la vie d’un riche propriétaire terrien d’Amérique latine. Sa femme ressent les esprits.
thème spirite évoqué : la médiumnité
Voici une saga familiale proche de certains récits que l’on trouve dans les ouvrages de Chico ou de Divaldo. Le titre « maison aux esprits » est un peu usurpé car l’approche des esprits est très timide et manque de développement.
Note du centre : 2 / 6
Lien avec Le livre des médiums d’Allan Kardec, chapitre 14, des médiums :
« Médiums sensitifs ou impressibles
164. On désigne ainsi les personnes susceptibles de ressentir la présence des Esprits par une vague impression, une sorte de frôlement sur tous les membres, dont elles ne peuvent se rendre compte. Cette variété n'a pas de caractère bien tranché ; tous les médiums sont nécessairement impressibles, l'impressionnabilité est ainsi plutôt une qualité générale que spéciale : c'est la faculté rudimentaire indispensable au développement de toutes les autres ; elle diffère de l'impressionnabilité purement physique et nerveuse, avec laquelle il ne faut pas la confondre ; car il y a des personnes qui n'ont pas les nerfs délicats et qui ressentent plus ou moins l'effet de la présence des Esprits, de même que d'autres très irritables ne les ressentent pas du tout.
Cette faculté se développe par l'habitude, et peut acquérir une telle subtilité, que celui qui en est doué reconnaît à l'impression qu'il ressent, non seulement la nature bonne ou mauvaise de l'Esprit qui est à ses côtés, mais même son individualité, comme l'aveugle reconnaît à un certain je ne sais quoi l'approche de telle ou telle personne ; il devient, par rapport aux Esprits, un véritable sensitif. Un bon Esprit fait toujours une impression douce et agréable ; celle d'un mauvais Esprit, au contraire, est pénible, anxieuse et désagréable ; il y a comme un flair d'impureté. »