11 - Nouvelle du plan

France

Un esprit, André Luiz, médecin lors de sa dernière existence terrestre, dicte par psychographie une série de 13 ouvrages où il révèle ce qu’il découvre dans l’au-delà.
Nosso lar ou Notre demeure est le premier livre et il paraît en 1941.
André Luiz meurt d’une occlusion intestinale laissant seule sa femme et ses deux enfants sur la terre brésilienne. Après une errance de huit ans dans le monde du Seuil, il arrive dans une des « demeures de Notre Père » ; cette colonie spirituelle s’appelle : « Nosso Lar ». Il est accueilli dans un hôpital spirituel où des soins sur son périsprit sont pratiqués afin de retrouver les forces nécessaires pour lutter contre toutes ses pensées négatives et ses angoisses.
Il découvre alors un nouveau monde. Il cheminera notamment avec Lisias, un compagnon spirituel et comprendra petit à petit à travers son travail personnel, les erreurs qu’il a faites dans sa vie d’incarné. Il pourra ainsi retourner en tant qu’esprit auprès des siens pour les aider dans leurs épreuves.

Résumé de la planche

André Luiz visite les divers quartiers de la colonie avec Lisias. Celui-ci lui explique son fonctionnement. Les ministères de Nosso Lar sont d’énormes cellules de travail où règne l’ordre et la hiérarchie. Il y a de la musique partout. Le fonctionnement de Nosso Lar a été inspiré par la visite d’une autre colonie qui se nomme l’aube nouvelle. Les colonies spirituelles dans l’au-delà ne se ressemblent pas.

Planche

 Les nouvelles du plan

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Réflexion spirituelle

Pour aller plus loin, nous vous conseillons un passage dans L’Evangile selon le Spiritisme d’Allan Kardec, chapitre III, il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père :

« Les mondes régénérateurs servent de transition entre les mondes d'expiation et les mondes heureux ; l'âme qui se repent y trouve le calme et le repos en achevant de s'épurer. Sans doute, dans ces mondes, l'homme est encore sujet des lois qui régissent la matière ; l'humanité éprouve vos sensations et vos désirs, mais elle est affranchie des passions désordonnées dont vous êtes esclaves.»