari, Alain, sont parents d'une famille nombreuse, ils ont en effet adopté plus de 20 enfants de tout horizon. En 1990, ils perdent un de leur enfant, Abel qui était originaire du Vietnam et qui était un enfant-martyre (fils d'un soldat américain et d'une vietnamienne qui lui fit payer chèrement son abandon). Toutes les femmes qui ont un jour porté la vie pourront s’identifier aux paroles qu’elle dira : « cela a était pour moi un choc terrible, une souffrance incommensurable, une dislocation de l’être, il n’y a pas de mot assez fort. Une mutilation, je n’étais devenue plus qu’un cri. Je n’étais qu’une bête qui hurle et qui réclame son enfant. C’était terrible, il n’y a pas de mot. Le trou noir, j’avais l’impression d’être tombé dans un gouffre, dans un puits et de ne plus pouvoir en remonter. Je l’appelais, je voulais qu’il revienne, pour moi c’était la fin du monde. »