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Il est né le 21 février 1907. Il fait ses études de médecine et s'intéresse au spiritisme ainsi qu'à la force de la pensée. Son ouvrage est :
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L'auteur analyse la pensée et la force dont elle peut se caractériser et nous donne quelques conseils avisés comme ceux-ci : "Pensez toujours et constamment à ce qui est bien, à ce qui est bon, à ce qui est beau. Ne mélangez pas vos pensées, ne mangez pas en même temps du fruit hybride de l'arbre du bien et du mal. Devenez maître de vous-même en suivant strictement les indications détaillées qui vous sont données dans l'ouvrage : Le Développement de la Volonté par l'entraînement de la Pensée, et donnez à l'esprit la maîtrise absolue sur vos désirs, sur vos penchants, sur vos joies et sur vos peines ; vous verrez ces dernières disparaître sous cette influence puissante et vos désirs, comme autant d'échelons, vous feront suivre la marche ascendante qui vous mènera vers le bien, vers la santé et vers un succès constant, sans lacune, dans toutes les choses bonnes que vous entreprendrez dans un but humanitaire."
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Il est né le 17 novembre 1882 à Issoudun et décède le 1er août 1965 à Bormes-les-mimosas. Poète, écrivain et journaliste réputé, il réalise en 1936 une évolution profonde et s'oriente vers le spiritualisme. Il découvre la recherche ésotérique et fait paraître, avant la guerre, des livres d'une brûlante actualité encore aujourd'hui.Son ouvrage est :
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La mort, quel sujet inépuisable, fascinant ! Le plus angoissant mystère de l’être humain. Le philosophe Butler définissait la mort de la manière suivante : « Une affaire où l’on a plus de peur que de mal ». Mourir fait partie intégrante de la vie, il ne faut pas la voir comme une chose horrible mais comme un fait commun.
L’homme s’imagine savoir ce qu’un futur trépassé ressent, ses douleurs, ses émotions, ses angoisses…Tout ceci est juste le fruit de son imagination, créant ainsi ses propres peurs de la mort. Toutes les agitations, les mouvements, les gémissements, les râles d’un moribond ne sont que des phénomènes mécaniques du corps et ne signifient en aucune mesure de la souffrance. De nombreux avis de spécialistes (médecins, scientifiques ou hommes de lettres) corroborent le fait que l’agonie n’est pas ressentie par le futur défunt et que la mort n’est pas douloureuse, que l’on ne s’en aperçoit même pas.
Dans cet ouvrage, Georges Barbarin détaille toutes les sensations de la mort : de la vie qui quitte le corps, de l’absence de peur et d’émotions qui envahissent le futur décédé. Presque toutes les sortes de mort sont abordées :
- L’asphyxie et ses « bienfaits » (que l’asphyxie soit par submersion, la plus courante, par électrocution, par les gaz et par le manque d’air vécu par les scaphandriers, les plongeurs, les victimes d’éboulements ou d’avalanches).
- L’éventualité des « enterrés vifs » est étudiée.
- Les victimes de chocs violents, de chutes, d’accidents, de blessés par balle, racontent tout ce qui a traversé leurs pensées, leurs douleurs physiques, leur état d’esprit devant une situation ou leur vie est menacée.
L’esprit est si merveilleusement constitué qu’il est capable d’anesthésier le corps dans des situations extrêmes (attaques d’animaux sauvages, blessures de guerre…) :
- Les soldats redoutent moins la douleur physique que la douleur morale que la mort entraînerait. Plus la blessure est profonde et moins elle est douloureuse car il y a une rupture locale du système nerveux, les petites blessures quant à elles sont plus vives car les nerfs sont excités et très sensibles.
- La mort de soif (ex de St Exupéry dans le désert de Lybie) est dépeinte comme une des morts les plus cruelles.
- La mort par empoisonnement est douloureuse dans l’ensemble, mais tôt ou tard, l’insensibilité et la perte de conscience apparaissent.
- L’étude des morts artificielles et provisoires, des phénomènes d’avant mort sont très similaires à l’anesthésie, la narcose, la syncope, la léthargie, la catalepsie ou le sommeil. La léthargie ressemble davantage à la mort. Elle représente l’état de sommeil à son plus haut degré et semble être une combinaison entre la syncope et l’asphyxie.
La catalepsie est de tous les états physiologiques, celui qui donne la plus fidèle apparence de la mort (raideur tétanique). Dans le cas de la catalepsie ou de la léthargie, les centres nerveux sont pour ainsi dire abolis, aucun souvenir au réveil.
L’endormissement est assimilable aux sensations de l’avant mort : fatigue, baisse de l’attention envers le monde qui nous entoure, diminution des réactions sensorielles…Le sommeil est une petite asphyxie, c’est la mort réduite en durée. Il n’y a pas d’art de mourir, on meurt avec plus d’aisance que l’on naît. Tout le monde sait mourir et fait exactement ce qu’il faut. On sait congénitalement respirer et mourir, c’est toute l’aventure physique humaine. Plus on acceptera l’idée que la mort fait partie intégrante de la vie, plus le moment venu, nous la laisserons nous emporter, sans lutter, sans résister et plus notre mort sera douce.
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Né dans les années 1865, dans une famille catholique à Lyon. A l'âge de 17 ans, il assiste à des séances de magnétisme et de somnambulisme. Médium, il obtient des résultats notamment sur l'envoi de fluides à distance. Son livre est :
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Georges Mélusson nous répond à cette question en disant : "Parce que c’est dans la doctrine du spiritisme que j’ai trouvé une conception de la vie, une explication de notre existence et de notre destinée, une morale et un sens de religion qui m’ont donné pleinement satisfaction sous tous ces rapports ; c’est elle qui a supprimé chez moi toute crainte de la mort, m’a fait comprendre le bonheur et comment y arriver ; c’est par elle que j’ai reçu les plus plausibles des réponses aux questions : Pourquoi la vie ? Que sommes-nous ? D’où venons-nous ? Où allons-nous ?
Et puis, je dois préciser aussi que j’ai eu des preuves de la réalité des faits que j’avance, lesquels m’ont conduit à conclure que c’est dans le spiritisme que se trouve la plus grande partie du peu de vérité qu’il est permis aux humains de connaître pendant leur vie matérielle."
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Il est né à Montceau les Mines en 1868. Il a fait ses études de médecine à Lyon. Il a exercé sa profession à Annecy jusqu’en 1918. Ses ouvrages sont :
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Il s'agit d'une conférence réalisée par le docteur Geley à la société d'études psychiques à Paris. Il explique avec détails un phénomène peu courant celui de la correspondancs croisée. A travers divers médiums, on obtient un texte cohérent ou la réponse à une enigme. Chico Xavier et Waldo Veira ont obtenu ce phénomène : l'un écrivait les chapitres pairs et l'autre les chapitres impairs. On les réunissait et cela donnait un livre comme Sexe et Destin. Sur le plan spirituel, on peut imaginer la tâche que cela représente pour les guides ou les Esprits instructeurs, une grande harmonie doit être mise en place.
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Il est né à Montceau les Mines en 1868. Il a fait ses études de médecine à Lyon. Il a exercé sa profession à Annecy jusqu’en 1918. Ses ouvrages sont :
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Cet ouvrage est la suite logique de l'étude de l'Etre Subconscient.
Son but est de comprendre, dans une synthèse plus complète et plus vaste, l'évolution collective et l'évolution individuelle. Sa réalisation s'inspire du même procédé : exprimer les idées avec le plus de simplicité, le plus de clarté et le plus de concision qu'il soit possible ; éviter les longues analyses ou les développements : écarter surtout les digressions faciles, à caractère imaginatif ou poétique.
C'est une synthèse qui vise à la recherche idéale d'une vaste conception de philosophie générale, basée sur les faits.