46 – Sacrifice de femme

France

Un esprit, André Luiz, médecin lors de sa dernière existence terrestre, dicte par psychographie une série de 13 ouvrages où il révèle ce qu’il découvre dans l’au-delà.
Nosso lar ou Notre demeure est le premier livre et il paraît en 1941.
André Luiz meurt d’une occlusion intestinale laissant seule sa femme et ses deux enfants sur la terre brésilienne. Après une errance de huit ans dans le monde du Seuil, il arrive dans une des « demeures de Notre Père » ; cette colonie spirituelle s’appelle : « Nosso Lar ». Il est accueilli dans un hôpital spirituel où des soins sur son périsprit sont pratiqués afin de retrouver les forces nécessaires pour lutter contre toutes ses pensées négatives et ses angoisses.
Il découvre alors un nouveau monde. Il cheminera notamment avec Lisias, un compagnon spirituel et comprendra petit à petit à travers son travail personnel, les erreurs qu’il a faites dans sa vie d’incarné. Il pourra ainsi retourner en tant qu’esprit auprès des siens pour les aider dans leurs épreuves.

Résumé de la planche

Pendant un an, André se rend utile et trouve ainsi le plaisir du service ; l'envie de retrouver son foyer terrestre augmente malgré la tendresse et l'estime qu'il a trouvé auprès de ses compagnons. Sa mère, qui vient le voir de temps à autre, lui fait part de son projet de retour à la Terre, non parce qu'elle en a besoin mais pour aider son mari (le père d'André) à se relever. Même les femmes qui le persécutent actuellement ont déjà un rôle défini dans cette réincarnation.

Planche

Sacrifice de femme

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Réflexion spirituelle

Pour aller plus loin, nous vous conseillons un passage dans Le problème de l’être et de la destinée de Léon Denis, chapitre IX, Evolution et finalité de l’âme :

« L'âme, avons-nous dit, vient de Dieu ; c'est le principe de l'intelligence et de la vie en nous. Essence mystérieuse, elle échappe à l'analyse, comme tout ce qui émane de l'absolu. Créée par amour, créée pour aimer, si chétive qu'elle peut être enfermée dans une forme restreinte et fragile, si grande que, d'un élan de sa pensée, elle embrasse l'infini, l'âme est une parcelle de l'essence divine projetée dans le monde matériel. »