Les experts en ufologie affirment que, après l’explosion des bombes sur Hiroshima et Nagasaki, il a été trouvé une augmentation significative dans le nombre d’observations d’OVNIs (Objets Volants Non Identifiés) dans le monde entier. Un peu plus de deux décennies plus tard, le médium brésilien Chico Xavier a confié à ses collaborateurs plus proches que lors de l’arrivée de l’homme sur la Lune le 20 Juillet 1969, une réunion a eu lieu avec les puissances célestes de notre système solaire, pour vérifier les progrès de la société terrestre. Ils ont donc décidé de donner une période de 50 ans à l’humanité, pour évoluer moralement et coexister pacifiquement, sans provoquer une troisième guerre mondiale. Si l’humanité ainsi coexistait jusqu’à la Date Limite, elle serait à partir de là prête à entrer dans une nouvelle ère de son existence, et des actions magnifiques seraient vérifiées partout, y compris nos frères venus d’autres planètes qui seraient expressément autorisés à se présenter publiquement et officiellement aux habitants de la Terre.
thème spirite évoqué : Révélations
On retrouve avec bonheur les interviews de Chico Xavier. On adhère moyennement aux idées de l’ufologue et on attendra avec patience 2019 afin de découvrir si nous, incarnés, on a bien respecté les lois divines, pour avoir l’aide promise.
Note du centre : 4 / 6
Lien avec le livre La Genèse d’Allan Kardec, chapitre 28, les temps sont arrivés :
« Les temps marqués par Dieu sont arrivés, nous dit-on de toutes parts, où de grands événements vont s'accomplir pour la régénération de l'humanité. Dans quel sens faut-il entendre ces paroles prophétiques ? Pour les incrédules, elles n'ont aucune importance ; à leurs yeux, ce n'est que l'expression d'une croyance puérile sans fondement ; pour le plus grand nombre des croyants, elles ont quelque chose de mystique et de surnaturel qui leur semble être l'avant-coureur du bouleversement des lois de la nature. Ces deux interprétations sont également erronées : la première, en ce qu'elle implique la négation de la Providence ; la seconde, en ce que ces paroles n'annoncent pas la perturbation des lois de la nature, mais leur accomplissement. »