30 – Héritage et euthanasie

France

Un esprit, André Luiz, médecin lors de sa dernière existence terrestre, dicte par psychographie une série de 13 ouvrages où il révèle ce qu’il découvre dans l’au-delà.
Nosso lar ou Notre demeure est le premier livre et il paraît en 1941.
André Luiz meurt d’une occlusion intestinale laissant seule sa femme et ses deux enfants sur la terre brésilienne. Après une errance de huit ans dans le monde du Seuil, il arrive dans une des « demeures de Notre Père » ; cette colonie spirituelle s’appelle : « Nosso Lar ». Il est accueilli dans un hôpital spirituel où des soins sur son périsprit sont pratiqués afin de retrouver les forces nécessaires pour lutter contre toutes ses pensées négatives et ses angoisses.
Il découvre alors un nouveau monde. Il cheminera notamment avec Lisias, un compagnon spirituel et comprendra petit à petit à travers son travail personnel, les erreurs qu’il a faites dans sa vie d’incarné. Il pourra ainsi retourner en tant qu’esprit auprès des siens pour les aider dans leurs épreuves.

Résumé de la planche

En raison de son temps libre qu'elle consacre à réconcilier les membres de sa famille, une jeune femme, Paulina, est autorisée par le Ministre à aller rendre visite à son père. André et Narcisa l'accompagnent au chevet d'un vieillard fortement déséquilibré par un état mental plein de haine et de ressentiment. Il en veut toujours à son fils Edelberto, qui a précipité son trépas pour des questions d'ordre financier. Les fluides qui émanent du vieillard causent de graves perturbations sur le foyer terrestre où la mère sombre dans la folie pendant que les enfants se déchirent l'héritage et renvoient eux aussi les mêmes fluides perturbateurs. Paulina essaye, par des paroles apaisantes, de sortir son père de ce cercle vicieux.

Planche

Héritage et euthanasie

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Réflexion spirituelle

Pour aller plus loin, nous vous conseillons un passage dans Le Ciel et l'Enfer d'Allan Kardec,chapitre V, Le purgatoire

 

« Celui donc qui souffre en cette vie doit se dire que c'est parce qu'il ne s'est point suffisamment épuré dans sa précédente existence, et que, s'il ne le fait dans celle-ci, il souffrira encore dans la suivante. Ceci est à la fois équitable et logique. La souffrance étant inhérente à l'imperfection, on souffre aussi longtemps qu'on est imparfait, comme on souffre d'une maladie aussi longtemps qu'on n'en est pas guéri. »